comment les conseiller ?
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comment les conseiller ?
hier, résultats des examens ouf les 4 enfants ont réussi, mon aîné va faire sa dernière année de secondaire et commence à penser à son orientation professionnelle, pas du tout porté vers les boulots manuels, son père lui conseille de fuir tout ce qui est commercial avec bénéfices à la clé et supérieurs qui vous harcèlent pour les augmenter sans cesse (mon mari est directeur supermarché..), il hésite : le journalisme (débouchés..), l'enseignement...pas facile comme parents de les conseiller..
reveuse- Age : 56
Localisation : charleroi belgique
Date d'inscription : 24/04/2008
Re: comment les conseiller ?
il peut aller dans un CIO ou utiliser le service "mon orientation en ligne"
http://monorientationenligne.fr/qr/index.php
Journaliste, de ce que j'en sais, c'est surtout dans des écoles privées, non ?
http://monorientationenligne.fr/qr/index.php
Journaliste, de ce que j'en sais, c'est surtout dans des écoles privées, non ?
Invité- Invité
Re: comment les conseiller ?
déjà consulté un service d'orientation conclusions : ne pas se diriger vers un métier manuel ou social (genre gardien de prison (!) ou éducateur personnes handicapées) pour le reste interessé par tout donc le choix est vaste. Le journalisme en Belgique, études universitaires...en Belgique, au niveau primaire 2 réseaux le communal et le libre (en principe catholique mais ça ne change rien) et au niveau secondaire (athenée ou collège), pour les universités je pense qu'elles ont toutes un pouvoir organisateur privé et sont subventionnées par les Communautés et coûtent très cher aux parents !
reveuse- Age : 56
Localisation : charleroi belgique
Date d'inscription : 24/04/2008
Re: comment les conseiller ?
Je ne suis pas du tout d'accord pour les boulots dans le social !!! En éducation spécialisée, surtout pour les hommes, les débouchées sont très nombreuses !!!
Et pour les métiers manuels c'est pareil, il y a énormément de débouchées en fonction des métiers....
Mais là je généralise donc après ça dépend du caractère de ton fils.
Et pour les métiers manuels c'est pareil, il y a énormément de débouchées en fonction des métiers....
Mais là je généralise donc après ça dépend du caractère de ton fils.
Re: comment les conseiller ?
Tout d'abord, rêveuse, laisse-moi te souhaiter bon courage. Vraiment. Je sais de quoi je parle, je suis en plein dedans, même si c'est presque fini....
Je vais essayer de te répondre, même si mon expérience concerne la France. Je ne connais pas suffisamment la Belgique pour savoir ce qui diffère.
Je pense qu'il faut voir un organisme d'orientation digne de ce nom. Mes deux grands y sont passés. Ça dure toute la journée. On évalue leurs capacités, leur caractère, leurs aspirations, leurs ambitions.... Ceci sur la base de test et d'exercices de mise en situation (logiciels).
Ensuite il y a un long entretient avec un psychologue. Enfin la restitution des résultats en présence des parents.
Les résultats sont donnés sous forme de directions, d'axes. Accessoirement, on peut ressortir de là avec quelques fiches métiers.
Une fois cet axe déterminé, il faut continuer à creuser. Mes grands ont fait depuis la 3ème presque tous les étés, des stages d'observation. Parce qu'à cet âge là (et même aussi plus tard d’ailleurs), quand on dit je veux être infirmière ou journaliste ou bucheron ou esthéticienne, on ne se rend pas du tout compte de la réalité du métier. En France, il y a un stage obligatoire en 3ème, mais c'est un peu tôt et trop peu. Cela permet de voir ce qu'est le métier et également de discuter de leur formation avec les personnes que l'on rencontre .
Enfin, pour choisir la formation, il faut essayer d'aller aux portes ouvertes des différentes écoles ou universités, discuter avec les profs et les étudiants. Le plus important est de connaître le contenu des cours, la durée, l'ambiance. Ne pas découvrir que "ah! moi qui déteste les math et qui croyais en avoir fini avec tout ça, je me retrouve avec 5h de math par semaine!!!"
J'ai utilisé le CIO à cette étape du cheminement. Pour trouver une formation. Ils m'ont donné des brochures de l'onisep......En plus il fallait les rendre 15j après( autant les acheter, ça vaut 8€. Au moins, on peut les consulter à tête reposée)...Sinon, ils m'ont conseillé d'aller .... sur internet. Autant dire consultation totalement inutile.
Enfin, dernière chose. Bien faire attention de ne pas se tromper. C'est assez mauvais pour l'étudiant ( estime de soi, CV). Ça diminue les chances de réussite (après une année ratée on est moins performant pour une éventuelle admission que juste en sortie de bac) . Ça coûte cher de perdre un an, même pour des formations dites gratuites. (en tout cas, beaucoup plus cher qu'un bilan d'orientation bien mené).
