produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
4 participants
Page 1 sur 1
produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
salut,
voyant que certain on un petit potager,je me demandais quels produits/moyens de lutte vous utilisiez dans la guerre contre les mauvaises herbes et autres.
l’idéale serait de citée le nom générique du produit,ce que l'on trouve de néfaste chez lui et ensuite de donner la recette (dans le cas d'un produit maison) ainsi que se que l'on considère comme positif dans notre produit.
je pense que ça aiderait beaucoup de personnes perdues dans la jungle des "sticide,ticide,cide...", bref,tout ce qui fini en ide.
pour ma part,j'utilise contre les puceron un mélange composé de:
-1 cuillère a soupe de produit vaisselle ou de savon noir
-2 cuillères a soupe d"huile de colza
-5 litres d'eau du robinet
vous mélangez tout ça dans un pulvérisateur et c'est prêt a l'emploi.
alors,pour les avantages du fait maison:
1-composants disponibles partout
2-dangeurosité des ingrédients connus et relativement peut agressive comparer a son équivalent commercial
3-aucune rémanence du produit donc limitation de l'atteinte sur les autres bon insectes
4-la mixture obtenue agissant par étouffement (l'eau sert de média a l'huile qui est maintenue en suspension par le produit vaisselle jusqu'au pores respiratoire qui sont colmatés une fois l'eau évaporé (en tout cas c'est comme cela que je vois l'action de ce produit)) il n'y a pas de risque de tolérance des pucerons
voyant que certain on un petit potager,je me demandais quels produits/moyens de lutte vous utilisiez dans la guerre contre les mauvaises herbes et autres.
l’idéale serait de citée le nom générique du produit,ce que l'on trouve de néfaste chez lui et ensuite de donner la recette (dans le cas d'un produit maison) ainsi que se que l'on considère comme positif dans notre produit.
je pense que ça aiderait beaucoup de personnes perdues dans la jungle des "sticide,ticide,cide...", bref,tout ce qui fini en ide.
pour ma part,j'utilise contre les puceron un mélange composé de:
-1 cuillère a soupe de produit vaisselle ou de savon noir
-2 cuillères a soupe d"huile de colza
-5 litres d'eau du robinet
vous mélangez tout ça dans un pulvérisateur et c'est prêt a l'emploi.
alors,pour les avantages du fait maison:
1-composants disponibles partout
2-dangeurosité des ingrédients connus et relativement peut agressive comparer a son équivalent commercial
3-aucune rémanence du produit donc limitation de l'atteinte sur les autres bon insectes
4-la mixture obtenue agissant par étouffement (l'eau sert de média a l'huile qui est maintenue en suspension par le produit vaisselle jusqu'au pores respiratoire qui sont colmatés une fois l'eau évaporé (en tout cas c'est comme cela que je vois l'action de ce produit)) il n'y a pas de risque de tolérance des pucerons
Invité- Invité
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
un principe de la permaculture est de laisser se multiplier les insectes et nuisibles pendant plusieurs années pour attirer les prédateurs: il paraît qu'après 3 an, cela s'équilibre.
Je suis un peu sceptique, du moins pour certains jardins (petits, jouxtant d'autres par exemple) mais j'essaye quand même le jardinage "non violent". Il existe beaucoup de moyens non violents, mais ils demandent du temps, et il y a toujours des cas où les nuisibles débarquent en masse et ruinent tous nos efforts... Ces recettes sont donc fort intéressantes, merci.
Je suis un peu sceptique, du moins pour certains jardins (petits, jouxtant d'autres par exemple) mais j'essaye quand même le jardinage "non violent". Il existe beaucoup de moyens non violents, mais ils demandent du temps, et il y a toujours des cas où les nuisibles débarquent en masse et ruinent tous nos efforts... Ces recettes sont donc fort intéressantes, merci.
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
En fait, je suis en jardin sans produit depuis 2 ans.
J'utilise juste une solution chimique contre les pucerons quand la plante est en train de mourir sous l'effet des pucerons.
Donc depuis le début de la saison j'ai du faire 2 coups de pshit, quand la suppression à la main devenait insuffisante et que les fourmis empêchaient les coccinelles d'agir. (et que la plante donnait des signes de recroquevillement)
Dans le jardin, jusqu'à maintenant, j'avais le colza qui attirait tout les pucerons, et comme il était trop haut pour les fourmis, les coccinelles se faisait plaisir. (et à priori les perces oreilles également vu qu'ils étaient nombreux aux pieds des plantes)
Donc pas de problème sur le jardin. Mais des problèmes sur les arbres isolés.
Pour la mixture que tu propose, est ce qu'elles se conservent après fabrication?
J'utilise juste une solution chimique contre les pucerons quand la plante est en train de mourir sous l'effet des pucerons.
