Communication simple
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Communication simple
Rappel du premier message :
Ma proposition d'étudier les faire-part pour les simplifier s'est plantée! Mon but premier n'étant pas celui-là, je précise ma recherche. Je trouve que la communication est devenue très compliquée. Dès qu'on dépasse un certain seuil de superficialité politiquement correcte, la communication devient difficile. Le prudence, de vertu est devenue une défense. Le besoin de s'exprimer, dire sa vérité comme une partie de la vérité à construire ensemble se dissout bien souvent dans des batailles d'arguments, des décorticages qui épuisent les énergies, et se termine dans une décision finale "volontaire" d'assumer sa solitude. J'ai pendant trois mois mis des "mots" dans un journal électronique. L'expérience fut désastreuse! Pas le moindre dialogue ou tellement peu: ou chacun parle pour soi, ou on s'injurie! Complexe de Colomb. Les votes demandés sur "constructif ou pas" se réduisent à exprimer si on est "d'accord" ou "pas d'accord".
Les forums internet connaissent un engouement croissant. Pour combien de temps? On assiste le plus souvent à des épuisements de dialogue: on a dit ce qu'on avait à dire comme une bouteille qu'on jette à la mer... et puis on s'en va. Le besoin de se dire peut-il se passer de celui d'être entendu? Pourquoi la nécessité d'un pseudonyme? Prudence ou permis de provocation? Respect de quoi? Heureusement que c'était mon pseudonyme qui a été méprisé, insulté, trainé dans la boue... parce que je disais, entre autres "pôv Justine" qui avait encore "gagné"! Quoi?.
La communication est donc devenue compliquée. Que de précautions oratoires faut-il prendre pour que le dialogue ne se plante pas dans la souffrance! Peur de faire mal ou d'avoir mal?
Est-ce votre avis aussi? Avez-vous des pistes pour la simplifier, cette foutue communication, si nécessaire pourtant? Bien protégé au milieu de son château fort, on risque de mourir de faim, si, sans porte dans ses défenses, on ne peut plus se ravitailler! Faim de quoi? Qui se trouve où? Je serai heureux d'avoir votre avis et vos conseils.
P.S: pour info, j'ai mis une grosse demi-heure pour écrire ces quelques lignes! Mais cela ne compte pas. L'avantage de la nuit, c'est que le temps ne compte pas! Il est gratuit. J'aime travailler la nuit. A notre époque, quel trésor que d'avoir du temps, de se donner le temps, de communiquer! Salut à Loulie qui était en même temps que moi sur le site, même si j'y suis de nouveau seul.
Ma proposition d'étudier les faire-part pour les simplifier s'est plantée! Mon but premier n'étant pas celui-là, je précise ma recherche. Je trouve que la communication est devenue très compliquée. Dès qu'on dépasse un certain seuil de superficialité politiquement correcte, la communication devient difficile. Le prudence, de vertu est devenue une défense. Le besoin de s'exprimer, dire sa vérité comme une partie de la vérité à construire ensemble se dissout bien souvent dans des batailles d'arguments, des décorticages qui épuisent les énergies, et se termine dans une décision finale "volontaire" d'assumer sa solitude. J'ai pendant trois mois mis des "mots" dans un journal électronique. L'expérience fut désastreuse! Pas le moindre dialogue ou tellement peu: ou chacun parle pour soi, ou on s'injurie! Complexe de Colomb. Les votes demandés sur "constructif ou pas" se réduisent à exprimer si on est "d'accord" ou "pas d'accord".
Les forums internet connaissent un engouement croissant. Pour combien de temps? On assiste le plus souvent à des épuisements de dialogue: on a dit ce qu'on avait à dire comme une bouteille qu'on jette à la mer... et puis on s'en va. Le besoin de se dire peut-il se passer de celui d'être entendu? Pourquoi la nécessité d'un pseudonyme? Prudence ou permis de provocation? Respect de quoi? Heureusement que c'était mon pseudonyme qui a été méprisé, insulté, trainé dans la boue... parce que je disais, entre autres "pôv Justine" qui avait encore "gagné"! Quoi?.
La communication est donc devenue compliquée. Que de précautions oratoires faut-il prendre pour que le dialogue ne se plante pas dans la souffrance! Peur de faire mal ou d'avoir mal?
Est-ce votre avis aussi? Avez-vous des pistes pour la simplifier, cette foutue communication, si nécessaire pourtant? Bien protégé au milieu de son château fort, on risque de mourir de faim, si, sans porte dans ses défenses, on ne peut plus se ravitailler! Faim de quoi? Qui se trouve où? Je serai heureux d'avoir votre avis et vos conseils.
P.S: pour info, j'ai mis une grosse demi-heure pour écrire ces quelques lignes! Mais cela ne compte pas. L'avantage de la nuit, c'est que le temps ne compte pas! Il est gratuit. J'aime travailler la nuit. A notre époque, quel trésor que d'avoir du temps, de se donner le temps, de communiquer! Salut à Loulie qui était en même temps que moi sur le site, même si j'y suis de nouveau seul.
Re: Communication simple
Je me bats.
Je rencontre des gens, beaucoup de gens , qui rencontrent eux-mêmes beaucoup de gens... tous disent la même chose....
Non je ne suis pas "mélancolique". Il y a longtemps que je n'utilise plus d'adjectif pour moi-même. Je cherche un nom à cette peur.. que je vois chez chacun.
Je pense qu'on ne devrait jamais dire "tu es... ", ni "je suis..." même précédé de "je pense". Chacun est un univers à lui tout seul. Seuls les actes comptent.
En faire une règle? Pour moi-même en tout cas!
Je rencontre des gens, beaucoup de gens , qui rencontrent eux-mêmes beaucoup de gens... tous disent la même chose....
Non je ne suis pas "mélancolique". Il y a longtemps que je n'utilise plus d'adjectif pour moi-même. Je cherche un nom à cette peur.. que je vois chez chacun.
Je pense qu'on ne devrait jamais dire "tu es... ", ni "je suis..." même précédé de "je pense". Chacun est un univers à lui tout seul. Seuls les actes comptent.
En faire une règle? Pour moi-même en tout cas!
Re: Communication simple
Aspiral a écrit:Je me bats.
Je rencontre des gens, beaucoup de gens , qui rencontrent eux-mêmes beaucoup de gens... tous disent la même chose....
.........
... alors commence à leur dire des choses douces simples et sincères qu'ils n'ont peut-être jamais entendues... ?
Invité- Invité
Re: Communication simple
Il faut Aimer pour etre aimer !
aider pour etre remercié !
voir ! et ne plus regarder !
aimer pour faire briller !
ne plus se plaindre ,pour exister !
S'aimer pour rayonner !
aider pour etre remercié !
voir ! et ne plus regarder !
aimer pour faire briller !
ne plus se plaindre ,pour exister !
S'aimer pour rayonner !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Dagda a écrit:Il faut Aimer pour etre aimer !
aider pour etre remercié !
J'espère dans un rapport qualité-prix honnête!
voir ! et ne plus regarder !
aimer pour faire briller !
ne plus se plaindre ,pour exister !
Intéressant!
S'aimer pour rayonner !
Dans quelles conditions?
"J'avais tellement soif, disait Christiane Singer dans un de ses livres, que je n'ai pas trouvé d'autre solution que de devenir source"
P.S.: Excusez-moi; je n'ai pas encore trouvé le moyen de faire de belles fenêtres!
Re: Communication simple
Quelq'un disait :
En bretagne il pleut tout les jours !
O.De.kersauson :
En bretagne il fait beau plusieur fois par jour !
de répondre :
oui mais c'est pas marrant de se faire tremper !
O.De.kersauson :
En bretagne il ne pleut que sur les cons ...
Oui ce n'est pas une référence pour tous le monde !
Mais si on s'ennuie et qu'on cherche bien ,meme en pleine santée ,on vas
toujours trouver un endroit du corp qui fait souffrir !
Alors autant chercher ce qui fait du bien !
citation :
S'aimer pour rayonner !
Dans quelles conditions?
Bah quand on se promène dans la rue , il y a des gens qui sont pale et qui font des tronches
de 30 mètres de long !!
puis il y a ceux qui rayonne avec de grands sourire !
en générale les seconds ,s'aime eux meme et rayonne !
avez vous comprit le sens de mes mots aspirale ?
En bretagne il pleut tout les jours !
O.De.kersauson :
En bretagne il fait beau plusieur fois par jour !
de répondre :
oui mais c'est pas marrant de se faire tremper !
O.De.kersauson :
En bretagne il ne pleut que sur les cons ...
Oui ce n'est pas une référence pour tous le monde !
Mais si on s'ennuie et qu'on cherche bien ,meme en pleine santée ,on vas
toujours trouver un endroit du corp qui fait souffrir !
Alors autant chercher ce qui fait du bien !
citation :
S'aimer pour rayonner !
Dans quelles conditions?
Bah quand on se promène dans la rue , il y a des gens qui sont pale et qui font des tronches
de 30 mètres de long !!
puis il y a ceux qui rayonne avec de grands sourire !
en générale les seconds ,s'aime eux meme et rayonne !
avez vous comprit le sens de mes mots aspirale ?
Invité- Invité
Re: Communication simple
je ne vais pas déposer un brevet pour l'experience dont je vais vous parler !
mais quand on se sent mal fatigué ,triste !!
il suffit de se mettre un bon coup de marteau sur le pouce !
ou attrapper une angine et 41 de fievre !
pour ce rendre compte que la veille nous allions très bien !
mais quand on se sent mal fatigué ,triste !!
il suffit de se mettre un bon coup de marteau sur le pouce !
ou attrapper une angine et 41 de fievre !
pour ce rendre compte que la veille nous allions très bien !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Aimer,
c’est quitter son masque
et ses déguisements.
Aimer, c’est oser,
c’est prendre le risque,
c’est quitter la terre ferme,
c’est ne pas savoir à l’avance
ce qu’il y a devant,
c’est accepter l’inconnu,
l’inattendu,
l’imprévu,
et la rencontre.
Aimer,
c’est quitter son abri,
c’est essuyer le vent de face
et porter le soleil sur son dos.
Aimer,
c’est n’avoir plus d’autre maison que le chemin.
Extrait adapté de « Naître » de J. Debruynne, Desclée.
"Faire-part", n'est pas ça aussi ?
c’est quitter son masque
et ses déguisements.
Aimer, c’est oser,
c’est prendre le risque,
c’est quitter la terre ferme,
c’est ne pas savoir à l’avance
ce qu’il y a devant,
c’est accepter l’inconnu,
l’inattendu,
l’imprévu,
et la rencontre.
Aimer,
c’est quitter son abri,
c’est essuyer le vent de face
et porter le soleil sur son dos.
Aimer,
c’est n’avoir plus d’autre maison que le chemin.
Extrait adapté de « Naître » de J. Debruynne, Desclée.
"Faire-part", n'est pas ça aussi ?
Espérance- Age : 57
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 02/02/2008
Re: Communication simple
Tout cela est bien beau... mais le problème, je crois, ce n'est pas aimer, c'est être aimé, disons respecté, reconnu dans sa totalité. La difficulté de faire-part, la peur de se dire vient avant tout de cela. Je propose d'étudier aimer après avoir étudié être aimé, quand on aura des réserves pour cela.
Je crois que j'ai trouvé ce qui rendait si difficile de se donner à aimer: la culpabilisation.
Quand un événement arrive, c'est bien souvent un moindre mal; il a des milliards de milliards de "causes", dont la plupart son inconscientes et ne nous appartiennent pas. Bien souvent quand on prend une "décision", qu'on pose un acte, qu'on dit une parole, c'est le moins mauvais de ce qu'on ait pu dire ou faire, car très souvent on n'a que le choix entre un mal et un moindre mal. Pas de bonne solution à l'horizon...de conscience! Ce n'est que pour les autres qu'on a des solutions "géniales" du genre yakataka.
Dans notre civilisation où on a banni toutes les règles de savoir-vivre qu'on ne comprenait pas, on a érigé la "liberté" comme dieu, comme signe de respect, d'amour. Plus aucun pouvoir ne peut s'exercer sans faire comprendre au subalterne pourquoi ceci ou cela. On ne peut plus dire aux enfants: "tu comprendras quand tu seras grand". Alors on fait du chantage, à l'émotion, partout, tout le temps; on exerce le pouvoir par culpabilisation. On met la pression. On ne nous culpabilise pas seulement sur la route en nous faisant croire qu'en roulant à 74 au lieu de 70, on fait courir de grands risques aux autres, proches, par accident, ou à venir, par augmentation du CO2. On nous culpabilise partout, du ratage de l'éducation de nos enfants à notre mort prématurée par excès "pondéral"; on prend en otage notre désir d'aimer en nous faisant acheter "bio", notre besoin d'être aimé en ressemblant à des planches à repasser, et puis....pour essayer d'endiguer la violence qui monte, qui monte... , comme la cerise sur le gâteau,... en nous inventant des milliards de lois incompréhensibles tout en nous rappelant que nul n'est sensé ignorer la loi.... Désagréable sensation de viol!
