"Le superflu, chose très nécessaire"
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"Le superflu, chose très nécessaire"
"Le superflu, chose très nécessaire"
Cette affirmation de Voltaire nous suggère qu'il peut nous être profitable d'examiner d'un peu plus près ce que recouvre l'expression "simplicité volontaire".
Même en partant de l'envie compulsive de "se débarrasser de ce qui nous encombre"
ou
de l'idéal d'un comportement "juste" dans un monde "sauvé" des ravages de notre "coté sombre",
il ne me parait pas si évident de garder les pieds sur terre et de respecter notre vérité la plus intérieure
tout en essayant de rectifier le tir de notre participation passive-active au grand super-marché qu'est devenue notre planète.
L'affirmation de voltaire peut servir ici de thème et de repère à notre conversation:
Comment savez-vous que quelque chose vous est nécessaire ou superflue ?
Dernière édition par riennipersonne le Mer 1 Fév 2012 - 16:32, édité 1 fois
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Salut bien rienipersonne
je le sais probablement par le même procédé que toi... en tant que femme intelligente, ( toi en homme intelligent) à partir du regard du moment présent à l'instant où je me pose la question sur un élément, un objet, un bien, une offre, voire une habitude, et analyse la situation de manière globale sans perdre de vue l'utilité le besoin l'intérêt l'avantage le plaisir ''local'' !
Mais en réalité, je me fie beaucoup à mon Destin pour ces choses là, pour me fournir le nécessaire et me donner l'occasion du superflu que je ne saisis pas toujours flairant les pièges qui s'y cachent ... et j'étudie surtout l'évolution dans le dépouillement... du moins la mienne !
La pyramide de Maslow est toujours une bonne base de réflexion sur ce sujet.
Au plaisir de lire ta réponse à la question .
louise élie
Invité- Invité
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Merci de ta réponse louise élie.
Si j'en crois l'indication donnée par ce forum, la question posée a été lue 25 fois. À moins que tu ais eue besoin de beaucoup de re-lectures de cette question, d'autres que toi l'ont lu sans décider d'y répondre.
J'espère qu'il ne s'agit ni d'un manque d'intérêt ni d'un manque d'estime de soi..
Toutes les réponses sont les bonnes pourvues
qu'elles soient données en toute sincérité. Et toutes peuvent s'enrichir
les unes les autres.
Dans la tienne, je retiens particulièrement "l'évolution dans le dépouillement" .
Je ne sais pas ce que tu veux dire par là mais cela me fait penser à la distinction que je fais entre "développement" (personnel) et "détachement" (spirituel). Les deux s'articulent mais ne doivent pas être confondus. Faute de quoi on tombe dans ce que je ne sais plus quel tibétain appelle le "matérialisme spirituel".
Quel rapport avec "superflu/ nécessaire" ?
Je préfère attendre d'autres réponses d'autres lecteurs pour savoir si mes commentaires la-dessus peuvent présenter ici le moindre intérêt.
Quant à ma réponse à la question "comment est-ce que je sais si quelque chose m'est superflu ou nécessaire?", ma réponse de là-maintenant est triple:
1- cela dépend de ce qui (rien/quelqu'un) répond en moi.
2- à terme/au fond, les deux se rejoignent et se confondent ...
3- une combinaison de mes deux premières réponses.
AÏE, AÏE, AÏE! J'espère que mon discours ne va pas repousser tout le monde. Si mes réponses vous prennent la tête, lâcher et mes réponses et votre tête et donnez-nous vos propres réponses...
Si j'en crois l'indication donnée par ce forum, la question posée a été lue 25 fois. À moins que tu ais eue besoin de beaucoup de re-lectures de cette question, d'autres que toi l'ont lu sans décider d'y répondre.
J'espère qu'il ne s'agit ni d'un manque d'intérêt ni d'un manque d'estime de soi..
Toutes les réponses sont les bonnes pourvues
qu'elles soient données en toute sincérité. Et toutes peuvent s'enrichir
les unes les autres.
Dans la tienne, je retiens particulièrement "l'évolution dans le dépouillement" .
Je ne sais pas ce que tu veux dire par là mais cela me fait penser à la distinction que je fais entre "développement" (personnel) et "détachement" (spirituel). Les deux s'articulent mais ne doivent pas être confondus. Faute de quoi on tombe dans ce que je ne sais plus quel tibétain appelle le "matérialisme spirituel".
Quel rapport avec "superflu/ nécessaire" ?
Je préfère attendre d'autres réponses d'autres lecteurs pour savoir si mes commentaires la-dessus peuvent présenter ici le moindre intérêt.
Quant à ma réponse à la question "comment est-ce que je sais si quelque chose m'est superflu ou nécessaire?", ma réponse de là-maintenant est triple:
1- cela dépend de ce qui (rien/quelqu'un) répond en moi.