Je vais essayer de te répondre, même si mon expérience concerne la France. Je ne connais pas suffisamment la Belgique pour savoir ce qui diffère.
Je pense qu'il faut voir un organisme d'orientation digne de ce nom. Mes deux grands y sont passés. Ça dure toute la journée. On évalue leurs capacités, leur caractère, leurs aspirations, leurs ambitions.... Ceci sur la base de test et d'exercices de mise en situation (logiciels).
Ensuite il y a un long entretient avec un psychologue. Enfin la restitution des résultats en présence des parents.
Les résultats sont donnés sous forme de directions, d'axes. Accessoirement, on peut ressortir de là avec quelques fiches métiers.
Une fois cet axe déterminé, il faut continuer à creuser. Mes grands ont fait depuis la 3ème presque tous les étés, des stages d'observation. Parce qu'à cet âge là (et même aussi plus tard d’ailleurs), quand on dit je veux être infirmière ou journaliste ou bucheron ou esthéticienne, on ne se rend pas du tout compte de la réalité du métier. En France, il y a un stage obligatoire en 3ème, mais c'est un peu tôt et trop peu. Cela permet de voir ce qu'est le métier et également de discuter de leur formation avec les personnes que l'on rencontre .
Enfin, pour choisir la formation, il faut essayer d'aller aux portes ouvertes des différentes écoles ou universités, discuter avec les profs et les étudiants. Le plus important est de connaître le contenu des cours, la durée, l'ambiance. Ne pas découvrir que "ah! moi qui déteste les math et qui croyais en avoir fini avec tout ça, je me retrouve avec 5h de math par semaine!!!"
J'ai utilisé le CIO à cette étape du cheminement. Pour trouver une formation. Ils m'ont donné des brochures de l'onisep......En plus il fallait les rendre 15j après( autant les acheter, ça vaut 8€. Au moins, on peut les consulter à tête reposée)...Sinon, ils m'ont conseillé d'aller .... sur internet. Autant dire consultation totalement inutile.
Enfin, dernière chose. Bien faire attention de ne pas se tromper. C'est assez mauvais pour l'étudiant ( estime de soi, CV). Ça diminue les chances de réussite (après une année ratée on est moins performant pour une éventuelle admission que juste en sortie de bac) . Ça coûte cher de perdre un an, même pour des formations dites gratuites. (en tout cas, beaucoup plus cher qu'un bilan d'orientation bien mené).
-Françoise-- Date d'inscription : 20/06/2008
Re: comment les conseiller ?
Rien n'est jamais perdu, tout ce qui est vécu est utile pour savoir ou bien ce qu'on veut vraiment ou bien ce qu'on ne veut pas
le système dit qu'il faut absolument s'encadrer le reste de ses jours dans un boulot ? ou à tout le moins se ''former et formater'' pour en faire un ?
ce que j'en pense est dans mon blog... et ce que j'en sais c,est que j'ai moi-même lâché l'école à 18 ans, mon fils à 15 et que ça ne nous empêche pas de faire les vies qu'on souhaite, qu'on aime et dont nous sommes heureux... et pour ce qui est des problèmes dans la vie professionelle... ben, j'ai préféré les miens propres au sein de mon mode de vie à ceux qui me sont venus des autres, employeurs occasionnels ou clientèle mal-venue...
contrairement à ce que dit françoise, je suis persuadée que se tromper est ce qui peut arriver de mieux si on est dans un mode de vie où l'évolution personnelle et spirituelle est importante... se tromper ? reconnaître qu'on s'est trompé et ne pas en avoir peur ? changer de direction, laisser tomber une chose dès qu'on en ressent les effets nuisibles sur soi et dans sa vie ? c'est un signe qu'on cherche sa propre voie...
Vaut mieux perdre un an que SE perdre tout au long de sa vie... non ?
et pourquoi pas une année de pause ? pourquoi pas l'école de la vie ?
aide-apprentis dans une ferme bio, un camp pour enfants, une pension pour chevaux, un séjour comme aide à tout faire dans une maison de repos, un centre de ressourcement, une entreprise de construction écolo, ou un atelier de mécanique d'un bon copain ??
pourquoi pas tout de suite un petit boulot utile et l'expérience de ce que ça signifie être autonome ? ce que ça signifie VRAIMENT prendre sa vie et ses besoins en main ?
le système des institutions exige des jeunes qu'ils se casent beaucoup trop jeunes... beaucoup trop de pression ! et l,enfance ? et l'adolescence ?
... et surtout toutes les facultés personnelles qui seron trop vite mises à contribution, sacrifées au système avant même d'avoir pu parvenir à la conscience individuelle de soi-même ?
Pour qui vit-on sa Vie ?