La culpabilisation peut donc être considérée une forme de viol psychologique. Violer c'est vous prendre tout pour la partie qu'on a besoin. Le viol psychologique, c'est isoler la cause qui concerne la partie de toutes les autres causes. On vous prend pour une partie et on vous charge de la totalité de la faute, de la responsabilité qu'on vous fait confondre avec la culpabilité.
Et alors, la culpabilisation descend par débordement, en cascade: on reproche à son conjoint et à ses enfants, mais aussi aux adolescents des écoles de ne pas nous aimer, après tout ce qu'on a fait pour eux, de ne pas nous rendre selon ce que nous supposons avoir "bien" mérité, sans plus pouvoir prendre le recul nécessaire pour se rendre compte de ce qu'un amour qui se mérite, ce n'est plus de l'amour mais de la prostitution affective.
Violé en amont, on se donne le droit de violer en aval. C'est la civilisation du "ben quoi"! Ben quoi , je ne vois pas où est le problème pour moi, donc il n'y a pas de problème, pour toi.
-"Ben quoi, je ne comprends pas pourquoi tu as mal puisque moi, je ne sens rien"!
- "Bien sûr, répond l'autre, puisque c'est moi qui ai le pied dessous"!
- "Mais non, tu n'as pas mal, tu mens... tu es menteur. C'est impossible."
Si on y pense bien, on ne devrait jamais donner un adjectif à quelqu'un. "Tu es par exemple paresseux ou méchant mais aussi jolie ou intelligente". C'est toujours prendre la partie pour le tout, violer l'infinie complexité des possibilités de l'être qu'il est et qu'il est appelé à devenir comme le moins mauvais compromis qu'il a trouvé à être envers et contre tout. Mais surtout c'est le réduire à devoir être "cela" à vos yeux, et peut être, comme souvent, le condamner à le rester. Le viol de la culpabilisation, est une stigmatisation qui bloque toute possibilité de changer, d'évoluer, chez la victime. Cela saccage ses repères d'espace et de temps. Cela le condamne aux travaux forcés du présent continu, à l'enfermement mental dans la surenchère d'une pensée qui tourne en rond.
La loi, les règles, les conventions sociales, qui consitituent le savoir-vivre ensemble, doivent d'abord être apprises "par cœur", car il faut des années parfois pour en comprendre le bien fondé de ceux qui les ont mises en place. Elles doivent être fécondées à chaque génération du sens qui les ont vues naître avant de pouvoir être changées, voire abandonnées, en conservant ce sens, ce pour quoi elles ont été édictées.
On est en train de faire la triste expérience d'une liberté déifiée: si chacun se limite à pratiquer ce qu'il a compris de la vie, chaque relation devient une menace, car chacun a une zone d'ombre différente. On s'isole, mais on meurt de faim dans son château-fort.
Je crois que j'ai trouvé ce qui rendait si difficile de se donner à aimer: la culpabilisation.
Quand un événement arrive, c'est bien souvent un moindre mal; il a des milliards de milliards de "causes", dont la plupart son inconscientes et ne nous appartiennent pas. Bien souvent quand on prend une "décision", qu'on pose un acte, qu'on dit une parole, c'est le moins mauvais de ce qu'on ait pu dire ou faire, car très souvent on n'a que le choix entre un mal et un moindre mal. Pas de bonne solution à l'horizon...de conscience! Ce n'est que pour les autres qu'on a des solutions "géniales" du genre yakataka.
Dans notre civilisation où on a banni toutes les règles de savoir-vivre qu'on ne comprenait pas, on a érigé la "liberté" comme dieu, comme signe de respect, d'amour. Plus aucun pouvoir ne peut s'exercer sans faire comprendre au subalterne pourquoi ceci ou cela. On ne peut plus dire aux enfants: "tu comprendras quand tu seras grand". Alors on fait du chantage, à l'émotion, partout, tout le temps; on exerce le pouvoir par culpabilisation. On met la pression. On ne nous culpabilise pas seulement sur la route en nous faisant croire qu'en roulant à 74 au lieu de 70, on fait courir de grands risques aux autres, proches, par accident, ou à venir, par augmentation du CO2. On nous culpabilise partout, du ratage de l'éducation de nos enfants à notre mort prématurée par excès "pondéral"; on prend en otage notre désir d'aimer en nous faisant acheter "bio", notre besoin d'être aimé en ressemblant à des planches à repasser, et puis....pour essayer d'endiguer la violence qui monte, qui monte... , comme la cerise sur le gâteau,... en nous inventant des milliards de lois incompréhensibles tout en nous rappelant que nul n'est sensé ignorer la loi.... Désagréable sensation de viol!
La culpabilisation peut donc être considérée une forme de viol psychologique. Violer c'est vous prendre tout pour la partie qu'on a besoin. Le viol psychologique, c'est isoler la cause qui concerne la partie de toutes les autres causes. On vous prend pour une partie et on vous charge de la totalité de la faute, de la responsabilité qu'on vous fait confondre avec la culpabilité.
Et alors, la culpabilisation descend par débordement, en cascade: on reproche à son conjoint et à ses enfants, mais aussi aux adolescents des écoles de ne pas nous aimer, après tout ce qu'on a fait pour eux, de ne pas nous rendre selon ce que nous supposons avoir "bien" mérité, sans plus pouvoir prendre le recul nécessaire pour se rendre compte de ce qu'un amour qui se mérite, ce n'est plus de l'amour mais de la prostitution affective.
Violé en amont, on se donne le droit de violer en aval. C'est la civilisation du "ben quoi"! Ben quoi , je ne vois pas où est le problème pour moi, donc il n'y a pas de problème, pour toi.
-"Ben quoi, je ne comprends pas pourquoi tu as mal puisque moi, je ne sens rien"!
- "Bien sûr, répond l'autre, puisque c'est moi qui ai le pied dessous"!
- "Mais non, tu n'as pas mal, tu mens... tu es menteur. C'est impossible."
Si on y pense bien, on ne devrait jamais donner un adjectif à quelqu'un. "Tu es par exemple paresseux ou méchant mais aussi jolie ou intelligente". C'est toujours prendre la partie pour le tout, violer l'infinie complexité des possibilités de l'être qu'il est et qu'il est appelé à devenir comme le moins mauvais compromis qu'il a trouvé à être envers et contre tout. Mais surtout c'est le réduire à devoir être "cela" à vos yeux, et peut être, comme souvent, le condamner à le rester. Le viol de la culpabilisation, est une stigmatisation qui bloque toute possibilité de changer, d'évoluer, chez la victime. Cela saccage ses repères d'espace et de temps. Cela le condamne aux travaux forcés du présent continu, à l'enfermement mental dans la surenchère d'une pensée qui tourne en rond.
La loi, les règles, les conventions sociales, qui consitituent le savoir-vivre ensemble, doivent d'abord être apprises "par cœur", car il faut des années parfois pour en comprendre le bien fondé de ceux qui les ont mises en place. Elles doivent être fécondées à chaque génération du sens qui les ont vues naître avant de pouvoir être changées, voire abandonnées, en conservant ce sens, ce pour quoi elles ont été édictées.
On est en train de faire la triste expérience d'une liberté déifiée: si chacun se limite à pratiquer ce qu'il a compris de la vie, chaque relation devient une menace, car chacun a une zone d'ombre différente. On s'isole, mais on meurt de faim dans son château-fort.
Re: Communication simple
Aspiral
je te sens dans une zone d'ombres très inconfortable ...
Personne n'est forcé de se sentir coupable malgré le fait que ce soit un des "outils" de la vie en société ...
Ce que tu appelles la "culpabilisation" est un phénomène de civilisation, la peur l'a engendré ... n'y réponds pas en te sentant victime... c'est la position la plus inconfortable dans "l'échelle" des valeurs humaines et c'est aussi, selon moi, un de moteurs de la société de surconsommation...
Que veux-tu dans la vie ?
Que veux-tu comme vie ?
Es-tu ici avec nous dans un sens de Simplification Volontaire de ta vie ?
Bonne et belle journée
loulie
je te sens dans une zone d'ombres très inconfortable ...
Personne n'est forcé de se sentir coupable malgré le fait que ce soit un des "outils" de la vie en société ...
Ce que tu appelles la "culpabilisation" est un phénomène de civilisation, la peur l'a engendré ... n'y réponds pas en te sentant victime... c'est la position la plus inconfortable dans "l'échelle" des valeurs humaines et c'est aussi, selon moi, un de moteurs de la société de surconsommation...
Que veux-tu dans la vie ?
Que veux-tu comme vie ?
Es-tu ici avec nous dans un sens de Simplification Volontaire de ta vie ?
Bonne et belle journée
loulie
Invité- Invité
Re: Communication simple
merci Espérance ...
... je trouve que ce texte décrit bien "l'ambiance" , l'état d'esprit dans lequel on se trouve quand on marche sur un chemin fait d'amour...
Ce qu'on dit moins c'est "Comment" ...
comment se laisser aimer d'abord, comme dit aspiral, n'est pas toujours évident pour tout le monde ... il faut bien trouver le début de ce chemin ? où poser le premier pas ? sans crainte ?
comment s'abandonner, comment rester confiante, comment accorder sa foi dans l'existence, comment prendre le vent de face sans trembler ...... et comment accepter de toujours recommencer, et aller à la rencontre de soi-même tout en allant à la rencontre des autres ..... et en témoigner en sincérité
amour amour toujours
lou
________
L’Eau qui chemine le jour et la nuit
De montagnes en vallées... de campagne en cité
C’est elle qui guide mes pas...
L’Eau me hante... je suis sa demeure
Elle a libre cours en mon sein
Elle s’est taillé des chemins
Dans ma chair... dans mon sang
Je la sais sauvage et mère
Je la sais sous la neige... au printemps
Révoltée... tendre... toujours passagère
Voyageante insatiable
Qu’elle ait mille ans ou mille instants
C’est toujours la même dans des atours différents.
Elle m’a prêté ses yeux pour me faire voir le monde
Elle m’a prêté son chant pour que la joie m’inonde
Et son corps envoûté s’est emparé de moi
Me fait danser, courir et me débattre
Pour avancer encore, défier les obstacles.
Je vais où je veux, là où je dois
Et toujours, comme l’Eau
Je reviens au berceau
Au lit de l’origine
À ces temps où les pluies et les pleurs
Épuisent les nuages
Pour que dans l’air clair retrouvé
Je contemple encore et enfin
Un nouveau paysage
Et comme l’Eau...
Recommencer
louise élie
30 décembre 1988
... je trouve que ce texte décrit bien "l'ambiance" , l'état d'esprit dans lequel on se trouve quand on marche sur un chemin fait d'amour...
Ce qu'on dit moins c'est "Comment" ...
comment se laisser aimer d'abord, comme dit aspiral, n'est pas toujours évident pour tout le monde ... il faut bien trouver le début de ce chemin ? où poser le premier pas ? sans crainte ?
comment s'abandonner, comment rester confiante, comment accorder sa foi dans l'existence, comment prendre le vent de face sans trembler ...... et comment accepter de toujours recommencer, et aller à la rencontre de soi-même tout en allant à la rencontre des autres ..... et en témoigner en sincérité
amour amour toujours
lou
________
L’Eau qui chemine le jour et la nuit
De montagnes en vallées... de campagne en cité
C’est elle qui guide mes pas...
L’Eau me hante... je suis sa demeure
Elle a libre cours en mon sein
Elle s’est taillé des chemins
Dans ma chair... dans mon sang
Je la sais sauvage et mère
Je la sais sous la neige... au printemps
Révoltée... tendre... toujours passagère
Voyageante insatiable
Qu’elle ait mille ans ou mille instants
C’est toujours la même dans des atours différents.
Elle m’a prêté ses yeux pour me faire voir le monde
Elle m’a prêté son chant pour que la joie m’inonde
Et son corps envoûté s’est emparé de moi
Me fait danser, courir et me débattre
Pour avancer encore, défier les obstacles.
Je vais où je veux, là où je dois
Et toujours, comme l’Eau
Je reviens au berceau
Au lit de l’origine
À ces temps où les pluies et les pleurs
Épuisent les nuages
Pour que dans l’air clair retrouvé
Je contemple encore et enfin
Un nouveau paysage
Et comme l’Eau...
Recommencer
louise élie
30 décembre 1988
Invité- Invité
Re: Communication simple
Il m’est souvent arrivé dans la vie de tous les jours au cours de conversations plus que banales de qualifier une personne sans prendre conscience de l’impact de mes propos. Sans le savoir, je répétais des appréciations déjà prononcées par d’autres ou je portais un jugement lourd de conséquences.« On ne devrait jamais donner un adjectif à quelqu’un »
Il m’est aussi souvent arrivé de vouloir reprendre la conversation là où elle s’est arrêtée, de vouloir corriger mes propos et malgré tous mes efforts, les premiers mots prononcés sont restés dans l’ombre.
J’ai, comme tout le monde, des qualificatifs présents dans mon esprit et ineffaçables malgré bien des mises au point.
Dans un tel contexte, j’aurais tendance à dire qu’il est sage d’avoir toujours à l’esprit cette règle de communication.
J’ai vécu dernièrement la situation suivante.« Culpabilisation »
Nous étions 4, l’une de nous s’installe en couple et nous raconte ses aventures. Nous nous amusons de nos souvenirs et de nos similitudes de comportements ou d’attentes.