2- à terme/au fond, les deux se rejoignent et se confondent ...
3- une combinaison de mes deux premières réponses.
AÏE, AÏE, AÏE! J'espère que mon discours ne va pas repousser tout le monde. Si mes réponses vous prennent la tête, lâcher et mes réponses et votre tête et donnez-nous vos propres réponses...
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Dès que je me pose la question de savoir si "c'est nécessaire", c'est que...c'est superflu...
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Pour savoir si quelque chose est nécessaire ou superflue, je me demande si j'ai vraiment besoin de cette chose. En gros, je rejoins la très simple et très pertinente remarque de Panthera Pardhus.
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
riennipersonne a écrit:[color=darkblue]Merci de ta réponse louise élie.
.............. je retiens particulièrement "l'évolution dans le dépouillement" .
Je ne sais pas ce que tu veux dire par là mais cela me fait penser à la distinction que je fais entre "développement" (personnel) et "détachement" (spirituel). Les deux s'articulent mais ne doivent pas être confondus. Faute de quoi on tombe dans ce que je ne sais plus quel tibétain appelle le "matérialisme spirituel".
.............
Crois-moi, on peut à la fois se détacher matériellement et évoluer spirituellement en conséquence !!
( suites d'un grand nombre de ''recommencement'' dans ma vie, plus particulièrement mes dernières aventures intimes avec l'ouragan Irene ! )
D'emblée, dans ma pensée autonome , je n'attribue pas le mot développement aux êtres vivants, surtout par les temps qui courent où ce mot est devenu un attrape-nigauds pour tout ce qui concerne les affaires et la finance ( réfé: le développement durable !! quelle arnaque ! )
Ne nous emprisonnnons pas dans les expressions rigides et ... superflues !
Ne nous prive pas trop longtemps de ta propre pensée en ce sens... nous pourrions croire n'être pas digne de la recevoir
Invité- Invité
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Le nombre de lecture correspond aussi à celles des invités, qui sont beaucoup plus nombreux que les inscrits, et qui ne peuvent pas répondre.
Il y a aussi ceux qui cliquent plusieurs fois, parce qu'ils n'ont pas le temps de répondre tout de suite, c'est mon cas: il faut d'abord que je réfléchisse, que je lise les interventions précédentes, parce que c'est une question cruciale. J'y suis confrontée puisque je vais déménager dans quelques mois.
Je pense que je vais apporter là bas le nécessaire, et me débarrasser de tout le reste.
Il y a aussi ceux qui cliquent plusieurs fois, parce qu'ils n'ont pas le temps de répondre tout de suite, c'est mon cas: il faut d'abord que je réfléchisse, que je lise les interventions précédentes, parce que c'est une question cruciale. J'y suis confrontée puisque je vais déménager dans quelques mois.
Je pense que je vais apporter là bas le nécessaire, et me débarrasser de tout le reste.
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
louise élie a écrit: Ne nous prive pas trop longtemps de ta propre pensée en ce sens... nous pourrions croire n'être pas digne de la recevoir
J'ai donné plus haut une triple réponse à la question "Comment je sais si quelque chose est superflue ou nécessaire".
Je la représente:
1- cela dépend de ce qui (rien/quelqu'un) répond en moi.
2- à terme/au fond, les deux se rejoignent et se confondent ...
3- une combinaison de mes deux premières réponses.
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Je pense que Louise avait lu et compris (Louise, ce soir, je t'aime) ta triple réponse mais qu'elle souhaite que tu la développes?
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
+1 !Panthera Pardhus a écrit:Dès que je me pose la question de savoir si "c'est nécessaire", c'est que...c'est superflu...
(réponse superflue !)
Emma- Date d'inscription : 22/06/2009
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Panthera Pardhus a écrit:Dès que je me pose la question de savoir si "c'est nécessaire", c'est que...c'est superflu...
Un bug? Je représente ma réponse à la tienne qui n'est pas apparue:
L'immédiateté me parait un premier niveau de réponse très pertinent effectivement.
Cette première réponse étant donnée, immédiatement, la question peut (médiatement) se poser de savoir si oui ou non, telle stratégie ou tel moyen envisagé pour atteindre le but (immédiatement reconnu comme nécessaire) est superflue ou nécessaire. La réponse pourra alors être immédiate mais pas toujours. Non?
Ce qui, dès lors, nous demande peut-être d'affiner notre réponse.
Dans quel cas cette question (de savoir si quelque choses est nécessaire ou superflu) est-elle nécessaire ou superflue ?
Panthera Pardhus a écrit:Je pense que Louise avait lu et compris (Louise, ce soir, je t'aime) ta triple réponse mais qu'elle souhaite que tu la développes?
Ok. Avec plaisir.