Donc depuis le début de la saison j'ai du faire 2 coups de pshit, quand la suppression à la main devenait insuffisante et que les fourmis empêchaient les coccinelles d'agir. (et que la plante donnait des signes de recroquevillement)
Dans le jardin, jusqu'à maintenant, j'avais le colza qui attirait tout les pucerons, et comme il était trop haut pour les fourmis, les coccinelles se faisait plaisir. (et à priori les perces oreilles également vu qu'ils étaient nombreux aux pieds des plantes)
Donc pas de problème sur le jardin. Mais des problèmes sur les arbres isolés.
Pour la mixture que tu propose, est ce qu'elles se conservent après fabrication?
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
J'ai une question qui concerne le liseron. La parcelle que je veux transformer en potager en est remplie. j'ai essayé de l'enlever à la main tout en faisant bien attention de ne pas couper les racines mais c'est peine perdue! les racines sont trop profondes pour que j'arrive à tout enlever! Je n'arrive pas à m'en débarrasser totalement. Je me suis résignée à mettre un produit chimique pour l'éradiquer mais si quelqu'un a une idée pour faire autrement, je suis preneuse!!
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Pour le liseron, je fais ainsi :
j'attends qu'il fasse suffisamment sec (en ce moment, c'est pas mal dans mon coin).
Ensuite je prend une fourche bêche et je l'enfonce au max, et j'arrache à ce niveau (environ 30cm sous terre).
Je fais bien attention à récupérer les morceaux de liserons arrachés que je laisse en plein soleil pour les faire sécher (surtout ne pas les réenterrer).
Ensuite, pour le jardin, je plante par dessus, et paille dés que ça pousse.
En clair, j'utilise systématiquement l'arrachage manuelle.
Si c'est pas toujours efficace la première fois, au bout de quelques semaines, les plantes finissent pas se fatiguer, surtout si dés qu'elle sorte elles doivent faire face à de la concurrence qui les privent de lumière.
Toutes les plantes couvrantes sont efficaces pour cela, les pdt sont réputés pour être envahissante au niveau des racines, si ça vous dit.
Par contre, si vous replantez directement par dessus, il faut bien faire attention que le liserons ne ressortent pas et commencent à étouffer les nouvelles plantes.
Pour infos, j'ai eut raison d'un sumac avec cette technique, pourtant très très envahissant!
j'attends qu'il fasse suffisamment sec (en ce moment, c'est pas mal dans mon coin).
Ensuite je prend une fourche bêche et je l'enfonce au max, et j'arrache à ce niveau (environ 30cm sous terre).
Je fais bien attention à récupérer les morceaux de liserons arrachés que je laisse en plein soleil pour les faire sécher (surtout ne pas les réenterrer).
Ensuite, pour le jardin, je plante par dessus, et paille dés que ça pousse.
En clair, j'utilise systématiquement l'arrachage manuelle.
Si c'est pas toujours efficace la première fois, au bout de quelques semaines, les plantes finissent pas se fatiguer, surtout si dés qu'elle sorte elles doivent faire face à de la concurrence qui les privent de lumière.
Toutes les plantes couvrantes sont efficaces pour cela, les pdt sont réputés pour être envahissante au niveau des racines, si ça vous dit.
Par contre, si vous replantez directement par dessus, il faut bien faire attention que le liserons ne ressortent pas et commencent à étouffer les nouvelles plantes.
Pour infos, j'ai eut raison d'un sumac avec cette technique, pourtant très très envahissant!
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Je vais essayer de persévérer alors! Cela me donne le courage de continuer à bêcher! En ce moment, il pleut beaucoup par ici, donc cela pousse à une vitesse grand V! Je pensais mettre les plants de rhubarbe qu'on m'a donné et qui, pour l'instant, se trouve dans ma véranda. Comme les feuilles prennent beaucoup de places, peut être que cela m'aidera à long terme à me débarrasser du liseron!
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Pas encore testée mais le vinaigre blanc tuerait les mauvaises herbes. Mais attention pas dans un jardin cultive sinon ça détruira tout le reste aussi.
Pour la rhubarbe ça peut être une idée, je me souviens lorsqu'on avait un potager quasi rien ne poussait autour de la rhubarbe.
Pour la rhubarbe ça peut être une idée, je me souviens lorsqu'on avait un potager quasi rien ne poussait autour de la rhubarbe.
Invité- Invité
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
La rhubarbe se plait plutôt à l'ombre, et effectivement est assez étouffant envers son entourage.
Mais de là à en faire un plein potager...
Mais de là à en faire un plein potager...
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
pour les pucerons et les cochenilles: le savon noir dilué dans l'eau, ou la décoction tabac (mais au point de vue écolo, ce dernier n'est pas top).
Comme herbicide total: eau+javel+sel, mais c'est TRES mauvais pour le sol.