Au fil de nos récits, l’une de nous prononce les mots suivants : « Arrête, si tu continues comme ça, tu vas très vite te retrouver toute seule ! ». Celle qui parle n’y perçoit aucun mal, celle qui l’entend est effondrée. Et nous, quelles que soient les paroles que nous prononçons, nous ne pouvons plus effacer le doute qui s’est installé.
J’ai parfois l’impression que de tels propos prononcés il y a quelques années ( je pense d’ailleurs qu’on ne parlait pas de la même manière) seraient passés comme des conseils, des échanges d’expérience. L’une parle en fonction de son vécu et l’autre l’entend et poursuit son chemin et puis aussi surtout on en parle, on ose en parler, on ose se parler et on en reparle autant de fois que nécessaire en prenant tout son temps.
Aujourd’hui, pour la plupart d’entre nous, il n’est plus question d’échanges, il y a toujours un discours pour nous culpabiliser. Quand on croit enfin avoir trouvé sa solution, on se retrouve face à un autre discours, une autre affirmation, un nouveau jugement. Et finalement, on doute de tout.
Peut être qu’en revenir à la sagesse et l’expérience des paroles et actes des « anciens » et les mettre au goût du jour pourraient nous aider à retrouver un certain équilibre.
Merci Espérance, ce texte est magnifique.
Merci Loulie, tes réponses et images ("enneigées") sont pleines de sagesse et de chaleur humaine.
Aquarelle- Age : 66
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 07/02/2008
Re: Communication simple
Oui, en matière "d'éducation" aussi il est dit d'essayer de ne pas coller d'étiquettes jugeantes aux enfants. Même "tu es si gentil !" ou mettre des notions de "c'est (pas) bien" dans ses phrases. Difficile à mettre en pratique avec nos habitudes de langage...
Loulie quand tu dis "comment s'abandonner, comment rester confiante, comment accorder sa foi dans l'existence, comment prendre le vent de face sans trembler ...... et comment accepter de toujours recommencer, et aller à la rencontre de soi-même tout en allant à la rencontre des autres ..... et en témoigner en sincérité" as-tu des pistes de réponses ?
J'y pense souvent en ce moment. En fait je m'aperçois que, malgré le cheminement de ma réflexion, les petites habitudes prennent vite le dessus dans la pratique, et j'aimerais trouver un moyen de me faire une piqûre de rappel tous les jours. A la façon des religieux qui prient tous les jours sans doute, un rituel pour se rappeler l'essentiel au quotidien (ce questionnement mériterait peut-être un nouveau sujet à lui tout seul).
Loulie quand tu dis "comment s'abandonner, comment rester confiante, comment accorder sa foi dans l'existence, comment prendre le vent de face sans trembler ...... et comment accepter de toujours recommencer, et aller à la rencontre de soi-même tout en allant à la rencontre des autres ..... et en témoigner en sincérité" as-tu des pistes de réponses ?
J'y pense souvent en ce moment. En fait je m'aperçois que, malgré le cheminement de ma réflexion, les petites habitudes prennent vite le dessus dans la pratique, et j'aimerais trouver un moyen de me faire une piqûre de rappel tous les jours. A la façon des religieux qui prient tous les jours sans doute, un rituel pour se rappeler l'essentiel au quotidien (ce questionnement mériterait peut-être un nouveau sujet à lui tout seul).
Invité- Invité
Re: Communication simple
Loulie c'est tellement beau... tu le dis si bien. Merci encore et encore..
Aurore- Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 31/12/2007
Re: Communication simple
Oui, il est difficile de se donner à aimer, de se sentir respecté lorsque la culpabilité est présente en soi. La plupart des discours actuels instillent de la culpabilisation en nous. Je perçois aussi la culpabilisation comme un viol psychologique. A peine a-t-on osé se donner à aimer que la culpabilisation qui s'ensuit pousse à se retirer, à retourner dans son isolement.
Loulie, pour se laisser aimer, ne faut-il pas d'abord... malgré la peur... oser se donner à aimer ? Mais pour cela, il est nécessaire de savoir que l'on a face à soi des personnes qui ont la volonté de recevoir ce don de soi avec amour et bienveillance.
Loulie, pour se laisser aimer, ne faut-il pas d'abord... malgré la peur... oser se donner à aimer ? Mais pour cela, il est nécessaire de savoir que l'on a face à soi des personnes qui ont la volonté de recevoir ce don de soi avec amour et bienveillance.
Espérance- Age : 57
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 02/02/2008
Re: Communication simple
Chère Loulie,
La simplicité par simplification, par soustraction n'est pas possible pour tout le monde, par tout le monde!
Même si j'envie profondément ta "solution", (je ne doute pas du prix que tu la paies), j'ai décidé de rester dans le monde pour chercher avec celui qui le veut bien une manière de "simplifier", "volontairement" notre vie à tous, de manière à ce que chacun y trouve son compte. C'est un chemin ouvert sur l'inconnu. C'est mon chemin. Il n'y a pas de bonheur au bout du chemin. Je le sais. Le bonheur c'est le chemin, chacun le sien.
Ta poésie sur l'eau est frissonnante de vie. Merci.
Merci aussi à tous pour cette recherche, dont l'état d'esprit me ravit à chaque nouveau "post".
Merci à Cassandre pour ce Forum, dans lequel je me réjouis toujours de picorer, même si je ne me consacre plus qu'à ce thème, pour le moment.
Je reste inquiet de l'absence de Calispera. L'anonymat, c'est aussi cela, sans doute: les inconvénients des avantages du château fort sans porte ni fenêtres. Je pense parfois à Raffa, qu'on peut suivre ailleurs, dans l'espoir d'une convergence. Espérance! Toujours, n'est-ce pas Espérance?
La simplicité par simplification, par soustraction n'est pas possible pour tout le monde, par tout le monde!
Même si j'envie profondément ta "solution", (je ne doute pas du prix que tu la paies), j'ai décidé de rester dans le monde pour chercher avec celui qui le veut bien une manière de "simplifier", "volontairement" notre vie à tous, de manière à ce que chacun y trouve son compte. C'est un chemin ouvert sur l'inconnu. C'est mon chemin. Il n'y a pas de bonheur au bout du chemin. Je le sais. Le bonheur c'est le chemin, chacun le sien.
Ta poésie sur l'eau est frissonnante de vie. Merci.
Merci aussi à tous pour cette recherche, dont l'état d'esprit me ravit à chaque nouveau "post".
Merci à Cassandre pour ce Forum, dans lequel je me réjouis toujours de picorer, même si je ne me consacre plus qu'à ce thème, pour le moment.
Je reste inquiet de l'absence de Calispera. L'anonymat, c'est aussi cela, sans doute: les inconvénients des avantages du château fort sans porte ni fenêtres. Je pense parfois à Raffa, qu'on peut suivre ailleurs, dans l'espoir d'une convergence. Espérance! Toujours, n'est-ce pas Espérance?
Re: Communication simple
Bonjour
virginie ... je crois que , simplement, j'ai toujours dit merci en début de journée... je veux bien et avec reconnaissance d'avance, accepter ce que ma Destinée met sur mon chemin, sans juger...
On ne peut PAS savoir d'avance si les gens en face de nous sauront ou non faire pour le mieux avc l'amour et l'abandon que l'on donne... il faut se garder une certaine réserve, mais je crois qu'il ne faut pas attendre... les "attentes" dans l'existence sont autant de freins à l'écoulement de la Rivière de la Vie... non ?
Aspiral... qu'appelle-tu ma "solution" exactement ?
Je suis aussi et autant dans le monde que toi !
... " ... pour que chacun y trouve son compte" comme tu le dis si bien.
À +
loulie -20 brrr !
virginie ... je crois que , simplement, j'ai toujours dit merci en début de journée... je veux bien et avec reconnaissance d'avance, accepter ce que ma Destinée met sur mon chemin, sans juger...
On ne peut PAS savoir d'avance si les gens en face de nous sauront ou non faire pour le mieux avc l'amour et l'abandon que l'on donne... il faut se garder une certaine réserve, mais je crois qu'il ne faut pas attendre... les "attentes" dans l'existence sont autant de freins à l'écoulement de la Rivière de la Vie... non ?
Aspiral... qu'appelle-tu ma "solution" exactement ?
Je suis aussi et autant dans le monde que toi !
... " ... pour que chacun y trouve son compte" comme tu le dis si bien.
À +
loulie -20 brrr !
Invité- Invité
Re: Communication simple
loulie a écrit:je veux bien et avec reconnaissance d'avance, accepter ce que ma Destinée met sur mon chemin, sans juger...
je crois qu'il ne faut pas attendre...
les "attentes" dans l'existence sont autant de freins à l'écoulement de la Rivière de la Vie...
C'est un thème que je retrouve (comme par hasard) souvent au détour des conversations ici ça : les attentes... je crois que je vais devoir méditer là-dessus plus longuement... Merci Loulie pour ta réponse
Invité- Invité
Re: Communication simple
Oui, Aspiral, toujours... je cherche et continuerai insatiablement à chercher et à partager l’Amour, la Vérité sur le chemin de la vie et dans l’échange.
Pour « communiquer » et nous donner tels que nous sommes, n'avons nous pas besoin «d’entrer dans le lien » avec l'autre ? Pas facile : c’est un plongeon dans l’inconnu. Quand on y est en confiance, un chemin s'ouvre sur l'inconnu, l’horizon s’étend à l’infini et tout y est resplendissant, simple de vérité. Sur ce chemin, il n’est possible de recevoir l’autre qu’en se donnant.
Pour « communiquer » et nous donner tels que nous sommes, n'avons nous pas besoin «d’entrer dans le lien » avec l'autre ? Pas facile : c’est un plongeon dans l’inconnu. Quand on y est en confiance, un chemin s'ouvre sur l'inconnu, l’horizon s’étend à l’infini et tout y est resplendissant, simple de vérité. Sur ce chemin, il n’est possible de recevoir l’autre qu’en se donnant.
Espérance- Age : 57
Localisation : Belgique
Date d'inscription : 02/02/2008
Re: Communication simple
Je pense que la recherche avance. Aquarelle et Espérance posent la question de la sécurité nécessaire pour faire "part": comment être sûr que l'un des deux interlocuteurs ne va pas prendre la part pour le tout, ou l'interpréter dans sa logique, son histoire et créer un malentendu, voir un désagrément.
Par ailleurs, c'est vrai, Loulie, qu'on ne peut s'empêcher de se faire une idée sur ceux avec qui on parle anonymement, et même sur ceux qui assistent aux débats sans se signaler et aussi de se demander comment ces anonymes nous imaginent. C'est possible que je me trompe quand je pense que tu t'es extraite du "monde". C'est l'impression que tu me donnes à travers ce que tu dis. Je ne crois pas, par ailleurs, que tu me répondrais comme tu me réponds si tu connaissais qui je suis vraiment dans la vie.
Par ailleurs, l'anonymat est intéressant car cela évite de se faire entendre : "oui! mais, tu dis cela parce que...". On prend ce que l'autre dit à l'état brut.
Je me pose aussi des questions sur les véritables raisons de la disparition de Raffa et Calispera, tout en admettant que c'est leur droit le plus strict, et cela d'autant plus qu'il était évident que nous avions difficile d'accorder nos violons, malgré toute notre bonne volonté. Mon impression est, et j'en fait part, que Calispera voulait sans en avoir les moyens de Loulie, donner des conseils, et que Raffa ne "voyait" pas. Mais ce qui est possible ici n'est pas possible dans la vraie vie, avec sa famille, ses voisins, ses collègues. On ne peut pas quitter tout, tout le monde, n'importe quand!
C'est sûr que pour faire part, il faudrait être assuré que l'interlocuteur ne va pas prendre une position supérieure ou inférieure. Le savoir de chacun en effet, son horizon de conscience, est différent et sa zone d'ombre aussi. On peut être un "grand" savant en plein de choses et ne pas savoir quelque chose que les "petites" gens savent comme une évidence.
Pour parler ensemble, faudrait-il au moins une intersection des deux horizons de conscience? Nous sommes tous des êtres humains vivant dans le même monde à la même époque.... donc il devrait toujours y avoir ce minimum pour communiquer... et on expérimente que ce n'est pas le cas. A la guerre, les "collabos" et les "résistants" avaient tous la conviction d'être dans le camp du "bon". Seule l'histoire peut transformer les terroristes d'hier en héros d'aujourd'hui.
Le conflit serait-il inéluctable? Si oui et si on veut que, malgré tout la conscience progresse, que la vérité des lois de la nature humaine se trouve, que ce ne soit pas les forts du moment qui figent l'histoire en imposant leur vérité partielle et temporaire, il faudrait des règles... Décidément...pour faire part. La raison du plus fort n'est pas toujours la meilleure. On voit déjà que l'opposition "démocratie-intégrisme" ne va pas donner de résultat. La démocratie devient vite démocrature (la loi est celle des plus nombreux, et l'expérience montre qu'ils ont tort). Quant à l'intégrisme, pas besoin de faire un dessin...
Expérience intéressante.