Mais cela serait possible de tellement de façons différentes que cela m'aiderait si vous pouviez préciser vos questions. Le pouvez-vous et le voulez-vous?
Dernière édition par Philomenne le Mer 1 Fév 2012 - 19:54, édité 1 fois (Raison : fusionner un double message)
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Personnellement, non. Tes réponses me suffisent amplement. Louise sera peut-être plus intéressée que moi.
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Panthera Pardhus a écrit:Personnellement, non. Tes réponses me suffisent amplement. Louise sera peut-être plus intéressée que moi.
Cool !
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
cher rienipersonne
ton style me rappelle les cours de marketing que j'ai dû suivre dans le cadre d'un certificat en administration.
Peux-tu et veux-tu être un membre de ce forum et partager vraiment pour le pire et le meilleur ? mmmmmmmm ?
( ça c'est une question précise )
Jouer avec nous peut t'amuser, mais je soupçonne que par la '' volonté simple '' on va se fatiguer dans pas très longtemps
alors ?
( deuxième et dernière question précise immédiate )
ton style me rappelle les cours de marketing que j'ai dû suivre dans le cadre d'un certificat en administration.
Peux-tu et veux-tu être un membre de ce forum et partager vraiment pour le pire et le meilleur ? mmmmmmmm ?
( ça c'est une question précise )
Jouer avec nous peut t'amuser, mais je soupçonne que par la '' volonté simple '' on va se fatiguer dans pas très longtemps
alors ?
( deuxième et dernière question précise immédiate )
Invité- Invité
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Louise, décidément, ce soir, je suis raide dingue de toi
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
riennipersonne a écrit:
J'espère qu'il ne s'agit ni d'un manque d'intérêt ni d'un manque d'estime de soi..
Oh là! Mais tu vas très très loin! S'il fallait répondre à tout ce qu'on
lit... Et si ne pas répondre était une question d'estime de soi
J'avoue : j'ai lu, j'ai pas répondu. Parce que ça me semblait... superflu.
Nécessaire ou superflu, c'est une question de bon sens, de circonstances, de sensibilité et de personne.
D'ailleurs un truc superflu aujourd'hui pourra m'être indispensable demain.
Donc je vois pas comment répondre à la question qui me parait tellement
évidente: si j'en ai besoin immédiatement, pour un usage réel, c'est nécessaire.
Euh? Question suivante?
(on peut varier : comment savoir si vous avez envie ou besoin de quelquechose? Puis-je avoir besoin de quelquechose que je ne connais pas? Si j'ai pas envie de répondre à une question, est-ce parce que ça me semble pas nécessaire... mais dans ce cas, comment se fait il que ça semble nécessaire à quelqu'un d'autre? gasp, le nécessaire serait subjectif? Pourquoi puis-je avoir envie de quelque chose qui ne m'est pas nécessaire? Et si j'ai pas envie de quelque chose qui pourtant m'est indispensable, faut-il l'acquérir malgré moi? Et si j'ai pas envie de répondre, suis-je obligée d'en mettre quand même 20 lignes pour faire preuve de bonne (?) volonté?)
Cannelle- Localisation : Pyrénées Atlantiques
Date d'inscription : 23/09/2011
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
louise élie a écrit: cher rienipersonne
ton style me rappelle les cours de marketing que j'ai dû suivre dans le cadre d'un certificat en administration.
Peux-tu et veux-tu être un membre de ce forum et partager vraiment pour le pire et le meilleur ? mmmmmmmm ?
( ça c'est une question précise )
Jouer avec nous peut t'amuser, mais je soupçonne que par la '' volonté simple '' on va se fatiguer dans pas très longtemps
alors ?
( deuxième et dernière question précise immédiate )
ATTENTION , COMMUNICATION PAR MAIL = DANGER D'ERREUR D'INTERPRÉTATION.
Ouuuuulaaaaaaaah ! Devinant que tes cours de marketing n'ont pas été de ton goût, il va falloir que tu m'éclaires sur ce qui, dans mes propos a réveillé ce triste souvenir. Et de même sur ce qui, toujours dans mes messages a pu te faire penser que je ne désirais pas participer à ce forum.
Je suppose aussi, à toi de m'éclairer là encore, que jouer et m'amuser avec vous veut dire me moquer de vous. Si c'est effectivement le cas, à nouveau, peux-tu m'indiquer précisément ce qui, dans mes messages, a pu te donner ce sentiment?
Ce qui m'aiderait aussi, mais je ne vais pas jusqu'à demander ça, ce serait que tu me fasses des réponses que, selon toi, j'aurais pu et du faire, et qui t'aurait donner le sentiment que j'étais sincère, honnête, respectueux etc..