Puisse les humains de bonne volonté oser ouvrir des chemins non fréquentés et y créer leur propre Lumière
lou élie
le système dit qu'il faut absolument s'encadrer le reste de ses jours dans un boulot ? ou à tout le moins se ''former et formater'' pour en faire un ?
ce que j'en pense est dans mon blog... et ce que j'en sais c,est que j'ai moi-même lâché l'école à 18 ans, mon fils à 15 et que ça ne nous empêche pas de faire les vies qu'on souhaite, qu'on aime et dont nous sommes heureux... et pour ce qui est des problèmes dans la vie professionelle... ben, j'ai préféré les miens propres au sein de mon mode de vie à ceux qui me sont venus des autres, employeurs occasionnels ou clientèle mal-venue...
contrairement à ce que dit françoise, je suis persuadée que se tromper est ce qui peut arriver de mieux si on est dans un mode de vie où l'évolution personnelle et spirituelle est importante... se tromper ? reconnaître qu'on s'est trompé et ne pas en avoir peur ? changer de direction, laisser tomber une chose dès qu'on en ressent les effets nuisibles sur soi et dans sa vie ? c'est un signe qu'on cherche sa propre voie...
Vaut mieux perdre un an que SE perdre tout au long de sa vie... non ?
et pourquoi pas une année de pause ? pourquoi pas l'école de la vie ?
aide-apprentis dans une ferme bio, un camp pour enfants, une pension pour chevaux, un séjour comme aide à tout faire dans une maison de repos, un centre de ressourcement, une entreprise de construction écolo, ou un atelier de mécanique d'un bon copain ??
pourquoi pas tout de suite un petit boulot utile et l'expérience de ce que ça signifie être autonome ? ce que ça signifie VRAIMENT prendre sa vie et ses besoins en main ?
le système des institutions exige des jeunes qu'ils se casent beaucoup trop jeunes... beaucoup trop de pression ! et l,enfance ? et l'adolescence ?
... et surtout toutes les facultés personnelles qui seron trop vite mises à contribution, sacrifées au système avant même d'avoir pu parvenir à la conscience individuelle de soi-même ?
Pour qui vit-on sa Vie ?
Puisse les humains de bonne volonté oser ouvrir des chemins non fréquentés et y créer leur propre Lumière
lou élie
Dernière édition par louise élie le Jeu 30 Juin 2011 - 16:21, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: comment les conseiller ?
Pourquoi, Louise? Mais parce que ce qui est possible sur le nouveau continent est plus difficile chez nous. C'est une question de mentalité. Situation que je déplore, d’ailleurs.
Alors, c'est vrai que cette (mauvaise) mentalité est plus présente en France qu'en Belgique.
Pour ce qui est de ne pas se tromper dans l'orientation, je suis d'accord avec toi, Louise. Bien sur, lorsque l'on se rend compte que l'on est pas dans la bonne voie, il vaut mieux y remédier sans délais. C'est évident.
Mon propos, c'était plutôt de faire le maximum pour éviter d'en arriver là. Et à ce sujet, en France, c'est loin d'être le cas. L'orientation n'existe quasi pas. Je connais beaucoup d'étudiants qui se cherchent, sans aucune aide. Plus le temps passe, plus ils perdent en assurance. Et malheureusement, ils finissent tous pas abandonner. Ne pas faire d'étude, c'est une chose. Ne pas en faire parce qu'on a échoué car mal orienté, c'est une autre chose.
Mais il semblerait que ça bouge: il y aurait des réformes à ce sujet pour les 2de à la rentrée. On verra ça.
Alors, c'est vrai que cette (mauvaise) mentalité est plus présente en France qu'en Belgique.
Pour ce qui est de ne pas se tromper dans l'orientation, je suis d'accord avec toi, Louise. Bien sur, lorsque l'on se rend compte que l'on est pas dans la bonne voie, il vaut mieux y remédier sans délais. C'est évident.
Mon propos, c'était plutôt de faire le maximum pour éviter d'en arriver là. Et à ce sujet, en France, c'est loin d'être le cas. L'orientation n'existe quasi pas. Je connais beaucoup d'étudiants qui se cherchent, sans aucune aide. Plus le temps passe, plus ils perdent en assurance. Et malheureusement, ils finissent tous pas abandonner. Ne pas faire d'étude, c'est une chose. Ne pas en faire parce qu'on a échoué car mal orienté, c'est une autre chose.
Mais il semblerait que ça bouge: il y aurait des réformes à ce sujet pour les 2de à la rentrée. On verra ça.
-Françoise-- Date d'inscription : 20/06/2008
Re: comment les conseiller ?