Par ailleurs, c'est vrai, Loulie, qu'on ne peut s'empêcher de se faire une idée sur ceux avec qui on parle anonymement, et même sur ceux qui assistent aux débats sans se signaler et aussi de se demander comment ces anonymes nous imaginent. C'est possible que je me trompe quand je pense que tu t'es extraite du "monde". C'est l'impression que tu me donnes à travers ce que tu dis. Je ne crois pas, par ailleurs, que tu me répondrais comme tu me réponds si tu connaissais qui je suis vraiment dans la vie.
Par ailleurs, l'anonymat est intéressant car cela évite de se faire entendre : "oui! mais, tu dis cela parce que...". On prend ce que l'autre dit à l'état brut.
Je me pose aussi des questions sur les véritables raisons de la disparition de Raffa et Calispera, tout en admettant que c'est leur droit le plus strict, et cela d'autant plus qu'il était évident que nous avions difficile d'accorder nos violons, malgré toute notre bonne volonté. Mon impression est, et j'en fait part, que Calispera voulait sans en avoir les moyens de Loulie, donner des conseils, et que Raffa ne "voyait" pas. Mais ce qui est possible ici n'est pas possible dans la vraie vie, avec sa famille, ses voisins, ses collègues. On ne peut pas quitter tout, tout le monde, n'importe quand!
C'est sûr que pour faire part, il faudrait être assuré que l'interlocuteur ne va pas prendre une position supérieure ou inférieure. Le savoir de chacun en effet, son horizon de conscience, est différent et sa zone d'ombre aussi. On peut être un "grand" savant en plein de choses et ne pas savoir quelque chose que les "petites" gens savent comme une évidence.
Pour parler ensemble, faudrait-il au moins une intersection des deux horizons de conscience? Nous sommes tous des êtres humains vivant dans le même monde à la même époque.... donc il devrait toujours y avoir ce minimum pour communiquer... et on expérimente que ce n'est pas le cas. A la guerre, les "collabos" et les "résistants" avaient tous la conviction d'être dans le camp du "bon". Seule l'histoire peut transformer les terroristes d'hier en héros d'aujourd'hui.
Le conflit serait-il inéluctable? Si oui et si on veut que, malgré tout la conscience progresse, que la vérité des lois de la nature humaine se trouve, que ce ne soit pas les forts du moment qui figent l'histoire en imposant leur vérité partielle et temporaire, il faudrait des règles... Décidément...pour faire part. La raison du plus fort n'est pas toujours la meilleure. On voit déjà que l'opposition "démocratie-intégrisme" ne va pas donner de résultat. La démocratie devient vite démocrature (la loi est celle des plus nombreux, et l'expérience montre qu'ils ont tort). Quant à l'intégrisme, pas besoin de faire un dessin...
Expérience intéressante.
Re: Communication simple
Oh je n'ai pas disparue
Juste ce n'est qu'un forum (private joke a qqn qui ne le lira pas forcément mais bon). Il est très fréquent que des gens participent puis ne font que lire, voire se désintéressent du sujet. Il ne faut pas en tirer des conclusions pour autant. D'autres entrent dans la discussion puis en sortiront également.
Ce peut être par manque de temps (ce qui est mon cas très fréquemment, quand bien même je voudrais répondre je n'en ai pas le temps), le manque d'intérêt si le débat ne va pas dans le sens qui nous intéresse, ou juste suivre l'évolution du débat parcequ'on a plus grand chose à apporter sur le sujet pour le moment par exemple.
Dans mon cas à moi, comme souvent sur ce forum à mon goût, la discussion part dans des méandres que j'ai tendance à appeler "prise de tête" juste parceque ce ne sont pas mes préoccupations principales (du tout !). J'ai un esprit très logique, rationnel, pratique, scientifique, immédiat et les considérations psychologiques et parfois même philosophiques me passent très souvent au dessus de la tête. De plus je suis vraiment pas fan des thèmes liées au développement personnel pour les mêmes raisons. Je le vis plus que je ne le pense ou le réfléchi.
Comme je l'ai déjà dit ici, je ne me sens pas vraiment concernée par ce qui à l'air de réellement poser problèmes à certains et certaines ici.
Je n'ai pas de problème pour communiquer avec quelqu'un (et quand il y en a qui se présente j'ai appris - et apprend toujours - à faire la part des choses et à ne pas prendre pour affaire personnelle ce que les autres me disent ou leur réactions). Je sais la plupart du temps désormais désamorcer un conflit, juste par l'écoute (y compris de mes propre réactions) et l'explication, que ce soit avec des inconnus des amis ou ma famille. ET j'ai appris à accepter l'opinion des autres quelles qu'elles soient quasiment... Je sais aussi que les rages ou les crises de larmes que j'ai pu avoir et que j'ai encore viennent de moi et mon vécu et non de "l'autre" et pareil de son côté pour "l'autre". Pi il s'agit aussi de distinguer avec qui, à quel moment et avec quelle précaution on peut parler de certaines choses. Je dis pas que cela a été facile ni que ça l'est toujours, ni que je n'ai pas d'autres problèmes liés à la communication, mais c'est ça l'aventure humaine
Comme je l'ai dit à de nombreuses reprises ici, ma manière de communiquer n'a pas besoin de plus que les accords toltèques. Communiquer de cette manière amène quasiment par réflexe le même type de communication en face :loveit:
Donc ayant dit ce que j'avais à dire et ne voyant toujours pas où part cette discussion , je suis un peu spectatrice ici... J'attends de voir... Mais effectivement je n'ai plus rien à dire Mais je vous lis...
Pour calispera j'en sais rien mais elle a juste déserté ce sujet-ci, elle en créé et lit d'autres sur ce forum, elle n'a pas "disparu". Juste pour une raison qui lui est propre (qu'il n'y a pas à imaginer ou à juger qui peut être aussi simple que "pas de temps" ou "déjà tout dit") ne désire plus participer à ce sujet pour l'instant.
Ce n'est qu'un forum (et sur les 1425 visualisations à ce jour de ce sujet tu peux être sûr qu'il y'en a une majorité, si pas la quasi intégralité, qui l'ont été par ceux qui ont participé à cette discussion) Ne pas oublier que dès qu'on ouvre le sujet pour le lire c'est une visualisation par page du sujet lu, dès que l'on écris un message c'est 2 visualisations, dès que l'on édite un message pour le corrigé c'est 2 visualisations, dès que l'on vient relire son message c'est de nouveau une visualisation etc. Cela va très très vite. Surtout avec des gens comme moi qui éditons plusieurs fois le même message pour le corriger ou ajouter des choses ) Je suis capable seule de générer une centaine de visualisation sur quelques messages.
Juste ce n'est qu'un forum (private joke a qqn qui ne le lira pas forcément mais bon). Il est très fréquent que des gens participent puis ne font que lire, voire se désintéressent du sujet. Il ne faut pas en tirer des conclusions pour autant. D'autres entrent dans la discussion puis en sortiront également.
Ce peut être par manque de temps (ce qui est mon cas très fréquemment, quand bien même je voudrais répondre je n'en ai pas le temps), le manque d'intérêt si le débat ne va pas dans le sens qui nous intéresse, ou juste suivre l'évolution du débat parcequ'on a plus grand chose à apporter sur le sujet pour le moment par exemple.
Dans mon cas à moi, comme souvent sur ce forum à mon goût, la discussion part dans des méandres que j'ai tendance à appeler "prise de tête" juste parceque ce ne sont pas mes préoccupations principales (du tout !). J'ai un esprit très logique, rationnel, pratique, scientifique, immédiat et les considérations psychologiques et parfois même philosophiques me passent très souvent au dessus de la tête. De plus je suis vraiment pas fan des thèmes liées au développement personnel pour les mêmes raisons. Je le vis plus que je ne le pense ou le réfléchi.
Comme je l'ai déjà dit ici, je ne me sens pas vraiment concernée par ce qui à l'air de réellement poser problèmes à certains et certaines ici.
Je n'ai pas de problème pour communiquer avec quelqu'un (et quand il y en a qui se présente j'ai appris - et apprend toujours - à faire la part des choses et à ne pas prendre pour affaire personnelle ce que les autres me disent ou leur réactions). Je sais la plupart du temps désormais désamorcer un conflit, juste par l'écoute (y compris de mes propre réactions) et l'explication, que ce soit avec des inconnus des amis ou ma famille. ET j'ai appris à accepter l'opinion des autres quelles qu'elles soient quasiment... Je sais aussi que les rages ou les crises de larmes que j'ai pu avoir et que j'ai encore viennent de moi et mon vécu et non de "l'autre" et pareil de son côté pour "l'autre". Pi il s'agit aussi de distinguer avec qui, à quel moment et avec quelle précaution on peut parler de certaines choses. Je dis pas que cela a été facile ni que ça l'est toujours, ni que je n'ai pas d'autres problèmes liés à la communication, mais c'est ça l'aventure humaine
Comme je l'ai dit à de nombreuses reprises ici, ma manière de communiquer n'a pas besoin de plus que les accords toltèques. Communiquer de cette manière amène quasiment par réflexe le même type de communication en face :loveit:
Donc ayant dit ce que j'avais à dire et ne voyant toujours pas où part cette discussion , je suis un peu spectatrice ici... J'attends de voir... Mais effectivement je n'ai plus rien à dire Mais je vous lis...
Pour calispera j'en sais rien mais elle a juste déserté ce sujet-ci, elle en créé et lit d'autres sur ce forum, elle n'a pas "disparu". Juste pour une raison qui lui est propre (qu'il n'y a pas à imaginer ou à juger qui peut être aussi simple que "pas de temps" ou "déjà tout dit") ne désire plus participer à ce sujet pour l'instant.
Ce n'est qu'un forum (et sur les 1425 visualisations à ce jour de ce sujet tu peux être sûr qu'il y'en a une majorité, si pas la quasi intégralité, qui l'ont été par ceux qui ont participé à cette discussion) Ne pas oublier que dès qu'on ouvre le sujet pour le lire c'est une visualisation par page du sujet lu, dès que l'on écris un message c'est 2 visualisations, dès que l'on édite un message pour le corrigé c'est 2 visualisations, dès que l'on vient relire son message c'est de nouveau une visualisation etc. Cela va très très vite. Surtout avec des gens comme moi qui éditons plusieurs fois le même message pour le corriger ou ajouter des choses ) Je suis capable seule de générer une centaine de visualisation sur quelques messages.
Re: Communication simple
OK; bien reçu!
Je prends bonne note de ce que "c'est comme ça": pas de procédure d'engagement; pas de procédure de dégagement... sur un forum.
C'est la règle des forums. J'apprends. C'est la première fois que...
Comme je ne peux pas (encore?) maîtriser (censurer?) mon imaginaire, je ne sais pas s'il est bon ou mauvais de laisser faire, de dire, de faire ce qu'il m'indique. Alors j'expérimente. Prudemment.
C'est vrai que si je reste seul en piste, ce ne sera plus un forum.
Sans regret: j'ai déjà beaucoup appris... .
Je pense même avoir encore des pistes à proposer...pour faire part, simplement, sans danger...de débâcle émotionnelle; mais suspens! ce n'est pas encore mûr.
Je prends bonne note de ce que "c'est comme ça": pas de procédure d'engagement; pas de procédure de dégagement... sur un forum.
C'est la règle des forums. J'apprends. C'est la première fois que...
Comme je ne peux pas (encore?) maîtriser (censurer?) mon imaginaire, je ne sais pas s'il est bon ou mauvais de laisser faire, de dire, de faire ce qu'il m'indique. Alors j'expérimente. Prudemment.
C'est vrai que si je reste seul en piste, ce ne sera plus un forum.
Sans regret: j'ai déjà beaucoup appris... .
Je pense même avoir encore des pistes à proposer...pour faire part, simplement, sans danger...de débâcle émotionnelle; mais suspens! ce n'est pas encore mûr.
Re: Communication simple
Bonjour tous
cher aspiral ... j'espère bien ( dans l'intérêt de la connaissance de moi-même par moi-même) que je te répondrais de la même manière ( avec tout le sensoriel en plus et en développant) que maintenant, puisque c'est MA pensée que j'exprime ! Du moins, je le prétends (clin d'oeil réel !)... et je crois que le contact évoluerait, tout simplement ...
l'expression impulsive et hm.. disons "créative" de ma pensée peut donner comme résultat que le "monde" se retire de moi beaucoup plus que je ne me retire de lui... par surprise je suppose ! J'ai une forte tendance à exprimer ma pensée sans beucoup me censuer, et j'assume... je suis une sore de dipplômée en "évolution relationnelle", ... parfois, une relation SEMBLE subir des dommages d'un mot , d'un mal-entendu ( et non mal-dit, notons-le ! ) ... j'assume et je tends la main.
Quand j'étais déjà toute petite, je pensais et disais que je préférais une grosse chicane entre amis qui mettaient les choses au clair ( quand on s'aime vraiment on veut rester proche, on trouve le bon chemin, sinon, c'est le jeu dominant-dominé qui est joué ) ...
... et si on ne s'aime pas vraiment au point d'être proche , ça n'est PAS un péché, et ça ne prend PAS un coupable, au moins, on est fixés.... et on PEUT ne plus jamais se revoir, sans se souhaiter du mal pour autant, et même, si les choses sont assumées, plutôt en se souhaitant du bien...