Je vous invite à lire ceci: une introduction à la permaculture, qui banni presque tous les traitements chimiques ou non, évite de retourner la terre, en s'inspirant au maximum de la nature.
http://fr.ekopedia.org/Permaculture
Les herbes indésirables sont évitées grâce au mulching (couverture de déchets végétaux) Elles sont aussi "acceptées" parce qu'elles améliorent le sol, éloignent les nuisibles par exemple la tanaisie contre les pucerons)
Ne pas oublier que beaucoup des "mauvaises herbes" qu'on arrache sont comestibles. C'est un peu bête d'arracher le chénopode (délicieux épinard sauvage) pour ressemer des épinards F1, chers à l'achat et demandant plus de soins.
Se simplifier la vie, c'est aussi éviter le travail inutile... http://fr.ekopedia.org/Permaculture
Je suis en train de penser mon futur jardin, et je suis déterminée à n'employer aucun produit, même "naturel", à "écouter" la terre et "dialoguer" avec elle (pas rigoler, hein !). Nous sommes un groupe de voisins à avoir la même optique, l'un d'eux enseigne même la permaculture à l'université. Mais bon, d'abord finir la maison ! On sèmera sur les terres de remblais des engrais verts qui structurent et enrichissent le sol, limitent les indésirables, en attendant de pouvoir cultiver, la saison prochaine.
J'aimerais travailler "avec" le sol et non pas en le forçant contre sa nature (composition). J'apprends les plantes sauvages comestibles, ce qui me permet de réduire la surface du potager.
Les solutions doivent se prendre au niveau global, et non pas au "coup par coup".
Comme herbicide total: eau+javel+sel, mais c'est TRES mauvais pour le sol.
Je vous invite à lire ceci: une introduction à la permaculture, qui banni presque tous les traitements chimiques ou non, évite de retourner la terre, en s'inspirant au maximum de la nature.
http://fr.ekopedia.org/Permaculture
Les herbes indésirables sont évitées grâce au mulching (couverture de déchets végétaux) Elles sont aussi "acceptées" parce qu'elles améliorent le sol, éloignent les nuisibles par exemple la tanaisie contre les pucerons)
Ne pas oublier que beaucoup des "mauvaises herbes" qu'on arrache sont comestibles. C'est un peu bête d'arracher le chénopode (délicieux épinard sauvage) pour ressemer des épinards F1, chers à l'achat et demandant plus de soins.
Se simplifier la vie, c'est aussi éviter le travail inutile... http://fr.ekopedia.org/Permaculture
Je suis en train de penser mon futur jardin, et je suis déterminée à n'employer aucun produit, même "naturel", à "écouter" la terre et "dialoguer" avec elle (pas rigoler, hein !). Nous sommes un groupe de voisins à avoir la même optique, l'un d'eux enseigne même la permaculture à l'université. Mais bon, d'abord finir la maison ! On sèmera sur les terres de remblais des engrais verts qui structurent et enrichissent le sol, limitent les indésirables, en attendant de pouvoir cultiver, la saison prochaine.
J'aimerais travailler "avec" le sol et non pas en le forçant contre sa nature (composition). J'apprends les plantes sauvages comestibles, ce qui me permet de réduire la surface du potager.
Les solutions doivent se prendre au niveau global, et non pas au "coup par coup".
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Je n'ai pas trouvé de solutions contre le désherbage, et en particulier contre le liseron. Il faudrait des litres d'eau chaude pour traiter tout une terrasse par exemple, ce qui n'est plus guère écologique. Et dans un massif il faut réussir à extirper juste la plante nuisible sans risquer d'endommager les autres, c'est donc une plaie ! Les petits désherbeurs thermiques ne sont pas spécialement efficaces et en plus ça consomme du gaz. Reste donc le choix entre le déherbage manuel fastidieux avec risque de repousse ou le débroussaillant au pinceau localement avec risque pour la santé et l'environnement...
Par contre, si je veux créer une parcelle de potager, un futur massif..., ou autre surface rectangulaire facile à couvrir et bien enherbée au départ sans avoir à tout décaper à la pioche, j'utilise une bâche tissée (laissant passer l'eau), épaisse et opaque, que je laisse en place 1 à 2 mois, bien lestée au sol, et ça étouffe tout ce qui pousse dessous, et après la terre est belle et prête à planter. Certains utilisent des cartons de récup' avec le même succès.
Contre les insectes nuisibles, j'utilise :
- les bandes fleuries, haie fleuries et hôtels à insecte, pour attirer un maximum d'auxiliaires au jardin
- le savon noir dilué dans un pulvérisateur (en cas d'infestation importante, sinon j'évite) contre pucerons, aleurodes et cochenilles
- la décoction d'ail (quand j'en ai assez sous la main) contre des insectes plus embêtants (cochenilles, phytopte du poirier...)
Contre les maladies fongiques :
-depuis 4 ans je n'utilisais rien, mais cette année je risque de préparer un purin car l'humidité me fait craindre le pire (oïdium, mildiou et autres) sur les légumes d'été. Peut-être la sauge (contre le mildiou), ou la prêle ?