MERCI DE PRENDRE LE TEMPS D'ENVISAGER, NE
SERAIT-CE QU'UNE SECONDE QUE MA RÉALITÉ ET CELLE DE MA COMMUNICATION NE
SONT PEUT-ÊTRE PAS CELLES QUE VOUS AVEZ ENVISAGÉ. MERCI DE RELIRE MES MESSAGES (même sans y croire, ne serait-ce que pour en faire une autre expérience) EN IMAGINANT QUE J'AI TOUJOURS ÉTÉ SINCÈRE ET DE BONNE INTENTION.
Si effectivement, vous ne pouvez ni ne voulez le faire, merci de me le faire savoir. Je vous débarrasserais immédiatement de ma présence. Dans le cas contraire, je continuerai à participer à ce forum, tel que je suis
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Mode admin' on : Quoi qu'il en soit, il serait bon que tu évites d'écrire tout en majuscules, conformément à la charte de ce forum, que tu as bien sûr pris le temps de lire avant de commencer à poster. Merci.
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Cannelle a écrit:riennipersonne a écrit:
J'espère qu'il ne s'agit ni d'un manque d'intérêt ni d'un manque d'estime de soi..
Oh là! Mais tu vas très très loin! S'il fallait répondre à tout ce qu'on
lit... Et si ne pas répondre était une question d'estime de soi )
Parfois, oui. Cela m'a été dit C sur d'autre forum et c'est pour cela que cela m'est revenu à l'esprit, je ne sais pourquoi, ici
Bien que manifestement, j'ai mis, ici, le pied sur quelque chose d'apparemment très sensible et qui m'échappe totalement.
Philomenne a écrit:Mode admin' on : Quoi qu'il en soit, il serait bon que tu évites d'écrire tout en majuscules, conformément à la charte de ce forum, que tu as bien sûr pris le temps de lire avant de commencer à poster. Merci.
J'en prends note, merci.
Dernière édition par Philomenne le Mer 1 Fév 2012 - 20:20, édité 1 fois (Raison : merci de noter aussi qu'on doit éviter les doubles messages)
riennipersonne- Date d'inscription : 01/02/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
riennipersonne a écrit:louise élie a écrit: cher rienipersonne
ton style me rappelle les cours de marketing que j'ai dû suivre dans le cadre d'un certificat en administration.
Peux-tu et veux-tu être un membre de ce forum et partager vraiment pour le pire et le meilleur ? mmmmmmmm ?
( ça c'est une question précise )
Jouer avec nous peut t'amuser, mais je soupçonne que par la '' volonté simple '' on va se fatiguer dans pas très longtemps
alors ?
( deuxième et dernière question précise immédiate )
ATTENTION , COMMUNICATION PAR MAIL = DANGER D'ERREUR D'INTERPRÉTATION.
Ouuuuulaaaaaaaah ! Devinant que tes cours de marketing n'ont pas été de ton goût, il va falloir que tu m'éclaires
Depuis combien de messages estimes-tu que les membres de ce forum te DOIVENT des réponses?????????
Tu dépasses les bornes, apprends à modérer tes propos aussi!!!
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Et bien dis donc, tu n'as pas mis longtemps à énerver tout ce petit monde.
Je comprends les deux côtés, tu veux nous faire réfléchir sur ce que signifie exactement "simplicité volontaire" puisque apparemment (post de bienvenue) tu n'en comprenais pas le sens. Et de l'autre tu as une manière différente de t'exprimer, pour être honnête hautaine, mais moi ça me dérange pas, ça me fait rire en fait. Tu sais pourquoi parce que même en te relisant (fait avant que tu le demandes), je ne te comprends toujours pas.
Pourquoi ne pas poser la question SIMPLEMENT: "qu'est-ce que la simplicité volontaire pour vous?"
Je suis sur que tu aurais des réponses bien plus étayées que ce que tu as obtenu jusqu'ici.
Je comprends les deux côtés, tu veux nous faire réfléchir sur ce que signifie exactement "simplicité volontaire" puisque apparemment (post de bienvenue) tu n'en comprenais pas le sens. Et de l'autre tu as une manière différente de t'exprimer, pour être honnête hautaine, mais moi ça me dérange pas, ça me fait rire en fait. Tu sais pourquoi parce que même en te relisant (fait avant que tu le demandes), je ne te comprends toujours pas.
Pourquoi ne pas poser la question SIMPLEMENT: "qu'est-ce que la simplicité volontaire pour vous?"
Je suis sur que tu aurais des réponses bien plus étayées que ce que tu as obtenu jusqu'ici.
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
en tous cas, je n'ai plus envie de participer à ce fil.
J'ai réfléchi, j'ai mes conclusions, mais elles sont personnelles.
Je pense que la réponse à la question d'origine est un processus progressif, pas un "tout ou rien".
J'ai réfléchi, j'ai mes conclusions, mais elles sont personnelles.
Je pense que la réponse à la question d'origine est un processus progressif, pas un "tout ou rien".