Mais il y a aussi cet autre aspect dans le "faire part", ( surtout l'occidental à développement économique avancé !) cet aspect malsain qui est issu des pré-programmations de la civilisation TRÈS organisée... = le moins d'expression d'émotions possible... ne pas hausser le ton, ne pas pleurer, ne pas crier, ne pas rire aux éclats, ne pas chanter en public, ne pas parler toute seule, ne pas regarder les gens dans les yeux, ne pas ceci et ne pas cela... c'est ce qu'on appelle l'étiquette je crois ! l'étiquette, comme au magasin !
bref, c'et pas tout ça , j'Ai ma corvée de bois , j'Ai les bouts des doigts gelés ! il fait un soleil magnifique !
En passant, mon retrait du "moonde" se situe au niveau des institutions de ce "monde"... je suis autonoe daans à peu près tout ce que je fais, relations publiques, négociations, gâteau aux pommes, jardin, tenue de livre, menuiserie, etc... je vis 6/7 jours toujours au même endroit, et je fais tout et je gagne ma vie de brocante, rcupération, menus services, concerts, aide au jardin, gardiennage, correction de texte, rédaction de mise en demeure, pose de tourbe, ... bref... selon les saisons... en passant par un vieil ordi nausore et un téléphone pour rejoindre la clientèle, et les babillards pour annoncer mes activités qui changent souvent... je roule de moins en moins, chaque déplacement est hautement rentabilisé, à peine 5,000km par an, je mange bio, et mon dernier souci est l'opinion "arrêtée" des gens sur qui et ce que je suis, mais un de mes premiers intérêts est, tout de même ! l'opinion des gens sur leur propre vie...
merci beaucoup pour la causette...
Excellente et superbe journée à tous
loulie
( fiou ! le clavier est en train de me lâcher, plus de ressort... "la croix et la banière")
cher aspiral ... j'espère bien ( dans l'intérêt de la connaissance de moi-même par moi-même) que je te répondrais de la même manière ( avec tout le sensoriel en plus et en développant) que maintenant, puisque c'est MA pensée que j'exprime ! Du moins, je le prétends (clin d'oeil réel !)... et je crois que le contact évoluerait, tout simplement ...
l'expression impulsive et hm.. disons "créative" de ma pensée peut donner comme résultat que le "monde" se retire de moi beaucoup plus que je ne me retire de lui... par surprise je suppose ! J'ai une forte tendance à exprimer ma pensée sans beucoup me censuer, et j'assume... je suis une sore de dipplômée en "évolution relationnelle", ... parfois, une relation SEMBLE subir des dommages d'un mot , d'un mal-entendu ( et non mal-dit, notons-le ! ) ... j'assume et je tends la main.
Quand j'étais déjà toute petite, je pensais et disais que je préférais une grosse chicane entre amis qui mettaient les choses au clair ( quand on s'aime vraiment on veut rester proche, on trouve le bon chemin, sinon, c'est le jeu dominant-dominé qui est joué ) ...
... et si on ne s'aime pas vraiment au point d'être proche , ça n'est PAS un péché, et ça ne prend PAS un coupable, au moins, on est fixés.... et on PEUT ne plus jamais se revoir, sans se souhaiter du mal pour autant, et même, si les choses sont assumées, plutôt en se souhaitant du bien...
Mais il y a aussi cet autre aspect dans le "faire part", ( surtout l'occidental à développement économique avancé !) cet aspect malsain qui est issu des pré-programmations de la civilisation TRÈS organisée... = le moins d'expression d'émotions possible... ne pas hausser le ton, ne pas pleurer, ne pas crier, ne pas rire aux éclats, ne pas chanter en public, ne pas parler toute seule, ne pas regarder les gens dans les yeux, ne pas ceci et ne pas cela... c'est ce qu'on appelle l'étiquette je crois ! l'étiquette, comme au magasin !
bref, c'et pas tout ça , j'Ai ma corvée de bois , j'Ai les bouts des doigts gelés ! il fait un soleil magnifique !
En passant, mon retrait du "moonde" se situe au niveau des institutions de ce "monde"... je suis autonoe daans à peu près tout ce que je fais, relations publiques, négociations, gâteau aux pommes, jardin, tenue de livre, menuiserie, etc... je vis 6/7 jours toujours au même endroit, et je fais tout et je gagne ma vie de brocante, rcupération, menus services, concerts, aide au jardin, gardiennage, correction de texte, rédaction de mise en demeure, pose de tourbe, ... bref... selon les saisons... en passant par un vieil ordi nausore et un téléphone pour rejoindre la clientèle, et les babillards pour annoncer mes activités qui changent souvent... je roule de moins en moins, chaque déplacement est hautement rentabilisé, à peine 5,000km par an, je mange bio, et mon dernier souci est l'opinion "arrêtée" des gens sur qui et ce que je suis, mais un de mes premiers intérêts est, tout de même ! l'opinion des gens sur leur propre vie...
merci beaucoup pour la causette...
Excellente et superbe journée à tous
loulie
( fiou ! le clavier est en train de me lâcher, plus de ressort... "la croix et la banière")
Invité- Invité
Re: Communication simple
La question de la spontanéité est bien au centre de notre débat. Peut-on tout dire, tout montrer? La vie doit-elle devenir un réality-show? Ca peut encore se faire quand on n'est pas trop éloigné de la norme. Mais prenons par exemple le cas de ceux qu'on appelle "transsexuels", ou "caractériels" ... est-ce toujours possible, voire souhaitable?
Le besoin fondamental de tous les êtres humains est d'être reconnu et respecté. Durant la petite enfance, les deux vont de paire: le petit enfant a besoin d'être respecté pour se révéler, se donner à connaitre, et être reconnu. Il doit être aimé avant d'oser.
A partir de l'adolescence, la polarité s'inverse: il doit oser avant d'être reconnu.
Oser quoi? Là est toute la question!
Actuellement, je pense qu'il y a une confusion entre le besoin de reconnaissance et celui de respect. Le besoin de reconnaissance appartient à la vie publique et se développe dans le sens vertical, se réaliser, devenir celui qui est "capable de". Le respect par contre appartient à la vie privée; il concerne la nécessité horizontale, relationnelle, d'avoir besoin de tout pour faire un monde; chacun doit pouvoir trouver son équilibre, et respecter la manière des autres de chercher le leur. C'est la biodiversité.
Notre monde semble ne plus pouvoir distinguer les deux. La difficulté de "faire-part" semble liée au fait qu'on ait de plus en plus "besoin" de manifester sa vie "privée", pour s'autoriser à la vivre, dans un monde dont la tendance est à la "normalisation" des comportements: tous consommateurs. C'est un double mouvement: au plus on normalise, au plus on cherche à se différentier, par toutes sortes de choses jusqu'aux tatouages et aux piercings...en passant par toutes les occasions où on étale sa nudité, physique et même parfois psychologique. Et ça rapporte gros aux faiseurs de pognon!
Prenons un exemple concret: comparons deux comportements: l'homosexualité et l'alcoolisme. On n'imaginerais pas une alcoolisme-pride, ni une revendication des alcooliques de rouler en voiture sans contrôle. La confusion actuelle qui permet les gay-pride et même les "mariages", et les enfants pour les homosexuels provient de la confusion entre "respect" et "reconnaissance". Si je respecte autant les alcooliques que les homosexuels, je ne leur reconnais pas un droit de ... et de... qui ne correspondent pas à "être capable de...", qui ne respecte pas les lois de la nature. Pour faire une fusée, il faut respecter les lois de la nature; pour "faire" d'un enfant un adulte aussi.
Depuis qu'on laisse les adolescents s'étaler dans les mille et une manières d'exprimer leur "personnalité", on voit qu'ils ne deviennent plus capable de grand chose d'autre que faire du show.
Aurais-je le droit de dire cela en public?
Lorsque quelqu'un a besoin de voir "reconnue" sa vie privée pour s'autoriser à la vivre, cela ne peut que créer un chaos communicationnel. Le respect doit se fonder dans des règles. La reconnaissance dans l'efficacité.
La charge de la difficulté de faire part appartient-elle à l'émetteur, au récepteur ou aux règles de faire-part?
A suivre.....
Le besoin fondamental de tous les êtres humains est d'être reconnu et respecté. Durant la petite enfance, les deux vont de paire: le petit enfant a besoin d'être respecté pour se révéler, se donner à connaitre, et être reconnu. Il doit être aimé avant d'oser.
A partir de l'adolescence, la polarité s'inverse: il doit oser avant d'être reconnu.
Oser quoi? Là est toute la question!
Actuellement, je pense qu'il y a une confusion entre le besoin de reconnaissance et celui de respect. Le besoin de reconnaissance appartient à la vie publique et se développe dans le sens vertical, se réaliser, devenir celui qui est "capable de". Le respect par contre appartient à la vie privée; il concerne la nécessité horizontale, relationnelle, d'avoir besoin de tout pour faire un monde; chacun doit pouvoir trouver son équilibre, et respecter la manière des autres de chercher le leur. C'est la biodiversité.
Notre monde semble ne plus pouvoir distinguer les deux. La difficulté de "faire-part" semble liée au fait qu'on ait de plus en plus "besoin" de manifester sa vie "privée", pour s'autoriser à la vivre, dans un monde dont la tendance est à la "normalisation" des comportements: tous consommateurs. C'est un double mouvement: au plus on normalise, au plus on cherche à se différentier, par toutes sortes de choses jusqu'aux tatouages et aux piercings...en passant par toutes les occasions où on étale sa nudité, physique et même parfois psychologique. Et ça rapporte gros aux faiseurs de pognon!
Prenons un exemple concret: comparons deux comportements: l'homosexualité et l'alcoolisme. On n'imaginerais pas une alcoolisme-pride, ni une revendication des alcooliques de rouler en voiture sans contrôle. La confusion actuelle qui permet les gay-pride et même les "mariages", et les enfants pour les homosexuels provient de la confusion entre "respect" et "reconnaissance". Si je respecte autant les alcooliques que les homosexuels, je ne leur reconnais pas un droit de ... et de... qui ne correspondent pas à "être capable de...", qui ne respecte pas les lois de la nature. Pour faire une fusée, il faut respecter les lois de la nature; pour "faire" d'un enfant un adulte aussi.
Depuis qu'on laisse les adolescents s'étaler dans les mille et une manières d'exprimer leur "personnalité", on voit qu'ils ne deviennent plus capable de grand chose d'autre que faire du show.
Aurais-je le droit de dire cela en public?
Lorsque quelqu'un a besoin de voir "reconnue" sa vie privée pour s'autoriser à la vivre, cela ne peut que créer un chaos communicationnel. Le respect doit se fonder dans des règles. La reconnaissance dans l'efficacité.
La charge de la difficulté de faire part appartient-elle à l'émetteur, au récepteur ou aux règles de faire-part?
A suivre.....
Re: Communication simple
quot aspiral :
Prenons un exemple concret: comparons deux comportements: l'homosexualité et l'alcoolisme. On n'imaginerais pas une alcoolisme-pride, ni une revendication des alcooliques de rouler en voiture sans contrôle. La confusion actuelle qui permet les gay-pride et même les "mariages", et les enfants pour les homosexuels provient de la confusion entre "respect" et "reconnaissance". Si je respecte autant les alcooliques que les homosexuels, je ne leur reconnais pas un droit de ... et de... qui ne correspondent pas à "être capable de...", qui ne respecte pas les lois de la nature. Pour faire une fusée, il faut respecter les lois de la nature; pour "faire" d'un enfant un adulte aussi.
Depuis qu'on laisse les adolescents s'étaler dans les mille et une manières d'exprimer leur "personnalité", on voit qu'ils ne deviennent plus capable de grand chose d'autre que faire du show.
Aurais-je le droit de dire cela en public?
Lorsque quelqu'un a besoin de voir "reconnue" sa vie privée pour s'autoriser à la vivre, cela ne peut que créer un chaos communicationnel. Le respect doit se fonder dans des règles. La reconnaissance dans l'efficacité.
La charge de la difficulté de faire part appartient-elle à l'émetteur, au récepteur ou aux règles de faire-part?
A suivre.....
je comprend tout à fait le sens de ton post aspiral , mais peut on comparer par un exemple concret deux comportement aussi opposé !
l'homosexualité ne doit pas etre un handicap ! mais l'est par la pensée des autres !
des millions de gens la vivent pleinement et de façon épanouis !
façon de vivre revendiquable pour conserver une certaine reconnaissance ! et etre respecté
ne plus vivre caché !
l'alcoolisme est une maladie sévére ,qui fait état d'une très grande fragilitée intérieur !
très difficileà revendiquer en prenant ton analyse , car il faut comparer l'alcoolisme au
sens de la maladie ,alors là oui les alcooliques peuvent aussi manifester ,pas pour réclamer le droit de se saouler ,ni de conduire bourré , (c'est un peut trop imager à mon gout, les homos ne manifeste pas pour le droit à la sodomie ,et au tourniquet jamaicain ?)
mais les alcooliques ,pourraient manifester pour les memes raisons ! etre reconnu (malade)
et non rebut de (sociétée), avoir droit au respect ,malgrès l'image que l'on donne d'eux !