TSD a écrit:Je ne suis pas du tout d'accord pour les boulots dans le social !!! En éducation spécialisée, surtout pour les hommes, les débouchées sont très nombreuses !!!
dans le nord, oui, il y a du boulot à fond pour les éducs, mais ici, c'est la grosse grosse desche. Quand quelqu'un trouve un CDI, aussi merdique soit-il, il a plutôt intérêt à s'y agripper!
sapiens- Age : 40
Localisation : sud-ouest
Date d'inscription : 01/12/2009
Re: comment les conseiller ?
on va commencer les visites des écoles dès octobre, l'idée des stages
c'est pas mal, voir la réalité du métier sur le terrain. Les emplois dans le domaine manuel, il y en a plein mais ça ne tente pas mon fils. Pour le choix de l'orientation, droit à l'erreur 1X pas plus pour 5 années d'unif
avec logement min 30 000e ! Changer de boulot, toujours possible
faut oser se lancer mais parfois la maison à payer, les enfants ça fait réfléchir...
c'est pas mal, voir la réalité du métier sur le terrain. Les emplois dans le domaine manuel, il y en a plein mais ça ne tente pas mon fils. Pour le choix de l'orientation, droit à l'erreur 1X pas plus pour 5 années d'unif
avec logement min 30 000e ! Changer de boulot, toujours possible
faut oser se lancer mais parfois la maison à payer, les enfants ça fait réfléchir...
reveuse- Age : 56
Localisation : charleroi belgique
Date d'inscription : 24/04/2008
Re: comment les conseiller ?
Et dans la vie de tous les jours, c'est quoi les domaines où il est le plus à l'aise? S'occuper de plus petits, cuisiner, préfère-t-il des activités calmes ou plus sportives? Est-il plutôt réservé ou très expansif etc...?
Après, un métier manuel n'est pas forcément un travail de force. Nous avons ici de très bonnes écoles d'horlogerie où la minutie, la précision sont des qualités requises.
Après, un métier manuel n'est pas forcément un travail de force. Nous avons ici de très bonnes écoles d'horlogerie où la minutie, la précision sont des qualités requises.
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: comment les conseiller ?
sapiens a écrit:TSD a écrit:Je ne suis pas du tout d'accord pour les boulots dans le social !!! En éducation spécialisée, surtout pour les hommes, les débouchées sont très nombreuses !!!
dans le nord, oui, il y a du boulot à fond pour les éducs, mais ici, c'est la grosse grosse desche. Quand quelqu'un trouve un CDI, aussi merdique soit-il, il a plutôt intérêt à s'y agripper!
Première fois que j'entends ça chez les éducs... J'ai pas mal d'amis éducs, partout en France, et je n'ai jamais entendu dire que c'était difficile de trouver du boulot, bien au contraire. Après effectivement on trouve plus facilement des places d'éducs près des grandes villes....mais ça c'est valable pour beaucoup de métiers !
Re: comment les conseiller ?
Je suis du côté de Pau, mon ami est du Nord et n'a jamais eu du mal à trouvé du boulot là-bas, mais ici, tout le monde est au courant pour le moindre 20h/ semaine sur trois mois, il ne s'attendait pas à ça, il n'y a quasi jamais de cdi plein temps. Mais effectivement, près des grandes villes, ça doit le faire partout en France...
sapiens- Age : 40
Localisation : sud-ouest
Date d'inscription : 01/12/2009
Re: comment les conseiller ?
... pour faire suite au post de françoise... c'est tout de même ''drôle'' que moi c'est en France entre 18 et 20 ans que j'ai appris le plus sur les routes libres de l'école de la vie...^_^ ... Arche à Ambleteuse, travail de ferme dans la Drôme, les pommes, les vendanges, garder les chèvres, filer la laine, faire des ménages...
je ne crois pas que ça soit uniquement une question de frontière, on peut réussir à se débrouiller n'importe où tout à fait hors système, je dirais plutôt que c'est une question de confiance en soi et de confiance tout court dans l'existence
Mais de ce point de vue, je constate, autant dans les forums qu'auprès de mes nombreux amis français et belges que la mentalité est différente... peut-être que de ce côté ci de la mer, il souffle encore un vent de ''nomadisme'' et de confiance dans l'Inconnu ? mais, c'est pas si courant non plus, juste plus facile de le vivre, moins administré, et la pression sociale ne s'exerce pas de même manière
Je n'ai jamais eu de mal à trouver du travail et si il n'y en avait pas je l'inventais... je ne suis pas certaine que le fond de mon propos soit clair pour tous ceux qui me lisent ici, je ne suis pas certaine que le type ''d'aventure'' et de beau risque dont je parle soit partagé ou compris... oui ? non ?
se lancer dans le vide ... se mettre ''en danger'' ... sortir de la zone de confort de la société et faire confiance à sa Destinée ????
Invité- Invité
Re: comment les conseiller ?