Bib- Age : 73
Localisation : Belgique (Gembloux)
Date d'inscription : 19/01/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Riennipersonne tu sembles n'avoir pas compris. Alors je vais essayer de te dire clairement ce que je pense.
D'abord comme Pirinsko, je pense que tu te montres hautain. Tu n'as pas de réponse à tes questions alors pas un instant, tu te remets en cause : tu penses que nous manquons de confiance en nous?! Je te rassure, toi en tout cas, tu n'as pas de problème d'égo. Ne peux tu imaginer que nous n'avons pas répondu parce que ta question ne nous a pas semblé pertinente?
La simplicité volontaire, c'est limiter notre consommation et notre impact environnemental, c'est vivre simplement au quotidien, c'est aller vers l'autonomie... c'est tout sauf se prendre la tête sur une question évidente comme celle que tu as posée.
Sur le forum, nous essayons d'abord de trouver des solutions pratiques au quotidien, qui correspondent à nos principes. Nous ne refusons pas de discuter sur des points plus théoriques... mais il faut qu'ils vaillent la peine. Si tu as pris la peine de lire le forum, tu as du voir que nous avons des discussions (parfois houleuse!) sur la vie... ou la fin de vie, l'éducation des enfants, la société telle qu'elle est ou telle que nous voudrions qu'elle soit...
Mais la simplicité volontaire c'est aussi ne pas se prendre la tête sur une question évidente, qui semble plus un sujet de dissertation de collège (et encore) qu'une véritable question. C'est aussi il me semble adopter un langage simple, précis, direct. Pas s'amuser à compliquer le discours par plaisir.
C'est enfin se rendre compte que toute question, fut elle évidente, n'a pas de réponse unique et absolue. Non, il n'y a pas de recette magique pour décréter ce qui est utile ou superflu. Parce que la simplicité volontaire laisse la place - enfin - à l'humain, qui a perdu beaucoup trop de son importance dans la société aujourd'hui. Et ça veut dire que chacun vit comme il veut "sa" simplicité volontaire, selon son vécu, ses envies, ses possibilités, sa sensibilité.
Si tu peux comprendre tout ça et venir... simplement, j'attends avec impatience tes VRAIES questions et j'y répondrai avec plaisir !
D'abord comme Pirinsko, je pense que tu te montres hautain. Tu n'as pas de réponse à tes questions alors pas un instant, tu te remets en cause : tu penses que nous manquons de confiance en nous?! Je te rassure, toi en tout cas, tu n'as pas de problème d'égo. Ne peux tu imaginer que nous n'avons pas répondu parce que ta question ne nous a pas semblé pertinente?
La simplicité volontaire, c'est limiter notre consommation et notre impact environnemental, c'est vivre simplement au quotidien, c'est aller vers l'autonomie... c'est tout sauf se prendre la tête sur une question évidente comme celle que tu as posée.
Sur le forum, nous essayons d'abord de trouver des solutions pratiques au quotidien, qui correspondent à nos principes. Nous ne refusons pas de discuter sur des points plus théoriques... mais il faut qu'ils vaillent la peine. Si tu as pris la peine de lire le forum, tu as du voir que nous avons des discussions (parfois houleuse!) sur la vie... ou la fin de vie, l'éducation des enfants, la société telle qu'elle est ou telle que nous voudrions qu'elle soit...
Mais la simplicité volontaire c'est aussi ne pas se prendre la tête sur une question évidente, qui semble plus un sujet de dissertation de collège (et encore) qu'une véritable question. C'est aussi il me semble adopter un langage simple, précis, direct. Pas s'amuser à compliquer le discours par plaisir.
C'est enfin se rendre compte que toute question, fut elle évidente, n'a pas de réponse unique et absolue. Non, il n'y a pas de recette magique pour décréter ce qui est utile ou superflu. Parce que la simplicité volontaire laisse la place - enfin - à l'humain, qui a perdu beaucoup trop de son importance dans la société aujourd'hui. Et ça veut dire que chacun vit comme il veut "sa" simplicité volontaire, selon son vécu, ses envies, ses possibilités, sa sensibilité.
Si tu peux comprendre tout ça et venir... simplement, j'attends avec impatience tes VRAIES questions et j'y répondrai avec plaisir !