Pour la question de faire part ! je ne comprend pas ! c'est quoi ?
le constat à faire ? des pensées personnelles ?
ou simplement un débat que vous désireriez , sur ce mal etre de nos adolescents qui n'ont plus aucune éducation familliale , donc base (d'etre) plus d'exemple dans le foyer , car les parents sont trop préocupé (boulot,carrière ,chomage , match de foot , bière entre copain etc..rdv coiffeuse néttoyage voiture etc ...)
alors les enfants sont fait pour etre dans la norme , on les colle en garderie , on leur fourre du lait de vache raz le museau , et le soir on les colles dans leur chambre devant la tv pour etre tranquille !
ces enfants n'ont plus de but ni d'objectif autre que ce que les médias leur on apprit !
violence guerre arme à feu (pour leur moyen de communications )
pornographie et faux seins etc(pour leur éducation sexuel)
grosse voiture grosse maison et fric (pour leur objectif de vie) !
puis pour agrémenter leur discution de tout les jours , quelque animateur tv
musicaux du matin , avec leur blague pipi caca !
alors ils ne comprennent pas à 18 ans ,pourquoi on ne les regarde pas ! pourquoi on ne les
respecte pas ! alors qu'ils reproduisent l'éducation que leur parents ,ont délégué à la tv !
mais ils ne sont pas coupable , ils ne sont pas moins victime !
car on leur apprend à 20 ans , ce que tu as apprit c'est de la merde !du virtuel !
maintenant fait la part des choses et débrouille toi ! bon courage.
avant ils suffisait de faire mieux que papa ou maman !
pour oser sauter de la branche et s'envoler , en criant :
papa ! maman ! je vole !!
et juste la reconnaissance de ceux-ci ! c'est bien fiston envole toi ! et bon vent à toi.
comment nos jeunes peuvent ils perçevoir , un soupçon de reconnaissance ?
on les posent sur une branche pourrit ,avec pour éducation des fictions débile !
alors le gamins au moment de prendre son envole ,sert le poing et crie (force bleu !)
et se ramasse par terre ! et les parents lui disent : tu es nul débrouille toi !
tu en as l'age !
le respect de nos jours ne fait partis d'aucune leçon de vie ni d'aucun media !
alors comment comparer respect et besoin de reconnaissance de nos jour
j'en suis bien incapable comme beaucoup !
apprennons leur le respect , et comment il se gagne !
Prenons un exemple concret: comparons deux comportements: l'homosexualité et l'alcoolisme. On n'imaginerais pas une alcoolisme-pride, ni une revendication des alcooliques de rouler en voiture sans contrôle. La confusion actuelle qui permet les gay-pride et même les "mariages", et les enfants pour les homosexuels provient de la confusion entre "respect" et "reconnaissance". Si je respecte autant les alcooliques que les homosexuels, je ne leur reconnais pas un droit de ... et de... qui ne correspondent pas à "être capable de...", qui ne respecte pas les lois de la nature. Pour faire une fusée, il faut respecter les lois de la nature; pour "faire" d'un enfant un adulte aussi.
Depuis qu'on laisse les adolescents s'étaler dans les mille et une manières d'exprimer leur "personnalité", on voit qu'ils ne deviennent plus capable de grand chose d'autre que faire du show.
Aurais-je le droit de dire cela en public?
Lorsque quelqu'un a besoin de voir "reconnue" sa vie privée pour s'autoriser à la vivre, cela ne peut que créer un chaos communicationnel. Le respect doit se fonder dans des règles. La reconnaissance dans l'efficacité.
La charge de la difficulté de faire part appartient-elle à l'émetteur, au récepteur ou aux règles de faire-part?
A suivre.....
je comprend tout à fait le sens de ton post aspiral , mais peut on comparer par un exemple concret deux comportement aussi opposé !
l'homosexualité ne doit pas etre un handicap ! mais l'est par la pensée des autres !
des millions de gens la vivent pleinement et de façon épanouis !
façon de vivre revendiquable pour conserver une certaine reconnaissance ! et etre respecté
ne plus vivre caché !
l'alcoolisme est une maladie sévére ,qui fait état d'une très grande fragilitée intérieur !
très difficileà revendiquer en prenant ton analyse , car il faut comparer l'alcoolisme au
sens de la maladie ,alors là oui les alcooliques peuvent aussi manifester ,pas pour réclamer le droit de se saouler ,ni de conduire bourré , (c'est un peut trop imager à mon gout, les homos ne manifeste pas pour le droit à la sodomie ,et au tourniquet jamaicain ?)
mais les alcooliques ,pourraient manifester pour les memes raisons ! etre reconnu (malade)
et non rebut de (sociétée), avoir droit au respect ,malgrès l'image que l'on donne d'eux !
Pour la question de faire part ! je ne comprend pas ! c'est quoi ?
le constat à faire ? des pensées personnelles ?
ou simplement un débat que vous désireriez , sur ce mal etre de nos adolescents qui n'ont plus aucune éducation familliale , donc base (d'etre) plus d'exemple dans le foyer , car les parents sont trop préocupé (boulot,carrière ,chomage , match de foot , bière entre copain etc..rdv coiffeuse néttoyage voiture etc ...)
alors les enfants sont fait pour etre dans la norme , on les colle en garderie , on leur fourre du lait de vache raz le museau , et le soir on les colles dans leur chambre devant la tv pour etre tranquille !
ces enfants n'ont plus de but ni d'objectif autre que ce que les médias leur on apprit !
violence guerre arme à feu (pour leur moyen de communications )
pornographie et faux seins etc(pour leur éducation sexuel)
grosse voiture grosse maison et fric (pour leur objectif de vie) !
puis pour agrémenter leur discution de tout les jours , quelque animateur tv
musicaux du matin , avec leur blague pipi caca !
alors ils ne comprennent pas à 18 ans ,pourquoi on ne les regarde pas ! pourquoi on ne les
respecte pas ! alors qu'ils reproduisent l'éducation que leur parents ,ont délégué à la tv !
mais ils ne sont pas coupable , ils ne sont pas moins victime !
car on leur apprend à 20 ans , ce que tu as apprit c'est de la merde !du virtuel !
maintenant fait la part des choses et débrouille toi ! bon courage.
avant ils suffisait de faire mieux que papa ou maman !
pour oser sauter de la branche et s'envoler , en criant :
papa ! maman ! je vole !!
et juste la reconnaissance de ceux-ci ! c'est bien fiston envole toi ! et bon vent à toi.
comment nos jeunes peuvent ils perçevoir , un soupçon de reconnaissance ?
on les posent sur une branche pourrit ,avec pour éducation des fictions débile !
alors le gamins au moment de prendre son envole ,sert le poing et crie (force bleu !)
et se ramasse par terre ! et les parents lui disent : tu es nul débrouille toi !
tu en as l'age !
le respect de nos jours ne fait partis d'aucune leçon de vie ni d'aucun media !
alors comment comparer respect et besoin de reconnaissance de nos jour
j'en suis bien incapable comme beaucoup !
apprennons leur le respect , et comment il se gagne !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Aspiral a écrit:
Prenons un exemple concret: comparons deux comportements: l'homosexualité et l'alcoolisme.
Je ne comprends pas le pourquoi de cette comparaison.
joe.chip- Date d'inscription : 23/10/2006
Re: Communication simple
Je ne peux pas répondre sur tout maintenant, mais pour éviter que la discussion ne dérive, je constate que j'ai oublié de dire que personnellement j'avais fort simplifié le charabia psy. Volontairement. Tout simplement, j'ai gommé de mon cerveau les catégories d'êtres humains. Ils sont tous normaux; c'est la biodiversité. La "maladie" est un terme à laisser aux médecins qui cherchent des causes curables pour essayer de répondre aux demandes des gens qui les sollicitent.
Chaque être vivant est un équilibre écologique régi par la loi dite de "nécessité": Le présent de chacun d'entre eux ou de leurs groupes est le moins mauvais compromis écologique possible entre son passé et son futur. Chaque détail de sa vie contribue à cet équilibre. De ce point de vue, il n'y a donc pas de différence entre quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi. En réalité on ne choisit pas. Ca vous tombe dessus. Le présent est pas définition un équilibre, parfois précaire, parce que tout le monde n'a pas les mêmes moyens. La santé est équilibre. La maladie est équilibre. Même fumer contribue à l'équilibre..., en attendant mieux... si on trouve quelque chose qui apporte les mêmes avantages sans les mêmes inconvénients futurs. Le déséquilibre, c'est la mort.
Dans mon texte, j'essaie d'expliquer, (c'est une tentative) pourquoi c'est difficile de communiquer, de faire part quand quelqu'un ne fait pas la part des choses, quand il confond respect et reconnaissance, quand il a besoin d'être reconnu pour se sentir respecté. Même si je ne suis pas le même que lui, que je n'ai pas les mêmes idées, les mêmes priorités. C'est son truc pour rester en équilibre, qu'il me laisse le mien! On peut alors discuter sur les avantages et les inconvénients de ces trucs. Sans juger puisque c'est la "nécessité" de chacun.
Je reviendrai sur le reste après.
Chaque être vivant est un équilibre écologique régi par la loi dite de "nécessité": Le présent de chacun d'entre eux ou de leurs groupes est le moins mauvais compromis écologique possible entre son passé et son futur. Chaque détail de sa vie contribue à cet équilibre. De ce point de vue, il n'y a donc pas de différence entre quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi. En réalité on ne choisit pas. Ca vous tombe dessus. Le présent est pas définition un équilibre, parfois précaire, parce que tout le monde n'a pas les mêmes moyens. La santé est équilibre. La maladie est équilibre. Même fumer contribue à l'équilibre..., en attendant mieux... si on trouve quelque chose qui apporte les mêmes avantages sans les mêmes inconvénients futurs. Le déséquilibre, c'est la mort.
Dans mon texte, j'essaie d'expliquer, (c'est une tentative) pourquoi c'est difficile de communiquer, de faire part quand quelqu'un ne fait pas la part des choses, quand il confond respect et reconnaissance, quand il a besoin d'être reconnu pour se sentir respecté. Même si je ne suis pas le même que lui, que je n'ai pas les mêmes idées, les mêmes priorités. C'est son truc pour rester en équilibre, qu'il me laisse le mien! On peut alors discuter sur les avantages et les inconvénients de ces trucs. Sans juger puisque c'est la "nécessité" de chacun.
Je reviendrai sur le reste après.
Re: Communication simple
Je ne comprends pas le pourquoi de cette comparaison.
Moi non plus : ce ne sont pas 2 simples "comportements"
Comme dit précédemment l'alcoolisme est une maladie, qui plus est potentiellement mortelle, l'alcool est une drogue "accoutumante" en vente libre.
L'homosexualité n'a rien à voir avec cela.
La reconnaissance publique des homosexuels est à mon sens, à notre époque, malheureusement un préalable indispensable au respect des personnes concernées. Il s'agit surtout de revendication de statut et de droits. Il s'agit aussi d'éducation du public et de faire la fête (pour ce qui est des gay pride)
Les alcooliques ont besoin d'être respecté comme tout le monde mais je ne pense pas qu'il aimeraient être reconnu en tant qu'alcooliques ?
La confusion actuelle qui permet les gay-pride et même les "mariages", et les enfants pour les homosexuels provient de la confusion entre "respect" et "reconnaissance".
Non je ne pense pas, c'est une question de reconnaissance juridique et social rien d'autres. Et hélas rien à voir avec le respect. C'est juste le préalable à l'acceptation de cette population dans la société. Les couples homosexuel ont obtenu des droits (est-ce normal qu'ils aient du lutter aussi longtemps pour cela ?), une certaine reconnaissance de ce qu'ils sont, c'est à dire rien de plus ou de moins qu'un couple, mais ce n'est pas pour autant qu'ils sont respectés. Les homosexuels savent très bien que ce sont 2 choses bien distinctes.
Pour information l'homosexualité est un phénomène très répandu dans tout le règne animal (la sexualité animale est pourtant censée, au yeux de beaucoup, n'avoir qu'une seule fonction : la reproduction, c'est une vision réductrice et erronée), des couples animaux homosexuels élevant des jeunes (qui peuvent être les jeunes de l'un des deux) existent aussi. L'homme ni échappe pas et heureusement pour lui ! Je n'en dirais pas autant de l'alcoolisme.
Sinon je partage assez ce que dis Dagda
Re: Communication simple
citation spiral:
Chaque être vivant est un équilibre écologique régi par la loi dite de "nécessité": Le présent de chacun d'entre eux ou de leurs groupes est le moins mauvais compromis écologique possible entre son passé et son futur.
je comprend rien là !! et l'homme lui il est parfait aussi alors !
Chaque détail de sa vie contribue à cet équilibre. De ce point de vue, il n'y a donc pas de différence entre quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi.
quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi. !!! j'aurais dit n'importe qui moi à votre place , car pour moi il s'agit d'etre humain quand meme
En réalité on ne choisit pas.
ah ! en résumé : quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ne choisit pas !!!
ça vas pas etre facile ce vous suivre aspiral !!
Ca vous tombe dessus. Le présent est pas définition un équilibre, parfois précaire, parce que tout le monde n'a pas les mêmes moyens. La santé est équilibre. La maladie est équilibre. Même fumer contribue à l'équilibre..., en attendant mieux... si on trouve quelque chose qui apporte les mêmes avantages sans les mêmes inconvénients futurs. Le déséquilibre, c'est la mort.
bon fumer tue , et arretter aussi !