Comme fertilisant, j'utilise :
- mon compost domestique
- du compost vert (de plateforme de compostage) en complément
- du purin d'ortie fait maison
- du purin de consoude fait maison
(et parfois aussi du fumier compressé en granulé du commerce, mais j'aimerais mieux m'en passer le plus vite possible !).
Comme paillage j'utilise :
- les feuilles mortes ramassées à l'automne
- les tiges des vivaces taillées l'hiver
- le BRF produit avec les tailles de ma haie
- les mauvaises herbes arrachées
- les fanes des légumes récoltés
- les fanes et chaumes des engrais verts fauchés (je n'enfouis pas)
- et un peu de paille du commerce en complément quand le reste n'est pas suffisant, mais là aussi j'aimerais parvenir à la totale autonomie.
Sinon, je cultive mon sol en m'efforçant de remuer la terre le moins possible (à la griffe ou au croc, sans retournement, uniquement juste avant mise en culture et uniquement la parcelle concernée, jamais tout d'un coup). Je suis donc quasiment en non travail du sol.
Je m'efforce également de laisser le moins possible mon sol à nu, mais toujours soit paillé soit enherbé (engrais vert, adventices triées...), afin de préserver au mieux la vie du sol et la nourrir.
Je m'efforce aussi de combler le déficit de départ de mon terrain en matière organique, car plus un sol est riche en MO et plus la vie y est présente, et plus un équilibre s'installe, limitant les risques d'attaques de prédateurs, de maladies, et renforçant les défenses naturelles des plantes.
Dois-je mettre les proportions exactes pour les préparations utilisées (purins, savon noir...) ?
Par contre, si je veux créer une parcelle de potager, un futur massif..., ou autre surface rectangulaire facile à couvrir et bien enherbée au départ sans avoir à tout décaper à la pioche, j'utilise une bâche tissée (laissant passer l'eau), épaisse et opaque, que je laisse en place 1 à 2 mois, bien lestée au sol, et ça étouffe tout ce qui pousse dessous, et après la terre est belle et prête à planter. Certains utilisent des cartons de récup' avec le même succès.
Contre les insectes nuisibles, j'utilise :
- les bandes fleuries, haie fleuries et hôtels à insecte, pour attirer un maximum d'auxiliaires au jardin
- le savon noir dilué dans un pulvérisateur (en cas d'infestation importante, sinon j'évite) contre pucerons, aleurodes et cochenilles
- la décoction d'ail (quand j'en ai assez sous la main) contre des insectes plus embêtants (cochenilles, phytopte du poirier...)
Contre les maladies fongiques :
-depuis 4 ans je n'utilisais rien, mais cette année je risque de préparer un purin car l'humidité me fait craindre le pire (oïdium, mildiou et autres) sur les légumes d'été. Peut-être la sauge (contre le mildiou), ou la prêle ?
Comme fertilisant, j'utilise :
- mon compost domestique
- du compost vert (de plateforme de compostage) en complément
- du purin d'ortie fait maison
- du purin de consoude fait maison
(et parfois aussi du fumier compressé en granulé du commerce, mais j'aimerais mieux m'en passer le plus vite possible !).
Comme paillage j'utilise :
- les feuilles mortes ramassées à l'automne
- les tiges des vivaces taillées l'hiver
- le BRF produit avec les tailles de ma haie
- les mauvaises herbes arrachées
- les fanes des légumes récoltés
- les fanes et chaumes des engrais verts fauchés (je n'enfouis pas)
- et un peu de paille du commerce en complément quand le reste n'est pas suffisant, mais là aussi j'aimerais parvenir à la totale autonomie.
Sinon, je cultive mon sol en m'efforçant de remuer la terre le moins possible (à la griffe ou au croc, sans retournement, uniquement juste avant mise en culture et uniquement la parcelle concernée, jamais tout d'un coup). Je suis donc quasiment en non travail du sol.
Je m'efforce également de laisser le moins possible mon sol à nu, mais toujours soit paillé soit enherbé (engrais vert, adventices triées...), afin de préserver au mieux la vie du sol et la nourrir.
Je m'efforce aussi de combler le déficit de départ de mon terrain en matière organique, car plus un sol est riche en MO et plus la vie y est présente, et plus un équilibre s'installe, limitant les risques d'attaques de prédateurs, de maladies, et renforçant les défenses naturelles des plantes.
Dois-je mettre les proportions exactes pour les préparations utilisées (purins, savon noir...) ?
Ayn- Localisation : ouest de la France
Date d'inscription : 26/10/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Dois-je mettre les proportions exactes pour les préparations utilisées (purins, savon noir...) ?
Ayn
c’était l'idée de départ histoire que les moins habitués est une bases de départ sans avoir a passer par des tests plus ou moins heureux .
bref,que les plus calés mâchent un peu le boulot des plus novices.
Ayn
c’était l'idée de départ histoire que les moins habitués est une bases de départ sans avoir a passer par des tests plus ou moins heureux .
bref,que les plus calés mâchent un peu le boulot des plus novices.