Cannelle- Localisation : Pyrénées Atlantiques
Date d'inscription : 23/09/2011
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Bonsoir,
j'ai suivi ce dialogue avec beaucoup d'intérêt. J'ai bien noté que "riennipersonne" (fausse modestie à peine voilée dans ce pseudo) devait être en DEUG de Philosophie. Je lui conseille de laisser tomber Voltaire et d'attaquer Le Gorgias de Platon, où Socrates discute avec le rhéteur Gorgias pour lui apprendre que le discours creux qui ne cherche pas à favoriser la vérité n'est pas de la philosophie. Ce genre de discours ne valorise que la rhétorique et l'orgueil de la personne qui parle (Gorgias en l'occurence, pas toi, bien-sûr). Là où tu te trompes (tu ne trompes rien ni personne d'autre) c'est :
1) en mettant un "e" à "superflu"
2) en croyant qu'ici les gens font de l'exercice de style ou encore de la masturbation intellectuelle
Restons simple. C'est une réelle volonté des gens que j'ai le plaisir de côtoyer ici, dans la vraie vie. À bientôt.
j'ai suivi ce dialogue avec beaucoup d'intérêt. J'ai bien noté que "riennipersonne" (fausse modestie à peine voilée dans ce pseudo) devait être en DEUG de Philosophie. Je lui conseille de laisser tomber Voltaire et d'attaquer Le Gorgias de Platon, où Socrates discute avec le rhéteur Gorgias pour lui apprendre que le discours creux qui ne cherche pas à favoriser la vérité n'est pas de la philosophie. Ce genre de discours ne valorise que la rhétorique et l'orgueil de la personne qui parle (Gorgias en l'occurence, pas toi, bien-sûr). Là où tu te trompes (tu ne trompes rien ni personne d'autre) c'est :
1) en mettant un "e" à "superflu"
2) en croyant qu'ici les gens font de l'exercice de style ou encore de la masturbation intellectuelle
Restons simple. C'est une réelle volonté des gens que j'ai le plaisir de côtoyer ici, dans la vraie vie. À bientôt.
Nine- Age : 50
Localisation : Dordogne
Date d'inscription : 06/05/2011
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Nine a écrit:J'ai bien noté que "riennipersonne" (fausse modestie à peine voilée dans ce pseudo) devait être en DEUG de Philosophie.
A mon avis, plutôt un accro/pro du développement personnel (coach ? recruteur pour la scientologie ?). Ils ont tous ce langage très formaté et cette perversité qui consiste à toujours reporter la faute sur l'autre quand quelque chose ne va pas.
Pour le reste, je suis entièrement d'accord avec toi.
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Nine a écrit: Ce genre de discours ne valorise que la rhétorique et l'orgueil de la personne qui parle (Gorgias en l'occurence, pas toi, bien-sûr).
....
!!!
Ah, bah moi il me fait rire plus que culpabiliser, franchement...Philomenne a écrit:cette perversité qui consiste à toujours reporter la faute sur l'autre quand quelque chose ne va pas.
(un coach ? en frime et complication du discours? il parle de communication sans arrêt, et c'est tout sauf un bon communicant!)
Cannelle- Localisation : Pyrénées Atlantiques
Date d'inscription : 23/09/2011
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Sincèrement, et ce n'est que mon point de vue, j'ai ouvert le sujet...trouvé cela trop théorique à mon gout et suis retourné à ma petite pratique de tous les jours, bien tranquillement...pantouflard, va!
Maintenant, cela reste du texte sur un écran d'ordinateur, même si la prose est assez spéciale, cela veut-il dire que notre nouvel ami se fiche de nous ? Je préfère attendre de voir, les dialogues inter-ordinateurs sont quelques fois bien trompeurs sur les intentions...au pire, je fais comme à ce message-ci, j'y répond pas
Maintenant, cela reste du texte sur un écran d'ordinateur, même si la prose est assez spéciale, cela veut-il dire que notre nouvel ami se fiche de nous ? Je préfère attendre de voir, les dialogues inter-ordinateurs sont quelques fois bien trompeurs sur les intentions...au pire, je fais comme à ce message-ci, j'y répond pas
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
En "langage internet" on appelle ça un troll.
Je viens d'y apprendre qu'en ce moment c'est... la fête du troll
Ou alors c'était une simple coïncidence...
Je viens d'y apprendre qu'en ce moment c'est... la fête du troll
Tous les premiers févriers de l'année et ce pendant une semaine , les trolls sortent de sous leur pont, et viennent fêter l'emblème qui les représente en "trollant" leurs proches !
Ou alors c'était une simple coïncidence...
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
(est-il utile de réveiller ces échanges...? bon, je me lance)
Le simple titre de ce fil (désolée si c'est pas le bon mot, je commence à peine avec les forums) est pour moi incompréhensible. Le superflu est le contraire du nécessaire, non?
A moins d'avoir le goût des galéjades avec les mots, à quoi cela sert-il d'appeler Voltaire à la rescousse sur une notion qui n'existait pas à son siècle?
Je suis assez terre à terre: le superflu n'est pas nécessaire par définition et parce que ce n'est pas nécessaire, on peut s'en débarrasser et s'en passer sans soucis.
Le plus dur est de savoir résister à l'envie (la pulsion, le conditionnement...) de ré-accumuler du superflu, de distinguer avant de l'acquérir que le bidule X, Y relève du superflu, du show-off, des paillettes, de l'ego, de la vanité, etc...