J'aime pas les CIO. Quand j'étais étudiante et que je cherchais à me réorienter parce que je détestais mes études, ils m'ont dit de faire... ce que je faisais déjà et que mes parents m'avaient conseillé.
Finalement, j'ai tout plaqué pour faire un truc que j'aimais et c'est devenu mon métier.
A mon humble avis, la meilleure chose que tu puisses faire, c'est de les aider à trouver des petits stages, effectivement.
Finalement, j'ai tout plaqué pour faire un truc que j'aimais et c'est devenu mon métier.
A mon humble avis, la meilleure chose que tu puisses faire, c'est de les aider à trouver des petits stages, effectivement.
Emma- Date d'inscription : 22/06/2009
Re: comment les conseiller ?
louise élie a écrit:se lancer dans le vide ... se mettre ''en danger'' ... sortir de la zone de confort de la société et faire confiance à sa Destinée ????
C'est exactement ce que nous avons décidé de faire.....
Re: comment les conseiller ?
Possible quand on a la maturité d'esprit qui va de pair avec ce type de choix, mais là on parle d'un enfant (majeur ou pas, Rêveuse au fait?) encore à la charge de ses parents et dont ils se sentent (à juste titre) responsables. Si j'ai bien tout compris, lui-même ne sait pas vraiment ce qu'il veut faire?
Panthera Pardhus- Administrateur
- Date d'inscription : 11/12/2010
Re: comment les conseiller ?
personnellemnt, je conseillerais de regarder les offres d'emplois, on voit tout de suite où se trouve les débouchés !
sylvia- Age : 45
Localisation : 68
Date d'inscription : 21/06/2011
Re: comment les conseiller ?
C'est exactement ce que nous avons décidé de faire.....louise élie a écrit:se lancer dans le vide ... se mettre ''en danger'' ... sortir de la zone de confort de la société et faire confiance à sa Destinée ????
De même depuis mes 16 ans et j'en suis bien plus heureuse ainsi ...
Tous ceux que je connais et dont leurs parents ont "mis leur grain de sel" dans leur orientation ce sont ... vautrés ... ou alors pour le peu qu'ils aient réussis ils en sont bien malheureux car cela n'a pas été leur réel choix !
Même mineure mes parents m'ont laissé dans ce "grand vide" et m'ont laissé me tromper à maintes reprises. Ah c'est sûr, aux yeux de la société je ne suis pas grand chose, professionnellement parlant je ne suis pas devenue quelqu'un et pourtant j'étudie, je travaille à ma façon et c'est ça qu'est pour moi la vie. Demain bibliothécaire ? ou toujours mère au foyer ? Dans 10 ans agente de déchetterie ou de station d'épuration ? Qu'importe ! Je ne cherche pas à tracer un chemin pré-dessiné, je marche pas à pas en profitant de ce qu'il y a devant moi sans me soucier de l'horizon.
Mélanie D.- Date d'inscription : 05/04/2011
Re: comment les conseiller ?
Je suis complètement d'accord avec louise élie sur ce sujet. Déjà ça me gêne un peu qu'on considère apparemment que chacun devrait avoir une et une seule orientation dans sa vie. Pour certains, oui parce qu'ils ont une passion, un domaine dans lequel ils excellent, et ils y resteront fidèles toute leur vie. Mais pour d'autres, non. Perso j'ai 37 ans, j'en suis à ma 3e orientation (thèse d'agronomie -> 5 ans d'informatique en SSII -> éditrice dans le milieu de la SF depuis maintenant 5 ans), 4e même si on considère que je suis en même temps mère au foyer alors que je n'avais pas prévu d'avoir d'enfant, et je sens bien que même si je n'ai pas envie d'abandonner mon domaine actuel (je parle de l'édition, là), je me lancerai sans doute en parallèle dans une autre activité, sans doute complètement différente, dans qq années. J'ai la bougeotte, mais je ne considère pas ça comme un handicap, bien au contraire.
Je suis tout à fait d'accord aussi avec louise élie quand elle dit et pourquoi pas faire une pause au milieu de son cursus ? Ça serait à refaire, cette pause, je la ferais sans hésiter.
Je suis tout à fait d'accord aussi avec louise élie quand elle dit et pourquoi pas faire une pause au milieu de son cursus ? Ça serait à refaire, cette pause, je la ferais sans hésiter.
Re: comment les conseiller ?