Invité- Invité
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
recouvrir le sol d'une bâche ne fait que reporter le problème: en effet, le sol, bien dégagé des plantes à racines superficielles, sera idéal pour que les graines de plantes à racines pivotantes germent.
Le potager voisin, après avoir été recouvert UN AN par une telle bâche, était magnifique au début. Puis c'est devenu un champ de pissenlit serrés. Bon amusement pour les retirer ! Je préférais ce qu'il y avait avant...
Ceci dit, c'est un bon truc quand même, mais pas une panacée.
Les carton ou les couches de papiers, c'est très bien aussi, mais les limaces adorent s'y cacher, et il faut aussi être sûrs qu'ils soient "bio" sinon ils polluent le sol.
Une grosse couche de feuilles de chênes donnera le meilleur compost, mais il faut mettre un filet au-dessus pour qu'il ne s'envole pas. Je pense que c'est ce que je ferai. Les écorces de pin acidifient trop le sol, et le mulch frais attire les limaces et autres bestioles.
Le potager voisin, après avoir été recouvert UN AN par une telle bâche, était magnifique au début. Puis c'est devenu un champ de pissenlit serrés. Bon amusement pour les retirer ! Je préférais ce qu'il y avait avant...
Ceci dit, c'est un bon truc quand même, mais pas une panacée.
Les carton ou les couches de papiers, c'est très bien aussi, mais les limaces adorent s'y cacher, et il faut aussi être sûrs qu'ils soient "bio" sinon ils polluent le sol.
Une grosse couche de feuilles de chênes donnera le meilleur compost, mais il faut mettre un filet au-dessus pour qu'il ne s'envole pas. Je pense que c'est ce que je ferai. Les écorces de pin acidifient trop le sol, et le mulch frais attire les limaces et autres bestioles.
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Effectivement, après avoir enlevé la bâche ou les cartons, il faut ensuite pailler épais le sol, sinon la place est libre ! Mais comme je ne conçois pas un massif ni un potager sans paillage, pour moi ça allait de soi.
Et c'est bien pour ça que j'ai parlé de la méthode pour préparer un nouvel espace de plantation, et non pas pour résoudre le problème de l'enherbement des allées (que je n'ai personnellement pas encore résolu).
Purin de Consoude :
1kg de feuilles fraîches dans 10L d'eau
laisser macérer plusieurs jours en remuant tous les jours impérativement. ça fait des bulles. quand on voit que ça ne fait plus de bulles quand on remue, il faut filtrer (à travers un torchon plié en deux par exemple)
On peut conserver quelques semaines la préparation dans des bouteilles en verre fermées hermétiquement.
Utiliser dilué à raison d'1 verre pour un arrosoir de 10L d'eau, et arroser au pied des cultures gourmandes en potasse (tomates, cucurbitacées...).
-purin d'ortie :
même méthodologie, mêmes proportions.
plus riche en azote que le purin de consoude.
peut aussi s'utiliser en pulvérisation sur le feuillage pour fortifier des jeunes plants, semis, etc...
décoction d'ail :
1 tête d'ail complète (ou 100g de gousses), écrasée ou mixée, mise à bouillir dans 1L d'eau. A ébullition, on arrête de chauffer, et on laisse infuser pendant 1h.
Filtrer, et utiliser pur dans un pulvérisateur en s'assurant que le liquide est suffisamment refroidi.
Contre insectes récalcitrants, et certaines maladies fongiques : fonte des semis, cloque du pêcher...).
Répéter 3 fois l'application à 1 semaine d'intervalle.
savon noir (mou):
1 cuillère à soupe diluée dans 1L d'eau.
Dans un pulvérisateur.
Contre pucerons et aleurodes essentiellement.
Répéter l'application si nécessaire.
Et c'est bien pour ça que j'ai parlé de la méthode pour préparer un nouvel espace de plantation, et non pas pour résoudre le problème de l'enherbement des allées (que je n'ai personnellement pas encore résolu).
Purin de Consoude :
1kg de feuilles fraîches dans 10L d'eau
laisser macérer plusieurs jours en remuant tous les jours impérativement. ça fait des bulles. quand on voit que ça ne fait plus de bulles quand on remue, il faut filtrer (à travers un torchon plié en deux par exemple)
On peut conserver quelques semaines la préparation dans des bouteilles en verre fermées hermétiquement.
Utiliser dilué à raison d'1 verre pour un arrosoir de 10L d'eau, et arroser au pied des cultures gourmandes en potasse (tomates, cucurbitacées...).
-purin d'ortie :
même méthodologie, mêmes proportions.
plus riche en azote que le purin de consoude.
peut aussi s'utiliser en pulvérisation sur le feuillage pour fortifier des jeunes plants, semis, etc...
décoction d'ail :
1 tête d'ail complète (ou 100g de gousses), écrasée ou mixée, mise à bouillir dans 1L d'eau. A ébullition, on arrête de chauffer, et on laisse infuser pendant 1h.