Le simple titre de ce fil (désolée si c'est pas le bon mot, je commence à peine avec les forums) est pour moi incompréhensible. Le superflu est le contraire du nécessaire, non?
A moins d'avoir le goût des galéjades avec les mots, à quoi cela sert-il d'appeler Voltaire à la rescousse sur une notion qui n'existait pas à son siècle?
Je suis assez terre à terre: le superflu n'est pas nécessaire par définition et parce que ce n'est pas nécessaire, on peut s'en débarrasser et s'en passer sans soucis.
Le plus dur est de savoir résister à l'envie (la pulsion, le conditionnement...) de ré-accumuler du superflu, de distinguer avant de l'acquérir que le bidule X, Y relève du superflu, du show-off, des paillettes, de l'ego, de la vanité, etc...
Orchidée- Date d'inscription : 05/04/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Orchidée: je comprends tout à fait ton propos, cependant, je le trouve un peu simpliste.
En effet, le nécessaire/superflu est une notion éminemment subjective. Il y certes le nécessaire absolu qui tient de la biologie pure (nourriture, abri, sécurité...) mais le fait même de vivre en société implique de nouveau besoins "artificiels": par exemple se vêtir alors que la température ne l'exige pas.
Du coup le nécessaire des uns peut être le superflu des autres.
Et au-delà de ça, je pense qu'un peu de superflu peut être extrêmement gratifiant. Un concert mémorable, un verre de Loupiac pour l'apéritif, une belle lithographie qui vous donne le sourire rien qu'à la regarder sont autant de choses sans lesquelles nous pourrions tout à fait vivre. Qui sont superflus mais tellement agréables. Donc nécessaires!
Si, pour une raisons ou pour une autre, il me fallait choisir entre ma chaine hifi et mon frigo, je crois que je préférerai galèrer en cuisine MAIS en écoutant les suites pour violoncelle de J.S.Bach! Ce qui peut paraître aberrant à d'autres personnes!
En effet, le nécessaire/superflu est une notion éminemment subjective. Il y certes le nécessaire absolu qui tient de la biologie pure (nourriture, abri, sécurité...) mais le fait même de vivre en société implique de nouveau besoins "artificiels": par exemple se vêtir alors que la température ne l'exige pas.
Du coup le nécessaire des uns peut être le superflu des autres.
Et au-delà de ça, je pense qu'un peu de superflu peut être extrêmement gratifiant. Un concert mémorable, un verre de Loupiac pour l'apéritif, une belle lithographie qui vous donne le sourire rien qu'à la regarder sont autant de choses sans lesquelles nous pourrions tout à fait vivre. Qui sont superflus mais tellement agréables. Donc nécessaires!
Si, pour une raisons ou pour une autre, il me fallait choisir entre ma chaine hifi et mon frigo, je crois que je préférerai galèrer en cuisine MAIS en écoutant les suites pour violoncelle de J.S.Bach! Ce qui peut paraître aberrant à d'autres personnes!
Iris d'eau- Localisation : Saint Pierre des Corps
Date d'inscription : 15/03/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
SV mais un peu (beaucoup) épicurienne !
C'est le côté sensoriel de faire soi-même, de plus de "dehors", plus de petits temps humains (dont les apéros), le retour d'un rythme tranquille, les petits plaisirs nature qui m'amènent vers la simplicité.
J'essaye en ce moment de définir ce qui est MON surperflu et je me rends compte que c'est très, très personnel en fonction de mon lieu de vie, de mon rythme professionnel, de ma construction familiale (bref ce dont je suis capable de me passer)
ET mon "nécessaire" pour déguster au maximum de ce bref passage sur terre tout en adoptant le "merci de laisser cette planète dans l'état ou vous auriez aimé la trouver..voir mieux"
Une petite phrase piochée dans No impact man de Colin Beavan qui m'a pas mal fait réfléchir " En deçà d'un certain seuil de non consommation, c'est la misère" donc pour avoir déjà testé certaines périodes de simplicité non volontaire j'essaye de m'organiser pour trouver un juste équilibre volontaire
C'est le côté sensoriel de faire soi-même, de plus de "dehors", plus de petits temps humains (dont les apéros), le retour d'un rythme tranquille, les petits plaisirs nature qui m'amènent vers la simplicité.
J'essaye en ce moment de définir ce qui est MON surperflu et je me rends compte que c'est très, très personnel en fonction de mon lieu de vie, de mon rythme professionnel, de ma construction familiale (bref ce dont je suis capable de me passer)
ET mon "nécessaire" pour déguster au maximum de ce bref passage sur terre tout en adoptant le "merci de laisser cette planète dans l'état ou vous auriez aimé la trouver..voir mieux"
Une petite phrase piochée dans No impact man de Colin Beavan qui m'a pas mal fait réfléchir " En deçà d'un certain seuil de non consommation, c'est la misère" donc pour avoir déjà testé certaines périodes de simplicité non volontaire j'essaye de m'organiser pour trouver un juste équilibre volontaire
Antirouille- Date d'inscription : 14/01/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Antirouille a écrit: SV mais un peu (beaucoup) épicurienne !