Rêveuse j'ai envie de te dire un truc : ne flippe pas trop (ouaih je sais facile à dire) ça joue sur le stress des enfants; Mon compagnon à 18 ans n'avait jamais travaillé de sa vie à l'école, il ne savait pas ce qu'il voulait faire, il a eu son bac malgré tout. Il a fait des petits boulots, d'ailleurs un TUC (travaux d'utilité collective, genre emploi jeunes mais y'a 20 ans) à l'époque dans un aérodrome lui a permis de passer son permis avion gratuitement. Ca c'était une sacrée expérience ! Puis il a vécu de trucs pas forcèment orthodoxes puis a fini par se faire virer de chez son beau père parce qu'il ne faisait rien. Il est "monté" à Paris chez des amis, et là il s'est mis à travailler comme n'importe qui. Le boulot n'a jamais été toute sa vie, il a toujours eu ses passions à côté. Mais voilà il n'a depuis jamais été au chômage. J'aime son côté autodidacte, débrouillard...Je pense à sa mère qui n'a jamais vraiment eu peur pour son fils (même si elle savait que c'était pas gagné pour lui), je suis persuadée que ça joue. Je viens d'une famille de grands angoissés avec des parents rigides et obsédés par les études, je passe sur mon parcours...Le plus important c'est d'aider son enfant à avoir confiance en lui et de lui faire confiance, de le pousser à développer ses passions...
Je ne crois pas au parcours sans faute, je connais une foule de personnes qui ont bifurqué, pris une année sabbatique ou que sais je encore et qui s'en sortent très très bien.
Le CIO tout ça c'est très bien pour se renseigner techniquement et administrativement, mais rien ne remplace la vraie vie, les rencontres, les expériences...
Je ne crois pas au parcours sans faute, je connais une foule de personnes qui ont bifurqué, pris une année sabbatique ou que sais je encore et qui s'en sortent très très bien.
Le CIO tout ça c'est très bien pour se renseigner techniquement et administrativement, mais rien ne remplace la vraie vie, les rencontres, les expériences...
floriali- Localisation : la campagne près de Paris
Date d'inscription : 30/09/2009
Re: comment les conseiller ?
C'est tout à fait ça. L'aider à faire son choix sans choisir à sa place. Simplement en l'aidant à se connaître et à identifier ses aspirations profondes.Ceci afin de choisir en connaissance de cause.floriali a écrit:Le plus important c'est d'aider son enfant à avoir confiance en lui et de lui faire confiance, de le pousser à développer ses passions...
Pourquoi tout cela? Mais pour qu'il ait une vie qui lui convienne. Tout simplement.
-Françoise-- Date d'inscription : 20/06/2008
Re: comment les conseiller ?
Ca serait super si on pouvait se laisser le temps / se tromper / faire des pauses / changer d'avis. Mais le système est tel que :
1. c'est quand même plus facile quand on a fait des études
2. et c'est quand plus facile de faire des études quand on a "l'âge" (pas d'enfant, pas de prêt immobilier à rembourser etc.)
Je suis horrifiée quand je vois des annonces pour être femme de chambre dans un hôtel, où on EXIGE 1 an d'expérience ! Sûrement que c'est un métier exigeant et qu'il y a des compétences à développer. Mais enfin... si un employeur ne va pas prendre le risque de donner sa chance à quelqu'un pour faire des chambres d'hôtel... qu'est-ce qu'on peut faire si quand on n'a ni diplôme ni expérience ??
1. c'est quand même plus facile quand on a fait des études
2. et c'est quand plus facile de faire des études quand on a "l'âge" (pas d'enfant, pas de prêt immobilier à rembourser etc.)
Je suis horrifiée quand je vois des annonces pour être femme de chambre dans un hôtel, où on EXIGE 1 an d'expérience ! Sûrement que c'est un métier exigeant et qu'il y a des compétences à développer. Mais enfin... si un employeur ne va pas prendre le risque de donner sa chance à quelqu'un pour faire des chambres d'hôtel... qu'est-ce qu'on peut faire si quand on n'a ni diplôme ni expérience ??
Invité- Invité
Re: comment les conseiller ?
magnierc a écrit:Je suis horrifiée quand je vois des annonces pour être femme de chambre dans un hôtel, où on EXIGE 1 an d'expérience ! Sûrement que c'est un métier exigeant et qu'il y a des compétences à développer. Mais enfin... si un employeur ne va pas prendre le risque de donner sa chance à quelqu'un pour faire des chambres d'hôtel... qu'est-ce qu'on peut faire si quand on n'a ni diplôme ni expérience ??
Dans ma première branche, pour certains boulots, il fallait avoir moins de 25 ans, un diplôme (5 ans d'études) et 5 ans d'expérience.
Alors comment dire ?
Pour la plupart des boulots, ils exigent de l'expérience, mais si personne ne prend des inexpérimentés on ne va pas aller loin !
Emma- Date d'inscription : 22/06/2009
Re: comment les conseiller ?
Je serai de plus-en-plus pour l'apprentissage en alternance et faire connaître le monde du travail aux gamins.