Filtrer, et utiliser pur dans un pulvérisateur en s'assurant que le liquide est suffisamment refroidi.
Contre insectes récalcitrants, et certaines maladies fongiques : fonte des semis, cloque du pêcher...).
Répéter 3 fois l'application à 1 semaine d'intervalle.
savon noir (mou):
1 cuillère à soupe diluée dans 1L d'eau.
Dans un pulvérisateur.
Contre pucerons et aleurodes essentiellement.
Répéter l'application si nécessaire.
Ayn- Localisation : ouest de la France
Date d'inscription : 26/10/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
On m'avait parlé de bâcher le sol pour éradiquer le liseron. On ne m'avait pas dit qu'il fallait pailler ensuite. Je me demande si je ne vais pas suivre ce conseil même si je sais que cela ne va pas tout enlever. je crois qu'il va falloir que je vive en bonne intelligence avec le liseron!
Je pensais à la rhubarbe pour le liseron qui file le long de mon mur et que je n'arrive pas à trouver la fin de la racine ( c'est vraiment profond et proche du mur). Si en plus la rhubarbe aime l'hombre, elle y sera bien!!
Je pensais à la rhubarbe pour le liseron qui file le long de mon mur et que je n'arrive pas à trouver la fin de la racine ( c'est vraiment profond et proche du mur). Si en plus la rhubarbe aime l'hombre, elle y sera bien!!
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
@philomène, le liseron est robuste tout seul.
Dés qu'il y a de la concurrence, un peu favorisé (en coupant le liseron en début de pousse par exemple), le liseron a du mal.
J'ai essayé en concurrence avec les ipomés, et le liseron a pas vraiment apprécié la blague.
Pour le calmer, il faut couvrir avec des plantes qui sont vraiment occupantes. La rhubarbe est une bonne idée, mais je préfère des annuels, ça permet de faire son choix au calme l'année suivante.
Edit : dans la présentation des produits, serait il possible d'ajouter la durée de conservation?
@Ayn, as tu observé une réelle différence entre avec purins et sans purins? (je pense aux orties, consoude, ...)
Dés qu'il y a de la concurrence, un peu favorisé (en coupant le liseron en début de pousse par exemple), le liseron a du mal.
J'ai essayé en concurrence avec les ipomés, et le liseron a pas vraiment apprécié la blague.
Pour le calmer, il faut couvrir avec des plantes qui sont vraiment occupantes. La rhubarbe est une bonne idée, mais je préfère des annuels, ça permet de faire son choix au calme l'année suivante.
Edit : dans la présentation des produits, serait il possible d'ajouter la durée de conservation?
@Ayn, as tu observé une réelle différence entre avec purins et sans purins? (je pense aux orties, consoude, ...)
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Gunday : pour la consoude, oui, c'est vraiment spectaculaire chez moi !
j'ai un sol ingrat : argilo-calcaire, pH8, très pauvre car lotissement récent installé sur un ancien coteau de vigne caillouteux, peu profond, dont le peu de bonne terre de surface a sans doute disparu (vendue?) avant la construction, ou alors simplement été enfouie sous la mauvaise terre de profondeur quand ils ont étalé le tas des fondations... Bref je rencontre pas mal de soucis de carences avec certaines plantes mais pas toutes. Notemment des gourmandes comme la tomate, les cucurbitacées, les pommes de terre, le maïs doux. Et ce, malgré mon paillage permanent et l'apport de compost régulier.
Quand je vois ces plantes jaunir et ralentir leur croissance (généralement en début de culture, peu après la plantation), j'arrose au purin de consoude, et là en 3 jours je vois les plantes redevenir vert sombre avec une poussée de croissance.
Et là dernièrement (ce week-end) j'ai arrosé aussi au purin de consoude des plantes en pot sur ma terrasse : citronniers, lauriers rose, dipladenia... et mon citronnier qui jaunissait et ne poussait plus du tout vient de me faire une dizaine de nouvelles pousses vigoureuses et bien vertes (nouveaux bourgeons sur le bois).
Donc question de stimuler, ça stimule !!!
Après, pour l'ortie, je suis plus mitigée, sans doute parce qu'avec mon compost et autres apports, la dose d'azote est suffisante, et donc je constate moins d'effet correctif spectaculaire en cas d'arrosage. Par contre, sur un semis de tomate, le fait de les brumiser au purin d'ortie toutes les semaines m'a donné de très beaux plants vigoureux et peu sujets aux maladies.
Pour la décoction d'ail, j'avoue que ce n'est sans doute pas aussi spectaculaire qu'un insecticide chimique (encore que... vu la résistance croissante des bestioles, beaucoup deviennent totalement inefficaces). Mais sur des pucerons et aleurodes, ça suffit à bien ralentir la prolifération pour ramener la population à un seuil que les auxiliaires suffisent à rendre inoffensif.