Dans mon texte, j'essaie d'expliquer, (c'est une tentative)
pourquoi c'est difficile de communiquer, de faire part quand quelqu'un ne fait pas la part des choses,
quand il confond respect et reconnaissance, quand il a besoin d'être reconnu pour se sentir respecté.
oui il doit etre assez difficile de communiquer avec quelqu'un qui ne fait pas la part des choses selon vous ,et si il confond respect et reconnaissance
et qu'il a besoin d'etre reconnu pour se sentir respecté !
c'est déja pas quelqu'un de simple !
Même si je ne suis pas le même que lui,
cela arrive souvent !
que je n'ai pas les mêmes idées, les mêmes priorités. C'est son truc pour rester en équilibre, qu'il me laisse le mien!
donc c'est un ordre !il tente de nuire à votre équilibre ??
On peut alors discuter sur les avantages et les inconvénients de ces trucs. Sans juger puisque c'est la "nécessité" de chacun.
oui c'est certain il faut discuter et parler chaque fois que l'on peut !
d'avantages ou d'inconvenients !!..sans juger !!
Mais ça me parait bien compliqué votre affaire là !
j'ai comme l'impression que vous avez quelque chose à dire de très simple mais vous composé de façon trop compliqué !
ou c'est moi qui n'est pas la culture nécéssaire ?
essayez de simplifier ! raconté comme si j'avais 10 ans !
Chaque être vivant est un équilibre écologique régi par la loi dite de "nécessité": Le présent de chacun d'entre eux ou de leurs groupes est le moins mauvais compromis écologique possible entre son passé et son futur.
je comprend rien là !! et l'homme lui il est parfait aussi alors !
Chaque détail de sa vie contribue à cet équilibre. De ce point de vue, il n'y a donc pas de différence entre quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi.
quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ou n'importe quoi. !!! j'aurais dit n'importe qui moi à votre place , car pour moi il s'agit d'etre humain quand meme
En réalité on ne choisit pas.
ah ! en résumé : quelqu'un qui a "choisi" inconsciemment d'être homosexuel ou alcoolique ne choisit pas !!!
ça vas pas etre facile ce vous suivre aspiral !!
Ca vous tombe dessus. Le présent est pas définition un équilibre, parfois précaire, parce que tout le monde n'a pas les mêmes moyens. La santé est équilibre. La maladie est équilibre. Même fumer contribue à l'équilibre..., en attendant mieux... si on trouve quelque chose qui apporte les mêmes avantages sans les mêmes inconvénients futurs. Le déséquilibre, c'est la mort.
bon fumer tue , et arretter aussi !
Dans mon texte, j'essaie d'expliquer, (c'est une tentative)
pourquoi c'est difficile de communiquer, de faire part quand quelqu'un ne fait pas la part des choses,
quand il confond respect et reconnaissance, quand il a besoin d'être reconnu pour se sentir respecté.
oui il doit etre assez difficile de communiquer avec quelqu'un qui ne fait pas la part des choses selon vous ,et si il confond respect et reconnaissance
et qu'il a besoin d'etre reconnu pour se sentir respecté !
c'est déja pas quelqu'un de simple !
Même si je ne suis pas le même que lui,
cela arrive souvent !
que je n'ai pas les mêmes idées, les mêmes priorités. C'est son truc pour rester en équilibre, qu'il me laisse le mien!
donc c'est un ordre !il tente de nuire à votre équilibre ??
On peut alors discuter sur les avantages et les inconvénients de ces trucs. Sans juger puisque c'est la "nécessité" de chacun.
oui c'est certain il faut discuter et parler chaque fois que l'on peut !
d'avantages ou d'inconvenients !!..sans juger !!
Mais ça me parait bien compliqué votre affaire là !
j'ai comme l'impression que vous avez quelque chose à dire de très simple mais vous composé de façon trop compliqué !
ou c'est moi qui n'est pas la culture nécéssaire ?
essayez de simplifier ! raconté comme si j'avais 10 ans !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Au secours! A l'aide! Help! S.O.S!
Si la preuve de la difficulté de "faire part" devait encore être faite, c'est fait.
Le thème de ce sujet n'est ni l'alcoolisme, ni l'homosexualité, mais la recherche de conditions nécessaires pour éviter que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répression et censure.
Pensez que je suis homosexuel et alcoolique et que je suis contre ... et relisez mes deux interventions.
Les lois de la nature sont simples, et cela a donné l'infinie et merveilleuse complexité équilibrée de la biodiversité. Il n'y a que quelques notes de musiques et cela a donné...
Les lois de faire part doivent pouvoir être comprises par un enfant de dix ans.
Si la preuve de la difficulté de "faire part" devait encore être faite, c'est fait.
Le thème de ce sujet n'est ni l'alcoolisme, ni l'homosexualité, mais la recherche de conditions nécessaires pour éviter que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répression et censure.
Pensez que je suis homosexuel et alcoolique et que je suis contre ... et relisez mes deux interventions.
Les lois de la nature sont simples, et cela a donné l'infinie et merveilleuse complexité équilibrée de la biodiversité. Il n'y a que quelques notes de musiques et cela a donné...
Les lois de faire part doivent pouvoir être comprises par un enfant de dix ans.
Ne pas confondre besoin de reconnaissance et besoin de respect doit pouvoir être appris à un enfant de dix ans... par des adultes qui ne les confondent pas eux-mêmes.Les alcooliques ont besoin d'être respecté comme tout le monde mais je ne pense pas qu'il aimeraient être reconnu en tant qu'alcooliques ?
Re: Communication simple
Je crois qu'on a bien compris que le thème n'était pas l'alcoolisme et l'homosexualité, juste nous ne sommes pas d'accord sur ton exemple et l"interprétation de ton exemple.
Et pour ma part je ne pense absolument pas, comme je l'ai expliqué, que l'on confonde respect et reconnaissance dans ces 2 cas La reconnaissance dont tu parles n'est pas un "besoin de reconnaissance" et n'est pas confondue avec le respect, c'est la nécessité d'obtenir des droits, de se faire reconnaître ces droits.
Si on est pas d'accord sur ça forcément on est pas d'accord sur le reste de ta démonstration
Et pour ma part je ne pense absolument pas, comme je l'ai expliqué, que l'on confonde respect et reconnaissance dans ces 2 cas La reconnaissance dont tu parles n'est pas un "besoin de reconnaissance" et n'est pas confondue avec le respect, c'est la nécessité d'obtenir des droits, de se faire reconnaître ces droits.
Si on est pas d'accord sur ça forcément on est pas d'accord sur le reste de ta démonstration
J'aurais fait exactement la même réponse pour ma part (je n'ai pas préjugé de ton opinion sur le sujet)Pensez que je suis homosexuel et alcoolique et que je suis contre ... et relisez mes deux interventions.
Re: Communication simple
..Au secours! A l'aide! Help! S.O.S!
Si la preuve de la difficulté de "faire part" devait encore être faite, c'est fait.
Le thème de ce sujet n'est ni l'alcoolisme, ni l'homosexualité, mais la recherche de conditions nécessaires pour éviter que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répression et censure.
comme la dit ci-dessus raffa ! j'avais comprit !
Pensez que je suis homosexuel et alcoolique et que je suis contre ... et relisez mes deux interventions.
Les lois de la nature sont simples, et cela a donné l'infinie et merveilleuse complexité équilibrée de la biodiversité. Il n'y a que quelques notes de musiques et cela a donné...
Les lois de faire part doivent pouvoir être comprises par un enfant de dix ans.
non , cela n'est pas ma conclusion ! je faisait allusion que vos
ecrit sont pour moi incompréhensible ! c'est tout ! je vous demandais de simplifier !
Les alcooliques ont besoin d'être respecté comme tout le monde mais je ne pense pas qu'il aimeraient être reconnu en tant qu'alcooliques ?
Ne pas confondre besoin de reconnaissance et besoin de respect doit pouvoir être appris à un enfant de dix ans..
. par des adultes qui ne les confondent pas eux-mêmes.
Il y a trop de cas ,trop d'exemple exposable pour pretendre faire une distinction précise !
vous senteriez vous capable , de poser un exemple concret et compréhensible ici de ce qui vous
inquiete à ce point ! car meme si je n'est pas dix ans ! sachez aspiral que nous ne somme pas
tous dans le cerveau des autres !
et que pour etre comprit il faut avant tous etre compréhensible !
ne voyez pas là d'ironie malgrès une apparence cavalière , de ma part !
non je ne me permetterais pas !
au contraire je suis là je vous lit et j'essaye de comprendre , avec mes petites armes !
j'ai hate de votre explication ! merci encore à vous et bonne journée à vous tous !
Si la preuve de la difficulté de "faire part" devait encore être faite, c'est fait.
Le thème de ce sujet n'est ni l'alcoolisme, ni l'homosexualité, mais la recherche de conditions nécessaires pour éviter que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répression et censure.
comme la dit ci-dessus raffa ! j'avais comprit !
Pensez que je suis homosexuel et alcoolique et que je suis contre ... et relisez mes deux interventions.
Les lois de la nature sont simples, et cela a donné l'infinie et merveilleuse complexité équilibrée de la biodiversité. Il n'y a que quelques notes de musiques et cela a donné...
Les lois de faire part doivent pouvoir être comprises par un enfant de dix ans.
non , cela n'est pas ma conclusion ! je faisait allusion que vos
ecrit sont pour moi incompréhensible ! c'est tout ! je vous demandais de simplifier !
Les alcooliques ont besoin d'être respecté comme tout le monde mais je ne pense pas qu'il aimeraient être reconnu en tant qu'alcooliques ?
Ne pas confondre besoin de reconnaissance et besoin de respect doit pouvoir être appris à un enfant de dix ans..
. par des adultes qui ne les confondent pas eux-mêmes.
Il y a trop de cas ,trop d'exemple exposable pour pretendre faire une distinction précise !
vous senteriez vous capable , de poser un exemple concret et compréhensible ici de ce qui vous
inquiete à ce point ! car meme si je n'est pas dix ans ! sachez aspiral que nous ne somme pas
tous dans le cerveau des autres !
et que pour etre comprit il faut avant tous etre compréhensible !
ne voyez pas là d'ironie malgrès une apparence cavalière , de ma part !
non je ne me permetterais pas !
au contraire je suis là je vous lit et j'essaye de comprendre , avec mes petites armes !
j'ai hate de votre explication ! merci encore à vous et bonne journée à vous tous !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Aspiral ... cher
( je voudais bien un émoticône souriante, mais je n'ai pas accès sur ce forum à cette technologie moderne du "faire part" ... la preuve aussi que ça prend
des petits dessins pour se faire bien comprendre... ? à défaut du sensoriel évidemment... puisse les Hommes ne pas devenir des robots, amen ... hs...)
bref... je ne suis pas, ici, comme vous, " à la recherche de conditions nécessaires pour évite que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répessions et censures" ... sur ce coup là, on n'est pas du tout sur la même longueur d'ondes...!
mais je crois qu'on cherche , malgré... la même chose...le bonheur dans la simplicité, non ? et l,inverse est aussi bon
simple (selon moi) = peu de mots qui sont simples et reconnaissables par la totalité des gens ( c'est pour ça que les frontières, c'est pas bon !! HS, je sais) ou le bon geste au bon moment avec le bon outil, auant que faire se peut...
Je dirais aussi que la tâche humaine à l'âge adulte tient plus du "détricotage de la pensée acquise" que du "tarabiscottage de la pensée recomposée" ... euh !
( ici, vous mettez l'émoticône de votre choix )
ordre, méthode et persévérance
( merci à Hercule Poirot et ma grand-mère Bernadette)
simple smile
loulie
( je voudais bien un émoticône souriante, mais je n'ai pas accès sur ce forum à cette technologie moderne du "faire part" ... la preuve aussi que ça prend
des petits dessins pour se faire bien comprendre... ? à défaut du sensoriel évidemment... puisse les Hommes ne pas devenir des robots, amen ... hs...)
bref... je ne suis pas, ici, comme vous, " à la recherche de conditions nécessaires pour évite que faire part ne déclenche émotions et discussions, voire répessions et censures" ... sur ce coup là, on n'est pas du tout sur la même longueur d'ondes...!
mais je crois qu'on cherche , malgré... la même chose...le bonheur dans la simplicité, non ? et l,inverse est aussi bon
simple (selon moi) = peu de mots qui sont simples et reconnaissables par la totalité des gens ( c'est pour ça que les frontières, c'est pas bon !! HS, je sais) ou le bon geste au bon moment avec le bon outil, auant que faire se peut...
Je dirais aussi que la tâche humaine à l'âge adulte tient plus du "détricotage de la pensée acquise" que du "tarabiscottage de la pensée recomposée" ... euh !
( ici, vous mettez l'émoticône de votre choix )
ordre, méthode et persévérance
( merci à Hercule Poirot et ma grand-mère Bernadette)
simple smile
loulie
Invité- Invité
Re: Communication simple
Décidément, serait-ce uniquement mon problème à moi, de ne pas arriver à faire part? Pas celui du manque de règles ni du récepteur?
J'ai déjà appris deux choses, pour moi fort importantes, même si ce ne sont sans doute que deux pièces du gigantesque puzzle de la vie. C'est la vie en marche. De cela, soyez tous déjà remerciés même si je je ne sais pas en faire part, simplement, pour le moment seulement, j'espère.
Je médite sur tout cela et je reviens.
P.S. : Le jour où je partirai, je préviendrai, de toutes façons, des fois que mon ordi ou moi tomberions en panne, ce que j'ose espérer temporaire, des fois que ça arrive!
J'ai déjà appris deux choses, pour moi fort importantes, même si ce ne sont sans doute que deux pièces du gigantesque puzzle de la vie. C'est la vie en marche. De cela, soyez tous déjà remerciés même si je je ne sais pas en faire part, simplement, pour le moment seulement, j'espère.
Je médite sur tout cela et je reviens.
P.S. : Le jour où je partirai, je préviendrai, de toutes façons, des fois que mon ordi ou moi tomberions en panne, ce que j'ose espérer temporaire, des fois que ça arrive!
Re: Communication simple
je suis plus jeune que vous certe !
mais j'ai fait déja beaucoup !( ça ne veut pas dire trop),
durant ces 41 années !il me reste encore beaucoup à faire !
j'ai put remarquer que je baissais rarement les bras !
et je fait la part des choses en se qui concerne :
ce qui m'est impossible !
et ce que j'ai du mal à accomplir !
visiblement vous etes très ouvert !
et instruit !
mais je vous sent pret à baisser les bras , et vous faire aider !
pourquoi pas ?
mais je me suis rendu compte depuis longtemp , que seul l'homme
possèdait l'art de compliquer sa tache ,en évitant la simplicitée !
pourquoi ? j'en sait rien !
peut etre par peur , de paraitre different de ce qu'il à toujours vécu !
et si ce vécu était ,pas votre chemin ?
trouveriez vous les mots universels de la compréhention ?
chaque matin le soleil se lève, mais aucun jour ne se ressemble !
ps: (clin d'oeil) meme dans le superbe film (un jour sans fin) !
notre hero s'arrange à rendre sa journée plus drole et facile !
mais j'ai fait déja beaucoup !( ça ne veut pas dire trop),
durant ces 41 années !il me reste encore beaucoup à faire !
j'ai put remarquer que je baissais rarement les bras !
et je fait la part des choses en se qui concerne :
ce qui m'est impossible !
et ce que j'ai du mal à accomplir !
visiblement vous etes très ouvert !
et instruit !
mais je vous sent pret à baisser les bras , et vous faire aider !
pourquoi pas ?
mais je me suis rendu compte depuis longtemp , que seul l'homme
possèdait l'art de compliquer sa tache ,en évitant la simplicitée !
pourquoi ? j'en sait rien !
peut etre par peur , de paraitre different de ce qu'il à toujours vécu !
et si ce vécu était ,pas votre chemin ?
trouveriez vous les mots universels de la compréhention ?
chaque matin le soleil se lève, mais aucun jour ne se ressemble !
ps: (clin d'oeil) meme dans le superbe film (un jour sans fin) !
notre hero s'arrange à rendre sa journée plus drole et facile !
Invité- Invité
Re: Communication simple
Ce que je me dis ce matin, c'est que ça ne va pas de respecter l'autre ou être respecté par l'autre uniquement à condition de comprendre l'autre ou de se faire comprendre par lui. Si c'est le cas, ceux qui ne "voient" pas ce que l'autre voit peut-être, parce qu'ils sont plus bas la montagne de la conscience et donc ne voient pas ce qui est au delà de leur horizon, "cassent" systématiquement dans le complexe de Colomb (" je ne comprends pas, donc c'est con"; ou "je ne vois pas à quoi ça sert, donc ça ne sert à rien") toutes les vérités qu'ils ne voient pas, qu'ils ne comprennent pas. C'est sans doute pour cette raison que les grands malfaiteurs de l'humanité ont été beaucoup moins souvent exécutés que les grands sages: c'est si facile de "comprendre" les "appétits" humains pour l'argent, le pouvoir, le sexe...la frime.
Même expliquer ne semble servir à rien: je suis persuadé que la simplification volontaire de sa vie par chacun est la seule "solution" valable aussi bien aux problèmes personnels que collectifs de notre civilisation. On peut l'expliquer. C'est explicable, mais cela n'évolue pas vite, sans doute parce que si on supprime une habitude, même de pensée, même aussi idiote que celle de la pensée unique, celle du politiquement correct, il faut la remplacer par une autre manière de penser... que ne deviendra une habitude que lentement.
Etre capable dans certains milieux de dire qu'on ne va pas aux sports d'hiver tient parfois de l'héroïsme. La pression se fait insidieusement par toutes sortes de moyens, politiquement parfaitement corrects: au fil du temps, vous perdez une par une toutes vos relations, et personne ne sait dire pourquoi. On ne vous invite plus; on ne vous parle plus. Par manque de sujet de conversation sans doute, puisqu'on n'a plus de souvenir commun à évoquer en se faisant mousser.
En repartant de mon (mauvais) exemple, on devrait pouvoir accepter que la démocratie décidera un jour s'il est bon ou mauvais de laisser faire les Gay-pride. Je me permets de rappeler que mon exemple avait un autre but.
Je n'ai personnellement pas l'âme d'un tyran et j'admets que je puisse me tromper, que l'avenir décidera. Ca me fatigue, ça nous fatigue tous d'avoir toujours à s'expliquer sur tout. Laissons l'histoire décider, se révéler comme un tapis qui se déroule, qu'on empêche pas de se dérouler. Pour cela, laissons penser chacun tout haut. Ce serait plus simple. Et ça permettrait peut-être aux plus faibles d'oser dire tout haut ce qu'ils n'osent penser que tout bas, nuisant en cela à la bonne marche, démocratique, des idées.
J'ai vécu de nombreuses fois cela dans ma vie, par rapport à des modes que je trouvais absurdes mais qu'il a fallu attendre que des "penseurs" officiellement reconnus le disent pour que d'autres osent dire "moi aussi", les mêmes que ceux qui me faisaient sentir une semaine avant que mes pensées ne les intéressaient pas, n'étaient pas "les bonnes".
Bizarre: moi qui voulais des règles pour faire part, je propose maintenant de supprimer la règle d'avoir à se faire comprendre pour être respecté.
En attendant, il n'y a qu'à tenir bon, prêcher par l'exemple! Yakajéka....pas takayaka... dur dur, quand même!
Même expliquer ne semble servir à rien: je suis persuadé que la simplification volontaire de sa vie par chacun est la seule "solution" valable aussi bien aux problèmes personnels que collectifs de notre civilisation. On peut l'expliquer. C'est explicable, mais cela n'évolue pas vite, sans doute parce que si on supprime une habitude, même de pensée, même aussi idiote que celle de la pensée unique, celle du politiquement correct, il faut la remplacer par une autre manière de penser... que ne deviendra une habitude que lentement.
Etre capable dans certains milieux de dire qu'on ne va pas aux sports d'hiver tient parfois de l'héroïsme. La pression se fait insidieusement par toutes sortes de moyens, politiquement parfaitement corrects: au fil du temps, vous perdez une par une toutes vos relations, et personne ne sait dire pourquoi. On ne vous invite plus; on ne vous parle plus. Par manque de sujet de conversation sans doute, puisqu'on n'a plus de souvenir commun à évoquer en se faisant mousser.
En repartant de mon (mauvais) exemple, on devrait pouvoir accepter que la démocratie décidera un jour s'il est bon ou mauvais de laisser faire les Gay-pride. Je me permets de rappeler que mon exemple avait un autre but.
Je n'ai personnellement pas l'âme d'un tyran et j'admets que je puisse me tromper, que l'avenir décidera. Ca me fatigue, ça nous fatigue tous d'avoir toujours à s'expliquer sur tout. Laissons l'histoire décider, se révéler comme un tapis qui se déroule, qu'on empêche pas de se dérouler. Pour cela, laissons penser chacun tout haut. Ce serait plus simple. Et ça permettrait peut-être aux plus faibles d'oser dire tout haut ce qu'ils n'osent penser que tout bas, nuisant en cela à la bonne marche, démocratique, des idées.
J'ai vécu de nombreuses fois cela dans ma vie, par rapport à des modes que je trouvais absurdes mais qu'il a fallu attendre que des "penseurs" officiellement reconnus le disent pour que d'autres osent dire "moi aussi", les mêmes que ceux qui me faisaient sentir une semaine avant que mes pensées ne les intéressaient pas, n'étaient pas "les bonnes".
Bizarre: moi qui voulais des règles pour faire part, je propose maintenant de supprimer la règle d'avoir à se faire comprendre pour être respecté.
En attendant, il n'y a qu'à tenir bon, prêcher par l'exemple! Yakajéka....pas takayaka... dur dur, quand même!
Re: Communication simple
merci pour ce post aspiral , je comprend mieux ou vous voulez en venir !
je vous rejoint sur toutes vos lignes !
je vivais ce sentiment il n'y a pas si longtemp !
et j'ai décidé de faire ce que je voudrais quand je déciderais
que c'est le bon moment !
de dire ce que je pense quand je penserais que c'est le bon moment !
je ne m'occupe plus des "penseurs " que vous cité ,qui pensent à notre place de ce qui est bon pour nous !
mais je continue d'etre attentif aux choses dites qui me semble positive
pour ma vie .
oui vous dénoncer bien les choses qui font ,que (faire part ),devient parfois difficile ! surtout quand on vie au coeur et en fonction de ce millieu.
encore merci pour ce partage .
je vous rejoint sur toutes vos lignes !
je vivais ce sentiment il n'y a pas si longtemp !
et j'ai décidé de faire ce que je voudrais quand je déciderais
que c'est le bon moment !
de dire ce que je pense quand je penserais que c'est le bon moment !
je ne m'occupe plus des "penseurs " que vous cité ,qui pensent à notre place de ce qui est bon pour nous !
mais je continue d'etre attentif aux choses dites qui me semble positive
pour ma vie .
oui vous dénoncer bien les choses qui font ,que (faire part ),devient parfois difficile ! surtout quand on vie au coeur et en fonction de ce millieu.
encore merci pour ce partage .
Invité- Invité
Re: Communication simple
Alea jacta est (le sors en est jeté) a dit Jules César lorsqu'il se permit de franchir le Rubicon, en armes.
Veni, vidi, vici (venu, vu, vaincu) dixit le même un peu plus tard.
J'aurais bien laissé le thème de cet échange au très émouvant témoignage de Dagda. Merci à lui. Mais j'avais promis de prendre congé!
La seule question qui demeure est celle de savoir si le troisième mot "vaincu" se conjugue avec le verbe "avoir" ou le verbe "être". L'histoire décidera. Les deux me paraissent équivalents, car l'essentiel est de participer, de cheminer, comme en témoigna en son temps Celui qui osa dire, abandonné de tous, absolument tous: "le ciel et la terre passeront; mes paroles ne passeront pas".
Merci.
Bon vent à tous et à chacun.
Veni, vidi, vici (venu, vu, vaincu) dixit le même un peu plus tard.
J'aurais bien laissé le thème de cet échange au très émouvant témoignage de Dagda. Merci à lui. Mais j'avais promis de prendre congé!
La seule question qui demeure est celle de savoir si le troisième mot "vaincu" se conjugue avec le verbe "avoir" ou le verbe "être". L'histoire décidera. Les deux me paraissent équivalents, car l'essentiel est de participer, de cheminer, comme en témoigna en son temps Celui qui osa dire, abandonné de tous, absolument tous: "le ciel et la terre passeront; mes paroles ne passeront pas".
Merci.
Bon vent à tous et à chacun.
Re: Communication simple
une autre citation de jule cesar :
Le danger que l'on pressent, mais que l'on ne voit pas, est celui qui trouble le plus
Bon vent à vous !
moi personnellement je vais avec le courant et profite des vents porteurs !
mon chemin est ainsi moins difficile et je n'est pas besoin de tirer des bords pour allez de l'avant !
et dans le pire des cas il reste une 4ème de jule cesar:
Je poursuivrai ma chance jusqu’au fond de l’eau
j'ai pas de dicton (adequat ou non )sous le bras à part peut etre :
Aide toi le ciel t'aideras ! je ne sait plus de qui c'est , mais comme quoi la simplicitée permetteras toujours de se faire comprendre de ceux qui se pose des questions !
ah si encore jule cesar !! :
Les hommes croient ce qu'ils désirent.
à bientot ! serge.
Le danger que l'on pressent, mais que l'on ne voit pas, est celui qui trouble le plus
Bon vent à vous !
moi personnellement je vais avec le courant et profite des vents porteurs !
mon chemin est ainsi moins difficile et je n'est pas besoin de tirer des bords pour allez de l'avant !
et dans le pire des cas il reste une 4ème de jule cesar:
Je poursuivrai ma chance jusqu’au fond de l’eau
j'ai pas de dicton (adequat ou non )sous le bras à part peut etre :
Aide toi le ciel t'aideras ! je ne sait plus de qui c'est , mais comme quoi la simplicitée permetteras toujours de se faire comprendre de ceux qui se pose des questions !
ah si encore jule cesar !! :
Les hommes croient ce qu'ils désirent.
à bientot ! serge.
Invité- Invité
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