J'ai un petit cousin qui n'en peut plus des études et veut tout plaquer, j'ai dit aux parents "laissez-le se débrouiller tout cet été!" mais ils n'osent pas, mettent la pression pour qu'il continue vaille que vaille mais lui laissent la maison en leur absence, le budget bouffe (qui finira en fumée) et le fliquent à distance. Alors que je suis persuadée qu'en trois mois de "roadage", à manger des pâtes et porter les mêmes fringues, ça l'aurait aidé à faire des choix de vie et à expérimenter cette autonomie dont il a tant besoin.
Ah mais c'est facile à dire, je sais bien! les miens sont tout petits et niveau autonomie, je suis loin d'être comme F. Dolto qui laissait son fils prendre le métro seul à quatre ans. Néanmoins c'est à eux de prendre conscience, de trouver l'information. On les aide en leur assurant un filet de sécurité c'est-à-dire en faisant qu'ils aient toujours conscience que quoi qu'il arrive, on ne les laissera pas coucher sous les ponts ou crever de faim. Mais pour tout le reste, pas moyen de faire à leur place.
Pour des ados qui accrochent bien aux études et dont les parents peuvent assurer une aide financière, les conseils donnés me paraissent judicieux: faire un bilan etc... La réalité du monde du travail et des débouchés nous est souvent inconnue. Il paraît qu'on ne connaît pas la moitié des métiers de demain. Se faire conseiller est une bonne chose. Tous les mômes ne sont pas épris de liberté, certains ont besoin de beaucoup de stabilité et à ceux-là je conseillerais de rentrer dans la fonction publique par le biais des concours.
J'ai un petit cousin qui n'en peut plus des études et veut tout plaquer, j'ai dit aux parents "laissez-le se débrouiller tout cet été!" mais ils n'osent pas, mettent la pression pour qu'il continue vaille que vaille mais lui laissent la maison en leur absence, le budget bouffe (qui finira en fumée) et le fliquent à distance. Alors que je suis persuadée qu'en trois mois de "roadage", à manger des pâtes et porter les mêmes fringues, ça l'aurait aidé à faire des choix de vie et à expérimenter cette autonomie dont il a tant besoin.
Ah mais c'est facile à dire, je sais bien! les miens sont tout petits et niveau autonomie, je suis loin d'être comme F. Dolto qui laissait son fils prendre le métro seul à quatre ans. Néanmoins c'est à eux de prendre conscience, de trouver l'information. On les aide en leur assurant un filet de sécurité c'est-à-dire en faisant qu'ils aient toujours conscience que quoi qu'il arrive, on ne les laissera pas coucher sous les ponts ou crever de faim. Mais pour tout le reste, pas moyen de faire à leur place.
Pour des ados qui accrochent bien aux études et dont les parents peuvent assurer une aide financière, les conseils donnés me paraissent judicieux: faire un bilan etc... La réalité du monde du travail et des débouchés nous est souvent inconnue. Il paraît qu'on ne connaît pas la moitié des métiers de demain. Se faire conseiller est une bonne chose. Tous les mômes ne sont pas épris de liberté, certains ont besoin de beaucoup de stabilité et à ceux-là je conseillerais de rentrer dans la fonction publique par le biais des concours.
Twiggy- Age : 50
Date d'inscription : 27/02/2011
Re: comment les conseiller ?
Je pensais à ça aussi... il n'y a pas que le domaine dans lequel on veut travailler qui compte mais aussi le style de vie :Twiggy a écrit:. Tous les mômes ne sont pas épris de liberté, certains ont besoin de beaucoup de stabilité et à ceux-là je conseillerais de rentrer dans la fonction publique par le biais des concours.
- Devoir voyager pour son boulot : un avantage ou une contrainte ?
- Envie d'avoir un travail qui laisse du temps pour les passions (possibilité de faire du temps partiel...)
- Envie de pouvoir trouver facilement dans une région précise ou être prêt à bouger pour le boulot de ses rêves
Invité- Invité
Re: comment les conseiller ?
mon fils de 17ans est comme son papa qq qui a besoin de stabilité, de choses assez "carrées", pas envie de voyager pour son boulot, ne pas consacrer toute sa vie au boulot, ne rêve pas d'être riche, juste envie d'une vie simple , ce n'est pas du tout un aventurier...
reveuse- Age : 56
Localisation : charleroi belgique
Date d'inscription : 24/04/2008
Re: comment les conseiller ?
La discussion est très intéressante, et comme toujours ici, riche de points de vue divers.
J'aurais simplement envie de dire qu'il "ne faut pas" avoir peur de l'échec, sous-estimer ses capacités (ou celles de ses enfants). La peur d'échouer et l'envi de sécurité cantonnent souvent même les jeunes à choisir des voies sûres plutôt que celles qui les passionnent.
Attention à ne pas s'enfermer dans une petite case !
J'aurais simplement envie de dire qu'il "ne faut pas" avoir peur de l'échec, sous-estimer ses capacités (ou celles de ses enfants). La peur d'échouer et l'envi de sécurité cantonnent souvent même les jeunes à choisir des voies sûres plutôt que celles qui les passionnent.