Après, contre des cochenilles, j'avoue que je suis moins convaincue et que je n'ai pas encore trouvé le remède pour sauver mes plantes de ces saletés de bestioles trop envahissantes.
Philomène : pour le liseron, le soucis que j'ai rencontré c'est qu'il faut vraiment le couvrir très longtemps et sur une large surface pour réussir à s'en débarrasser avec cette méthode (qui par contre marche bien avec le chiendent par exemple). Il plonge ses racines à presque 1m de profondeur, et peut ressortir sur plusieurs mètres de diamètre, donc couvrir 1m2 ne sert à rien.
j'ai un sol ingrat : argilo-calcaire, pH8, très pauvre car lotissement récent installé sur un ancien coteau de vigne caillouteux, peu profond, dont le peu de bonne terre de surface a sans doute disparu (vendue?) avant la construction, ou alors simplement été enfouie sous la mauvaise terre de profondeur quand ils ont étalé le tas des fondations... Bref je rencontre pas mal de soucis de carences avec certaines plantes mais pas toutes. Notemment des gourmandes comme la tomate, les cucurbitacées, les pommes de terre, le maïs doux. Et ce, malgré mon paillage permanent et l'apport de compost régulier.
Quand je vois ces plantes jaunir et ralentir leur croissance (généralement en début de culture, peu après la plantation), j'arrose au purin de consoude, et là en 3 jours je vois les plantes redevenir vert sombre avec une poussée de croissance.
Et là dernièrement (ce week-end) j'ai arrosé aussi au purin de consoude des plantes en pot sur ma terrasse : citronniers, lauriers rose, dipladenia... et mon citronnier qui jaunissait et ne poussait plus du tout vient de me faire une dizaine de nouvelles pousses vigoureuses et bien vertes (nouveaux bourgeons sur le bois).
Donc question de stimuler, ça stimule !!!
Après, pour l'ortie, je suis plus mitigée, sans doute parce qu'avec mon compost et autres apports, la dose d'azote est suffisante, et donc je constate moins d'effet correctif spectaculaire en cas d'arrosage. Par contre, sur un semis de tomate, le fait de les brumiser au purin d'ortie toutes les semaines m'a donné de très beaux plants vigoureux et peu sujets aux maladies.
Pour la décoction d'ail, j'avoue que ce n'est sans doute pas aussi spectaculaire qu'un insecticide chimique (encore que... vu la résistance croissante des bestioles, beaucoup deviennent totalement inefficaces). Mais sur des pucerons et aleurodes, ça suffit à bien ralentir la prolifération pour ramener la population à un seuil que les auxiliaires suffisent à rendre inoffensif.
Après, contre des cochenilles, j'avoue que je suis moins convaincue et que je n'ai pas encore trouvé le remède pour sauver mes plantes de ces saletés de bestioles trop envahissantes.
Philomène : pour le liseron, le soucis que j'ai rencontré c'est qu'il faut vraiment le couvrir très longtemps et sur une large surface pour réussir à s'en débarrasser avec cette méthode (qui par contre marche bien avec le chiendent par exemple). Il plonge ses racines à presque 1m de profondeur, et peut ressortir sur plusieurs mètres de diamètre, donc couvrir 1m2 ne sert à rien.
Ayn- Localisation : ouest de la France
Date d'inscription : 26/10/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Ayn, autre question sur la consoude, de la simple consoude médicinale est adéquat, ou utilise tu de la consoude block?
(qui en plus parait il est plus adapté à la consommation)
(qui en plus parait il est plus adapté à la consommation)
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
waw merci pour le purin de consoude, je vais en faire tout de suite ! Mes agrumes jaunissent aussi...
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
je ne sais pas laquelle c'est, car c'est un échange de plantes fait sur le net il y a quelques temps, à l'époque où je ne savais pas à quoi ressemblait la consoude (du moins pas assez précisément pour me hasarder à un ramassage dans la nature sans risques).
Disons qu'elle ressemble beaucoup à la consoude sauvage, que je sais maintenant reconnaître dans les prés et fossés à proximité de zones humides. Elle fleurit mauve, mais justement j'en vois aussi bien de la mauve, violette ou crème dans ces fameux fossés pas très loin de chez moi. Les feuilles sont identiques. Peut-on vraiment différencier ce fameux cultivar sans erreur ou a-t-il l'exacte ressemblance avec la consoude sauvage ?
Elle graine, pas énormément au point d'envahir mon potager, mais cette année j'ai enlevé plusieurs petits pieds arrivés dans deux de mes carrés potager. Donc ça me fait plutôt pencher vers la sauvage, car j'ai cru lire que la Block était stérile.
Elle se plaît à merveille plantée au pied de mon composteur, car elle a besoin d'un sol riche. Et quand elle a tendance à trop se coucher dans l'allée (par manque d'arrosage, car elle craint la sécheresse et préfère les zones humides), je coupe tout ce qui tombe et qui n'est pas assez vert pour faire du purin de qualité, je mets en surface du composteur, et ça accélère sacrément bien le compostage.