C'est le côté sensoriel de faire soi-même, de plus de "dehors", plus de petits temps humains (dont les apéros), le retour d'un rythme tranquille, les petits plaisirs nature qui m'amènent vers la simplicité.
C'est exactement ça.
Sans compter que Sv et un certain "carpe diem" sont loin d'être incompatible. Je me souviens d'une conversation avec un collègue de travail à propos de la compote de pomme maison. D'après lui, c'était une perte de temps et d'argent. J'avais argumenté que c'était plus écologique, puisque pas de transport ou de contenants... Jusqu'à l'argument qui fit mouche: "et c'est tellement bon!". Effectivement, faire sa compote soi-même c'est plus écolo, plus SV mais c'est surtout bien meilleur!
Je n'envisage pas la Sv comme un mode de vie austère, bien au contraire. Je suis sobre, simple mais débordante de joie de vivre! Et cela passe par ces petits bonheurs pas forcément nécessaires que sont une chanson de Toots and the Maytals, un bon roman, ou ouvrir en plein hiver un bocal de la sauce tomate mijotée pendant l'été et qui fait entendre des cigales par -10°!
Iris d'eau- Localisation : Saint Pierre des Corps
Date d'inscription : 15/03/2012
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
J'aurais tendance à dire : "la consommation c'est la misère" , quand on considère les ressources exploités, l'empreinte écologique, les déchets, les impacts environnementaux, sociaux, sanitaires qu'elle implique...Antirouille a écrit:Une petite phrase piochée dans No impact man de Colin Beavan qui m'a pas mal fait réfléchir " En deçà d'un certain seuil de non consommation, c'est la misère"
Iris d'eau a écrit:Sans compter que Sv et un certain "carpe diem" sont loin d'être incompatible. Je me souviens d'une conversation avec un collègue de travail à propos de la compote de pomme maison. D'après lui, c'était une perte de temps et d'argent. J'avais argumenté que c'était plus écologique, puisque pas de transport ou de contenants... Jusqu'à l'argument qui fit mouche: "et c'est tellement bon!". Effectivement, faire sa compote soi-même c'est plus écolo, plus SV mais c'est surtout bien meilleur!
Je n'envisage pas la Sv comme un mode de vie austère, bien au contraire. Je suis sobre, simple mais débordante de joie de vivre! Et cela passe par ces petits bonheurs pas forcément nécessaires que sont une chanson de Toots and the Maytals, un bon roman, ou ouvrir en plein hiver un bocal de la sauce tomate mijotée pendant l'été et qui fait entendre des cigales par -10°!
Ca semble évident mais c'est parfois bon de répéter les évidences, et j'aime bien comme tu l'exprimes !
Sur ce, je m'en vais voir comment se portent mes petits légumes au jardin.
joe.chip- Date d'inscription : 23/10/2006
Re: "Le superflu, chose très nécessaire"
Merci Antirouille et Iris d'Eau d'avoir fait cette distinction. Quand je lis "superflu", je pense aux choses qui nous encombrent, qui coupent notre énergie et qui ne produisent rien au niveau social . Un peu comme les choses chantées par JJ Godmann.
Je partage tout-à-fait le côté épicurien de ces derniers avis. Une chose n'est intéressante que si elle produit du bonheur, pour soi et pour les autres aussi, sans nuire non plus. En gardant à l'esprit un certain bon sens: manger des fraises en janvier chez nous, c'est peut-être agréable (quoiqu'elles ne rivalisent pas avec le goût des fraises de juin d'ici...), on se fait plaisir, mais avec quel bilan écologique?
Alors SV oui, avec beaucoup de joies (même les petites) et sans misère! Le juste équilibre d'Antirouille. Cela semble simple, mais cela implique quand même un questionnement régulier, un effort.
Je partage tout-à-fait le côté épicurien de ces derniers avis. Une chose n'est intéressante que si elle produit du bonheur, pour soi et pour les autres aussi, sans nuire non plus. En gardant à l'esprit un certain bon sens: manger des fraises en janvier chez nous, c'est peut-être agréable (quoiqu'elles ne rivalisent pas avec le goût des fraises de juin d'ici...), on se fait plaisir, mais avec quel bilan écologique?
Alors SV oui, avec beaucoup de joies (même les petites) et sans misère! Le juste équilibre d'Antirouille. Cela semble simple, mais cela implique quand même un questionnement régulier, un effort.
Orchidée- Date d'inscription : 05/04/2012
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