Attention à ne pas s'enfermer dans une petite case !
Pistil- Age : 43
Localisation : Aveyron
Date d'inscription : 15/01/2007
Re: comment les conseiller ?
Twiggy a écrit:Pour des ados qui accrochent bien aux études et dont les parents peuvent assurer une aide financière, les conseils donnés me paraissent judicieux: faire un bilan etc...
En fait, je ne suis pas d'accord avec ça. Pour ces enfants dont tu parles, je pense que l'orientation est moins importante que pour ceux qui sont en échec scolaire. On a trop souvent tendance à confondre échec scolaire et échec tout court. En France, en tout cas: C'est ce que je disais dans ma réponse à Louise. Notre système scolaire actuel ne met pas en valeur toutes les formes d'intelligence. Un bilan d'orientation digne de ce nom, peut y parvenir. Contrairement aux idées reçues, il ne s'adresse pas seulement aux bac S mention TB.
Un gamin à qui on martèle depuis plusieurs années qu'il est un incapable parce qu'il a toujours 0/20 en dictée et/ou parce qu'il ne sait pas manipuler ses identités remarquables en math, tirera beaucoup de bénéfice à entendre qu'il a des capacités, des affinités pour telle ou telle voie. Mais attention: il faut bien évidemment fuir les organismes qui cataloguent les gamins trop vite. On parle bien ici de voies, de directions. Pas de métiers !!. (ne pas s'enfermer dans une petite case, comme dit Pistil).
Et bien évidemment, fuir aussi les organismes trop liés au système qui n'ont pour seul but que de remplir les filières où il manque d'élèves.
Pour ce qui est du besoin de stabilité ou pas, de la mobilité, de la durée de travail, de la volonté de travailler en équipe ou pas, du besoin de prendre des responsabilités ou pas, etc.... tout ceci est évoqué largement au cours de l'entretient, et pris en compte.
Quand je dis qu'il faut des conseils en matière d'orientation, je ne dis pas qu'il faut mettre tout le monde en études longues. Je dis simplement qu'il faut aider chaque personne à trouver la place où il se sentira le mieux. Certes, on peut faire confiance aux hasards de la vie pour cela. Ou à sa bonne étoile....
Je n'avais pas envie de cette méthode pour les miens. Ma fille ne serait jamais arrivée seule dans la voie où elle est actuellement. Parce que c'est un secteur qui lui/nous était totalement étranger auparavant. Elle n'avait aucune raison de s'y intéresser à priori. Pourtant, elle aime ce qu'elle fait et elle a des capacités pour ça. C'est son truc, quoi.
Je pense que votre réticence à faire appel à ce type d'organisme vient du fait que beaucoup d'entre eux ne sont pas à la hauteur. Malheureusement.
-Françoise-- Date d'inscription : 20/06/2008
Re: comment les conseiller ?
Ce que je voulais dire, c'est que les enfants de Rêveuse semblaient être dans ce cas. Pour d'autres qui marchent moins bien j'aurais peut-être davantage axé sur la recherche de leur personnalité avant même de parler parcours ou cursus.
Ce qui me rend un peu inquiète, c'est que j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de choses qui sont déterminées dès le départ. Les parents qui s'inquiètent de bien faire pour aider leur progéniture sont souvent ceux qui sont les mieux informés, sauront dès qu'ils sont petits faire les bons choix, mettre en place les aides nécessaires, utiliser leur réseau par la suite.
Et je ne parle pas d'écoles privées pour arriver à Polytechnique, on est bien d'accord, juste d'aider un gamin à trouver sa place pour être heureux.
Je n'ai effectivement pas spécialement confiance en l'école seule et je n'ai pas gardé un bon souvenir de mes recherches à l'ONISEP mais j'ai encore un peu de temps pour mes enfants, merci de nous permettre de nous instruire grâce à ce fil.
Ce qui me rend un peu inquiète, c'est que j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de choses qui sont déterminées dès le départ. Les parents qui s'inquiètent de bien faire pour aider leur progéniture sont souvent ceux qui sont les mieux informés, sauront dès qu'ils sont petits faire les bons choix, mettre en place les aides nécessaires, utiliser leur réseau par la suite.
Et je ne parle pas d'écoles privées pour arriver à Polytechnique, on est bien d'accord, juste d'aider un gamin à trouver sa place pour être heureux.
Je n'ai effectivement pas spécialement confiance en l'école seule et je n'ai pas gardé un bon souvenir de mes recherches à l'ONISEP mais j'ai encore un peu de temps pour mes enfants, merci de nous permettre de nous instruire grâce à ce fil.
Twiggy- Age : 50
Date d'inscription : 27/02/2011
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