C'est vraiment une plante à garder sous la main !
Disons qu'elle ressemble beaucoup à la consoude sauvage, que je sais maintenant reconnaître dans les prés et fossés à proximité de zones humides. Elle fleurit mauve, mais justement j'en vois aussi bien de la mauve, violette ou crème dans ces fameux fossés pas très loin de chez moi. Les feuilles sont identiques. Peut-on vraiment différencier ce fameux cultivar sans erreur ou a-t-il l'exacte ressemblance avec la consoude sauvage ?
Elle graine, pas énormément au point d'envahir mon potager, mais cette année j'ai enlevé plusieurs petits pieds arrivés dans deux de mes carrés potager. Donc ça me fait plutôt pencher vers la sauvage, car j'ai cru lire que la Block était stérile.
Elle se plaît à merveille plantée au pied de mon composteur, car elle a besoin d'un sol riche. Et quand elle a tendance à trop se coucher dans l'allée (par manque d'arrosage, car elle craint la sécheresse et préfère les zones humides), je coupe tout ce qui tombe et qui n'est pas assez vert pour faire du purin de qualité, je mets en surface du composteur, et ça accélère sacrément bien le compostage.
C'est vraiment une plante à garder sous la main !
Ayn- Localisation : ouest de la France
Date d'inscription : 26/10/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
et les beignets de feuilles de consoude mmmmmmmm un petit goût de feuille de vigne
En mettre dans la soupe aussi, c'est très bon.
En cataplasme, elle aide à ressouder les os.
Mais il ne faut pas en manger tous les jours, à cause d'une substance toxique qu'elle contient en faibles quantités. Tous les détails sur ses propriétés médicinales et limitations : http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=consoude_ps
En mettre dans la soupe aussi, c'est très bon.
En cataplasme, elle aide à ressouder les os.
Mais il ne faut pas en manger tous les jours, à cause d'une substance toxique qu'elle contient en faibles quantités. Tous les détails sur ses propriétés médicinales et limitations : http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=consoude_ps
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
@Ayn, je viens de revérifier, la plus célèbre est la Bocking 14. Son gros avantage est d'être très chargé en minéraux, et donc de faire un excellent compost.
Son inconvénient est qu'à cause de cela elle est impropre à la consommation.
Donc effectivement tu dois avoir de la médicinal.
Y a une époque pour la replanter? Car je pense en avoir repérer au bord d'une route!
Son inconvénient est qu'à cause de cela elle est impropre à la consommation.
Donc effectivement tu dois avoir de la médicinal.
Y a une époque pour la replanter? Car je pense en avoir repérer au bord d'une route!
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
normalement, il faut la replanter en hiver, mais tu peux toujours essayer.
Tu prends une petite plante pour essayer d'avoir toute la racine et tu ne la laisse pas sécher: l'idéal est de la prendre avec la motte, sinon tu peux la "praliner" (tremper dans une boue d'argile enrichie pour que toutes les racines soient en contact avec la terre).
Garder fort humide au début.
Tu prends une petite plante pour essayer d'avoir toute la racine et tu ne la laisse pas sécher: l'idéal est de la prendre avec la motte, sinon tu peux la "praliner" (tremper dans une boue d'argile enrichie pour que toutes les racines soient en contact avec la terre).
Garder fort humide au début.
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
En fait mon problème, c'est que c'est pas la première année que je la repère, mais à comme elle est régulièrement tondu, je la voi que peu de temps avant la tonte, ce qui est pas génial!
gunday- Age : 39
Localisation : Au fond du 77
Date d'inscription : 16/08/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
j'ai le même soucis avec les orties. Je les vois au bord du chemin en emmenant les enfants en vélo à l'école, mais je n'ai pas les gants ni le panier pour faire le ramassage. D'ici à ce que je me pointe avec tout ce qu'il faut, elle a été tondue !
Ayn- Localisation : ouest de la France
Date d'inscription : 26/10/2011
Re: produits industriels pour le jardinage et leurs substituts maisons
Merci Ayn et Gunday, je prend note de vos conseils pour le liseron!
Je vais de toute façon prendre mon temps car pour l'instant, il ne fait que de pleuvoir alors le jardin n'est pas trop praticable!!
Je vais de toute façon prendre mon temps car pour l'instant, il ne fait que de pleuvoir alors le jardin n'est pas trop praticable!!
Sujets similaires
» Etagère extérieure pour jardinage
» Manifeste pour les produits de haute nécessité
» Pétition pour les produits WELEDA et DEMETER
» produits bio et produits locaux - vous gérer comment?
» produits de soin faits maison pour mamans allaitante
» Manifeste pour les produits de haute nécessité
» Pétition pour les produits WELEDA et DEMETER
» produits bio et produits locaux - vous gérer comment?
» produits de soin faits maison pour mamans allaitante
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum